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Bonjour tout le monde,
Dimanche : Rions un peu
C'est dimanche, il pleut et on en profite pour faire un peu de cuisine à défaut d'une grande balade ou d'une journée à la plage...oui, mais voilà, ça ne s'improvise pas la cuisine...
Voici quelques exemples savoureux....à consommer sans modération
Autour de la cuisine...
Top Chef, Masterchef, Cauchemar en cuisine, Petits plats en équilibre, Le meilleur Pâtissier, un dîner presque parfait.... les émissions culinaires ne manquent pas à la télé pour nous apprendre à réussir à coup sûr un délicieux repas. Et si cela ne suffit pas, on peut toujours aller faire un tour sur Marmiton.com. 70 000 recettes expliquées de A à Z et filmées nous y attendent.
Alors, pas d’excuses !! Tout le monde peut faire ses preuves ! Il suffit d’un peu de courage, d’un bon tablier, quelques ingrédients... et chacun d’entre nous peut devenir un chef hors pair et bluffer une tablée d’invités au palais sensible !
Ça n’a pas toujours été le cas, et j’ai bien entendu dans ma besace, quelques exemples de « débuts difficiles » et de boulettes…à déguster sans modération !!!
Je ne parlerai pas du sel que j’avais versé dans le bol de chocolat de mon petit frère, non pas pour tenter une nouvelle recette « sucré-salé » mais pour me venger de… de quoi au juste ? je ne me souviens même pas !...par contre je n’oublierai jamais les représailles du lendemain lorsque ma mère m’a « obligée » à avaler un bol entier de chocolat hyper salé !!! Je ne conseille pas cette recette !
Non ! Pas de recettes qui « fâchent »…Je ne vais donner ici que quelques-unes des recettes « très » innovantes que j’ai beaucoup appréciées parce qu’elles ont eu un impact extraordinaires sur mes zygomatiques :
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Recette de la soupe à l’oignon
Commencez par éplucher un tas d’oignon, pleurez à volonté, versez les dans une casserole d’eau bouillante (pour le reste regardez dans un livre de cuisine !).
Bref, lorsque votre soupe est prête à être consommée, et si vous n’aimez pas les oignons en morceaux, versez votre soupe dans une passoire, mais ne faites pas comme ma sœur …mettez une soupière dessous ! La pauvre a dû se contenter des oignons !!!
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Pâtes et salade
Ah ! Les corvées de popote pendant les camps de vacances ! C’est chacun son tour, et il faut assurer. Ce jour-là, ce sont deux garçons qui s’y collent. Je suis écroulée de rire en voyant le premier qui ne comprend pas pourquoi ses pâtes ne cuisent pas. Elles crament dans le fond de son faitout. « Avec de l’eau, ce serait sûrement plus facile ! » lui conseille une copine. Je me retourne en riant et tombe alors sur son acolyte qui lui, prépare la salade. Ce grand gaillard un peu maladroit prend les laitues et les coupe en quatre avant de les plonger dans l’eau. Il semble un peu « vexé » quand je lui explique qu’il faut dégager les feuilles une par une pour les nettoyer. Je m’éloigne quand je le sens prêt à me refiler sa corvée. Quand on pense qu’il y a plus d’hommes « grands chefs étoilés» que de femmes !!!
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Salade composée
En parlant de salade justement...ça me rappelle le soir où nous avions été invités chez le patron de mon père... Lui et son épouse formaient un couple super sympa et « cool », ce qui n’avait pas empêché mes parents de nous « faire la leçon » avant de partir. Nous avions promis d’être sages comme des images. C’est ce que nous étions d’ailleurs (on n’avait pas trop le choix !)
Nous dinions donc dans le jardin et le repas se passait plutôt bien, jusqu’à ce que la maîtresse de maison apporte la salade :
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Tu l’as bien nettoyée ? Lui demande en souriant son mari, sachant fort bien que sa femme était hyper pointue sur ce point.
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A plusieurs eaux, rassure toi, précise-t-elle avec un grand sourire.
