-
Belle journée à toutes et à tous,
Etrange et drôle
Dans mon stock d'anecdotes "étranges" voici celle-là. Plus drôle qu'étrange d'ailleurs.
Faut-il vraiment se fier à certains "signes" ? Y a - t- il un message à découvrir dans cette histoire ? Je ne sais même pas...
Bonne fin de semaine à tous
Chiffres magiques ?
Aussi loin que remontent mes souvenirs, j’ai toujours cru aux signes du destin…et à la chance ! Allez savoir pourquoi ?
Croire, oui, ça c’est sûr ! Mais suffisamment ? Ça c’est une autre paire de manches !
Lorsqu’un « signe » se présente à nous... il faut probablement vraiment y croire pour qu’une « manifestation » se réalise
Je ne suis pas très claire ? C’est juste ! Aussi, je pense, pour illustrer cela, à une petite anecdote qui s’est déroulée très très loin dans mon passé, alors que je n’étais qu’une enfant d’une douzaine d’années.
Comme beaucoup de personnes de ma génération, l’éducation religieuse était souvent systématique à l’époque de mon enfance, et nous étions beaucoup plus nombreux qu’aujourd’hui à fréquenter les cours de « catéchisme ». Les prêtres ou les religieuses se chargeaient de cet enseignement avec une certaine fierté, dans une grande salle attenante à l’église...et parfois une personne civile complétait notre « formation » à son domicile une fois par semaine pour nous préparer à notre première communion où notre communion solennelle...Oh là là ! Comme c’est loin tout ça !
Mais revenons à nos moutons (c’est un peu ce que nous étions !). Avec un groupe de jeunes, nous nous rendions chaque samedi après-midi chez une demoiselle très gentille, et je peux affirmer que j’aimais beaucoup cette heure passée avec elle et mes « copines ». Je voyais ce moment comme une petite pause dans mon quotidien, très agréable d’ailleurs. Je ne sais plus trop ce que l’on faisait : des coloriages et des découpages pour illustrer des belles phrases bien pensantes ? Des recherches d’idées pour être au top dans une vie parfaite ??... Oups ! Ce n’est pas ce qui m’a le plus marqué en tout cas puisque mes souvenirs s’arrêtent aux délicieux instants ou l’on se retrouvait dans la rue avec les copines pour se rendre joyeusement chez elle...et au moment où elle nous offrait une collation avant de retourner chez nous.
Nous y voilà ! C’est là que j’interviens avec ma petite anecdote.
Nous sommes exactement trois filles autour de la table puisqu’elle sort trois verres à limonade pour y verser un jus d’orange. Sur chacun d’entre eux, un dessin représente un cheval de course avec un numéro bien en évidence...par ailleurs, je sais que mon père épluchera le journal demain pour faire son « tiercé du dimanche », une habitude qu’il a prise avec un ami, et qui lui permet de passer un moment sympa avec lui avant le repas...machinalement, je note les numéros...est-ce un signe ???
Le lendemain matin, mon père s’apprête à aller valider son jeu au PMU. Je sors 3 francs de ma tirelire (pas très pleine pourtant) et lui demande de jouer pour moi ces trois numéros.
- - Tu veux jouer ? mais ma pauvre fille, tu es en train de parier sur de vrais bourrins! Pas sûr qu’ils terminent la course !
Je lui raconte « mon signe », ce qui le fait légèrement sourire... Il est bien trop « terre à terre » pour croire à ces foutaises. N’empêche qu’il prend quand même mes sous et me rapporte « le ticket ».
Dans la soirée, je regarde sur le petit écran les résultats de la course...
Faut pas croire, les miracles, ça n’existe pas ! Aucun des chevaux sur lesquels j’ai parié n’est arrivé dans les premiers...mon père avait raison !
Mais l’histoire ne s’arrête pas là ! Le dimanche suivant, mon père me demande le plus sérieusement du monde :
- - Je joue tes numéros ???
Je sais que s’il « étudie » un peu les probabilités d’arrivée des chevaux, il a aussi ses chiffres fétiches ! Il y a quand même une grande part de chance dans ces courses...j’hésite un peu, regarde le fond de ma tirelire. Il reste juste 3 francs… mais dimanche prochain, c’est la fête des pères...trois francs, ce n’est pas grand-chose (on n’a jamais eu beaucoup d’argent de poche !!!) mais si mes frères et ma sœur se joignent à moi, on pourra peut-être lui acheter une toute petite babiole avec ... J’ai trop besoin de mes trois francs...Et puis, c’est stupide, je ne vais tout de même pas me mettre à jouer ces chiffres jusqu’à ce qu’ils arrivent !!!