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Alors ! Elle vient d’où cette loche ? Lance mon frère âgé d’une dizaine d’année en brandissant une énorme limace au bout de sa fourchette. En croisant les bazookas dans les regards de mes parents, il repose l’animal et poursuit, tout penaud :
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Elle a dû tomber du ciel !
Oups !!! Petit malaise du côté des « grandes personnes »....
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Gâteau au chocolat
Inutile de rappeler quelques « petites erreurs » dans les ingrédients qui transforment par exemple un couscous en volcan en éruption grâce à un surdosage en petits piments oiseaux. Inutile aussi de parler des ingrédients absents dans une recette (brioches avec la levure oubliée sur la table de travail !), ni même des confusions entre le sucre et le sel (ça se ressemble aussi !) qui font d’un potage un délicieux dessert. Mon jeune frère avait pourtant bien constaté que « plus il salait, moins c’était salé »
Non, je vais plutôt mettre en lumière tous ceux qui font tout leur possible, suivent scrupuleusement la recette, et qui, malgré tout l’amour qu’ils ont mis à préparer un dessert, reconnaissent humblement que leur plat est « raté ».
Ainsi, le fameux gâteau au chocolat présenté par une amie de la famille à la fin d’un repas...Tout le monde y goûte malgré tout pour lui faire plaisir, sans trop de conviction...sauf mon père qui, par chance, ne mange jamais de pâtisseries.
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Il n’est pas très présentable, mais j’espère qu’il est mangeable, dit-elle
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Mais oui, il est très bon ton gâteau, affirme ma mère...
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Oui, rassure toi, il est excellent, confirme mon père le plus sérieusement du monde.
Et là, on ne sait pas pourquoi, ma mère lui donne un coup de coude dans le bras, et s’exclame haut et fort:
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Forcément, t’en n’as pas mangé !!!!
Voilà !! C’est tout pour aujourd’hui !! Ça m’a donné faim tout ça !!!
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Belle journée à toutes et à tous,
Etrange : l'effet "caméléon
Après ces longues périodes "automnales " , l'été semble faire son apparition depuis quelques jours. Quel changement et quel bonheur;...ça se lit sur tous les visages que l'on rencontre.....c'est ce que j'appelle "l'effet caméléon" !
Bon week-end à tous
« Caméléon »
Les animaux sont bien étranges ! on pourrait parler de chacun d’eux pendant des heures, leur attribuer des pouvoirs, des similitudes avec l’être humain ou simplement essayer de définir les liens qui nous lient à eux...Tout le monde sait que le « meilleur ami de l’homme », c’est le cheval, ou le chien… le chat aussi. Dans tous les cas, il y a toujours de très belles histoires d’amitié entre les hommes et les animaux dont on apprécie souvent la compagnie.
Parmi eux, il en est un qui m’intrigue et me fascine pour sa capacité à changer de couleur selon son environnement ou son humeur afin de passer inaperçu...il s’agit bien sûr du caméléon. J’ai eu le bonheur de le découvrir en pleine nature, sur l’Ile de la Réunion, sous le nom « d’endormi », mais aussi dans un terrarium, sous le nom de Clamos (nom donné par mon petit-fils).
C’est en observant ce petit animal que je me suis fait cette drôle de réflexion : nous avons nous aussi des points communs avec nos amis les bêtes...mais qui imite l’autre ???
Je me suis aperçue que j’avais, moi aussi, une grande ressemblance avec le caméléon ! Si, si, vous allez voir ! Je dis « je » mais je pense que je ne suis pas seule à pouvoir m’approprier ce pronom pas si personnel que ça !
En effet, l’hiver, j’ai tendance à hiberner. Je reste au chaud au coin de la cheminée si je n’ai rien à faire de précis à l’extérieur...j’ai la sensation de vivre au ralenti et dès qu’il fait nuit (vers 16-17 heures), c’est carrément le couvre-feu ! Pour couronner le tout, dès que le temps s’assombrit ou s’il pleut (surtout lorsqu’il pleut), mon humeur est carrément cafardeuse et je mets tout en œuvre pour passer inaperçue : j’arbore des tenues tristounettes de couleurs sombres, voire noires (principalement pantalon-gros pulls-doudounes-bottes); sourire en berne ; économie de paroles; tristesse, frilosité etc...(Je grossis un peu le tableau, mais quand même !)...Bref, je m’imprègne de la grisaille extérieure. Elle se reflète en moi et sur moi.
Dès que les beaux jours reviennent en revanche, la vie redevient plus belle. Je suis plus tonique, plus gaie...j’ai envie de chanter (quoique je ne le fais pas pour éviter la pluie !), de rire, de voir du monde...j’ose les robes aux couleurs vives. Tout semble léger, agréable, facile à vivre, et je peux rester à l’extérieur très tard...bref la vie reprend le dessus ! A présent, je me permets de généraliser :
La douceur du temps, la clarté, la beauté extérieure…peuvent se refléter sur chaque personne et en chacun d’entre nous.... même le chant joyeux des oiseaux peuvent nous apporter cette petite touche de bonheur qui nous donne envie de mêler notre voix à la leur…
Nous sommes capables de modifier notre physique (sourires, visages tristes, tenues vestimentaires...) et notre comportement en fonction des éléments extérieurs….
C’est exactement comme les caméléons qui prennent les couleurs extérieures...Ils sont gris dans la grisaille et dans un paysage fleuri, ils arborent de magnifiques coloris.
Et je ne parle que des saisons, du temps, du froid qui « attaque » ou de la chaleur qui « réchauffe », des paysages sympas ou tristes...de tout ce qui extérieur !
Maintenant, on dit que le caméléon modifie également sa couleur lorsqu’il a peur...Ne serait-ce pas identique pour nous ? Ne sommes nous pas capables de nous métamorphoser si on nous apporte une nouvelle désagréable ou si l’on nous agresse (tristesse, énervement, manque de confiance...) ou au contraire lorsque l’on reçoit une bonne nouvelle, un encouragement, un sourire, des compliments... (Joie de vivre, bonheur...).
On se dit « libres » mais un simple rayon de soleil peut modifier notre comportement !!! C’est tout de même étrange non ?
On ne va tout de même pas se laisser influencer et guider par le temps et son entourage !
Et si l’on changeait les règles, si l’on s’inventait des bonnes nouvelles, des compliments et des rêves pour retrouver le sourire lorsque l'on est triste et des
Et si, tout simplement l’on reprenait les rênes !
Il suffit je crois de profiter de l’instant présent et d’y voir tout ce qu’il propose de positif…
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Bonjour tout le monde,
Cahier de vacances : Page 5 avec une difficulté très moyenne.
A quoi font penser ces images ? Il s'agit d'une chanson, d'une fable (un indice pour chacune d'elle)
solution de la page : Lièges - satin - enneigés - rat - croiser - osier - poire - saccade - onze - soda
Photos
1 - Un prénom féminin
2 - Une fable de La Fontaine
3 - Une chanson de Jean-Jacques Goldman
4 - Un conte d'Alphonse Daudet
5 - Un jeu ancien
6 - Une chanson que chantait Brassens
7 - Une comptine
8 -Une expression
9 - Un métier
10 - Une vieille série télévisée
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Bonjour tout le monde,
Hier soir, avant de quitter la plage, j'ai rassemblé mes affaires, mon bouquin, ma serviette, les casquettes des enfants...et en prenant mes tongs, j'ai repensé à ces deux histoires des années passées...Voici la première
Bon jeudi à tous
Les tongs oubliées
A l’heure où le soleil, fatigué de sa journée, décide de se cacher derrière l’océan, les baigneurs rentrent chez eux, heureux d’ avoir profité de ses rayons généreux et de la fraicheur de l’eau. Plus personne à l’horizon. C’est dommage, parce que c’est un moment exceptionnel ! Celui ou le ciel s’enflamme pour se refléter dans une mer argentée, pailletée d’étoiles scintillantes d’une incroyable beauté. Le seul instant de la journée où le roulis des vagues se brisant sur les rochers remplace les rires et les cris joyeux des enfants, une musique reposante dans le calme et la fraîcheur enfin retrouvés...Bref, une heure magique que seuls les habitants des fonds marins peuvent apprécier.