C’est dommage ! Mon père aurait eu un bien beau cadeau pour sa fête ! Les trois chevaux sont arrivés et j’aurai eu le tiercé dans l’ordre ce jour-là !! Je me souviens encore de la somme que ce tiercé remportait, même si je ne me rendais pas compte à l’époque de son importance : 250 000 francs !!!
votre commentaire -
Bonjour tout le monde,
Cahier de vacances - page 7 : Un peu de logique
J'ai beaucoup aimé les jeux télévisés de Cyril Féraud, 100 % logique
A mon tour, je me suis amusée à chercher quelques énigmes histoire de se faire quelques nœuds dans les méninges
Belle journée à tous
Un peu de logique
1 - Chercher l'intrus
Serpent - sirène - tortue - scarabée - souriceau
2 - Chercher l'intrus (moins facile)
escabeau - paravent - fauteuil - lavabo - parasol
3 - Suite logique
Araignée - Bigorneau - Crapaud - Dauphin - ..............
(à choisir entre Chien - Eléphant ou Homard)
4 - Suite logique (nombres)
12 - 23 - 34 - 45 - 56.......
5 - Qui va trouvé la faute d'orthographe dans cette phrase "il pleut rarement en Bretagne"
6 - Mot
Quelle viennoiserie se trouve dans cette phrase?
Je crois, sans me vanter que je vais réussir cet exercice
7 - Quel personnage céleste se cache dans le prénom de mes petits loulous
Ewenn - Lounis - Alexandre - Noah - Gabriel
votre commentaire -
Bonjour tout le monde,
Il parait que l'été va venir bientôt! Il est vrai que le soleil fait son apparition de temps en temps et que même s'il a du mal à se lever le matin, il vient nous faire coucou l'après-midi.
En attendant, voici l'histoire que m'a racontée un escargot (non, non, ce n'était pas un bigorneau!) rencontré sur la plage.
Bon mercredi à tous
Jour de pluie...
Il pleut...
Tout le monde rentre dans sa maison pour se mettre à l’abri...tout le monde sauf Gri-gri l’escargot gris, qui lui, sort de la sienne, une magnifique coquille nacrée qu’il porte sur son dos. Il glisse lentement vers le potager et s’attaque à une belle salade verte. Elle est si tendre et si croquante qu’il la grignote goulument sans s’apercevoir que quelqu’un s’approche. C’est le jardinier qui, comme par hasard choisit la même salade pour son déjeuner.
Voilà notre petit escargot qui s’envole dans les airs caché dans les feuilles frisées.
- Whaouh ! c’est haut !
Il s’accroche tant bien que mal, mais il a un peu le vertige. Il est ensuite bousculé, secoué, brusqué comme il ne l’a jamais été ! C’est Gustave, notre jardinier qui jette les feuilles de salade dans l’évier rempli d’eau froide. Il les remue pour ôter toutes les petites salissures qu’elles contiennent. Il tombe dans le fond du bac et se cogne au risque de briser sa belle maison :
- Aie, aie, aie...ouille !
Heureusement, Gustave ne l’a pas vu et tire la chainette pour vider l’eau. Il se retrouve alors seul dans un tourbillon qui l’entraine dans un long tuyau sombre. Il a peur. Il a froid. Il y a bien longtemps qu’il s’est réfugié tout au fond de sa coquille et qu’il tremble comme une feuille justement.
Il n’est pourtant pas au bout de ses surprises, ni de ses émotions ! Il est ballotté à une vitesse vertigineuse dans cette cascade qui n’en finit pas. Puis, le calme revient, mais une odeur insoutenable lui chatouille les narines. Il nage malgré lui dans une nappe d’eau crasseuse et malodorante...Il ne le sait pas, mais il voyage dans les égouts qui récoltent les eaux usées du village.
Il fait ensuite un très très long voyage, toujours enfermé au fond de sa maisonnette. Soudain, il est éjecté...dans la mer ! Il sent alors un parfum où se mêlent le sel, l’iode et le goémon... et se décide à sortir la tête. Il se pose tranquillement sur un rocher
- Ouf ! enfin tranquille !