C’est cette heure-là que je choisis la plupart du temps pour venir me ressourcer tout en haut de la falaise, respirer l’air chargé du parfum iodé des algues, écouter le frôlement des vagues sur la grève, ou simplement regarder la plage désertée.
Ce soir, une légère brise ébouriffe mes cheveux et m’effleure le visage tandis que mon regard fixe des tongs oubliées sur le sable, seul vestige de l’affluence de l’après-midi...Deux tongs qui semblent s’ennuyer, seules au beau milieu de la plage ! Mon regard ne les lâche pas « d’une semelle » lorsque soudain, je les vois se soulever et s’éloigner vers la mer...toutes seules !
Non ! Pas toutes seules ! Dessous, deux petits crabes s’amusent :
- - Tu es sûr que les mouettes ne nous ont pas vus ? demande le premier
- - Mais oui, nous sommes bien cachés !
- - On l’a échappé belle ! Ouf !
Elles flottent à présent à la surface de l’eau...toutes seules !
Non ! Pas toutes seules ! Dessus, les deux jeunes mouettes surfent sur ces deux planches providentielles :
- - Waouh ! Géniales ces planches ! depuis le temps que je rêvais de faire un peu de sport ! s’exclame la première
- - Moi aussi ! répond sa copine qui, prise d’un fou rire incontrôlable, perd l’équilibre avant de plonger tête la première dans l’eau.
Les deux tongs se retrouvent une nouvelle fois seules au milieu de l’océan…
Non ! Pas toutes seules ! Deux crevettes viennent de les repérer et se découvrent un nouveau jeu : Boing...boing...boing....elles sautent de l’une à l’autre avec de petits rebonds légers…de plus en plus haut :
- - Super ces deux trampolines ! dit l’une
- - Oui, enfin un peu de liberté, loin des poissons....oh ! mais pas loin des mouettes...les voilà qui foncent sur nous ...sauve qui peut !
Les deux crevettes sautent à l’eau juste à temps...au même instant, une vague, plus haute et plus longue que les autres, emporte avec elle les deux sandales qui reprennent leur place sur le sable...
Toutes seules …
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Belle journée à toutes et à tous,
Etrange : les ovnis
Vous y croyez vous à ces petits êtres verts venus de Mars ou d'ailleurs ?
Peut-être ou peut-être pas
En tous cas il se passe souvent des choses bizarres...et en ce qui me concerne toujours à Piriac
Bon mercredi
Drôle de ballet nocturne
Piriac !!! Que de joies, événements, péripéties et faits étranges demeurent à jamais liés à cette station balnéaire !
J’ai souvent évoqué ce lieu, c’est vrai, je ne m’en lasse pas, et je vais encore raconter une anecdote qui s’est déroulée dans ce décor, ce havre de paix que j’affectionne particulièrement pour y avoir séjourné pendant de longs mois d’été. Parfois, j’ai l’impression d’y avoir passé la moitié de ma vie.
Dès que les beaux jours reviennent, je ressens irrésistiblement le besoin d’y passer ne serait-ce qu’une journée pour me ressourcer, respirer l’air marin chargé de goémons et écouter le roulis des vagues qui se fracassent contre les rochers. C’est vital. Un peu comme le printemps apporte le renouveau, l’endroit où j’ai passé pratiquement toutes mes vacances en famille m’apporte une sorte de « renaissance » après une longue hibernation.
Toute la « tribu » se rassemblait régulièrement sur ce terrain dès le début juillet jusqu’à la fin août (elle n’est pas belle la vie d’enseignants ?). Le soir, après un « tarot », une partie de belote ou un poker où j’étais capable de perdre une boite complète d’allumettes, il nous arrivait, ma sœur et moi, de nous allonger à même le sol pour observer les étoiles. Mon père en profitait pour nous apprendre à reconnaitre les constellations et la disposition des étoiles dans le ciel. Il nous était ainsi très facile d’identifier Venus, l’étoile du Berger, la toute première à faire son apparition. Cassiopée, la grande ourse ou l’étoile polaire située « au bout de la queue de la petite ourse n’avaient elles non plus, aucun secret pour nous…et c’était devenu une habitude, presqu’un jeu de découvrir et nommer les étoiles et constellations qui illuminaient le ciel les unes après les autres.
Un soir cependant, ma sœur qui était capable de scruter le ciel dans ses moindres détails durant des heures entières, nous interpella. Elle semblait fort intriguée par deux petits points lumineux, juste au-dessus du terrain. Elle nous en fit part, et, tandis que nous levions tous la tête en direction de ces deux « nouvelles étoiles », chacun s’amusa à donner sa propre version de ce que nous contemplions, non sans la taquiner un tant soit peu :
- « Ce ne sont que deux étoiles un peu plus grosses que les autres ! elles devaient être cachées derrière un nuage tout à l’heure»
- « Sûrement pas, je viens de les voir arriver très lentement l’une vers l’autre » précise-t-elle
- « Alors, ce sont des avions !... ou des satellites… » riposte mon père
- « Depuis quand les avions et les satellites s’arrêtent en cours de route ? »
Tiens, c’est vrai ça, les deux points brillants semblent statiques. Son imagination lui joue encore un tour. Ces deux étoiles viennent de faire leur apparition et à force de rester le nez en l’air, ma sœur a cru les voir « bouger ».
Chacun s’apprête à retourner à ses occupations (pour ma part, je suis sur le point d’aller raconter une histoire aux enfants qui commencent à s’agitent dans leurs tentes…), mais nous sommes stoppés net par un cri légèrement étouffé :
- « Regardez !!! »
De nouveau, nous levons tous les yeux vers la voie lactée bien visible ce soir …Plus un nuage ne semble la déranger
- Vous avez vu ? les deux étoiles, comme vous dites, eh bien, on dirait qu’elles communiquent
- N’importe quoi !
On se moque un peu de la frangine, mais quand même, on ne résiste pas à la tentation de fixer ces deux points lumineux pendant un instant, et ce que l’on observe nous interpelle malgré tout. Il y a effectivement quelque chose d’inhabituel qui se déroule au-dessus de nos têtes. A tour de rôle, les deux ….les deux quoi au juste ? Disons les deux « objets non identifiés, émettent des signaux lumineux très brillants, en direction de leur homologue…un peu comme du morse. On dirait que ces deux « je ne sais pas quoi » se répondent
Le manège dure de longues minutes pendant lesquelles nous tentons de trouver une explication plausible.
- « C’est peut-être un code morse ? »
- « Tout ce que je connais, c’est SOS : trois flashs longs, trois courts, trois longs », mais là, on dirait des signaux de même intensité avec des espaces plus ou moins longs
- Bip bip…bip bip bip…bip…bip
- « Bizarre ! »
- « J’aimerais bien savoir ce qu’ils se racontent ! Dommage que l’on ne puisse déchiffrer ce code »
Mon père, toujours prêt à donner une justification à n’importe quel phénomène déclare encore qu’il doit s’agir de deux astres devant lesquels passent de légers stratus ou des cumulus…Mais, c’est qu’il a de bons yeux le paternel ! Le ciel n’a jamais été si clair.
L’un d’entre nous parle d’OVNI ! On n’y croit pas trop, mais il s’agit pourtant bien de deux objets volants (quoi que là, à l’arrêt !) non identifiés …on n’a pas dit des martiens non plus ! Quoi que !
On reste ainsi, fascinés par ce spectacle lorsque brusquement, sans crier gare, les deux « objets », dans un même élan, traversent précipitamment la voute céleste tels deux flèches, plus rapidement que deux étoiles filantes….Il n’a fallu que quelques dixièmes de seconde pour qu’ils disparaissent totalement
- « j’avoue, c’est quand même étrange ! » conclut simplement mon père.
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