C’est alors qu’il aperçoit, tout près de lui, un petit animal qui lui ressemble étrangement.
- Qui es-tu ? lui demande-t-il
- Je suis Bauno, le petit bigorneau...Et toi, que fais-tu là ?
- Oh c’est une longue histoire.
Et voilà notre Gri-gri qui n’en finit pas de raconter son épopée à son nouvel ami. Ils se jettent ensuite sur une algue savoureuse qu’ils dégustent de bon cœur pour apaiser leur fringale. Sur leur rocher, ils s’amusent à regarder des crevettes et des minuscules poissons qui jouent à défier des anémones aux longs bras multicolores, prêtes à les attraper pour les croquer. Ils suivent du regard les petits crabes. Ils les voient jouer à cache-cache sous les galets et dans les cavités étroites de la roche. Ils tentent ensuite une petite escalade pour atteindre le sommet du rocher qui surplombe la mer, afin de prendre un peu l’air.
- Nous n’aurons plus qu’à attendre la marée basse si tu veux reprendre le chemin de la terre ferme, lui dit Bauno..Oups ! tu ne seras pas arrivé sur le sable avant la marée haute...je crois qu’il est préférable que tu attendes une vague...elle te conduira directement sur le sable.
Et c’est ce que fait notre petit escargot à la coquille nacrée. Il ne veut pas attendre que la mer se retire et se laisse emporter par un gros rouleau qui l’enveloppe et le déroule sur le sable mouillé. Il repart alors tranquillement, s’éloigne de la plage et dans quelques jours , il retrouvera un magnifique jardin potager en haut de la falaise...Cette fois, il choisira un énorme chou aux larges feuilles vert foncé pour s’y enfouir et dormir un long, long moment.
votre commentaire -
Bonjour tout le monde,
Etrange : Vous avez dit "bizarre " ?
Anecdote connue mais tellement étrange !!!
Belle journée à tous
Le tapis volant
Qu’est-ce qu’on fait aujourd’hui ??
Qui ne s’est jamais posé cette question le dimanche matin après une grasse matinée bien méritée…. On peut décider alors de bien commencer la journée par un footing en pleine nature…mais qu’envisager par la suite ? Une journée en famille ? Une promenade en forêt, à la campagne ou au bord d’une rivière ? Une expo ? Une journée à la plage quand le temps le permet?...Ou tout simplement une journée pantoufles-plateau télé-cocooning ?
Si le choix est immense, pour nous, c’était invariablement foot, foot et foot !!! Les terrains de football qu’il fasse beau, qu’il pleuve ou qu’il vente !!! Je suivais les matchs tous les dimanches avec les épouses des joueurs de l’équipe locale, et les enfants : les miens, ainsi que mes neveux et nièces (il faut dire que tous les hommes de la famille s’éclataient sur les terrains chaque dimanche…Oh ! cela n’avait rien de franchement désagréable…et puis, les gamins prenaient l’air avant de terminer la journée à la maison devant une montagne de crêpes que je préparais pour tout ce petit monde !
Des souvenirs, on en garde d’excellents. Je ne parle bien sûr pas des matchs que les hommes répétaient en long et en large toute la soirée (c’est étrange d’ailleurs, ils me semblaient plus longs au retour ! Une simple action pouvait être racontée une quinzaine de fois avec toujours autant de fougue !)…Je parle plus précisément d’une certaine ambiance chaleureuse entre les familles, de nos papotages de femmes derrière la main courante entourant le stade, des jeux des enfants près ou loin de nous, et des encouragements que nous prodiguions à nos conjoints partis courir après ce maudit ballon rond.
Toute à mes pensées, je me projette à Nantes, aux Basses Landes où les joueurs avaient l’habitude de s’affronter, et je revois une image très forte que mes enfants et mes nièces m’ont rappelée cet été…Ce qui m’ étonne le plus, c’est que près de trente ans après cet épisode, chacun, pris séparément, m’en a parlé avec la même effervescence…tous, sans exception, semblaient aussi agités et troublés que le jour où ils étaient arrivés en courant, complètement affolés (limite terrifiés) pour me raconter,dans la confusion la plus totale, l’objet de leur panique…
Ils jouaient tranquillement au bout d’un terrain voisin sur un énorme tas de tapis de réception (réservé au saut à la perche je pense), lorsque la bâche qui le recouvrait s’est violemment retournée sur eux…A l’époque, ils relataient cet incident comme s’il provenait d’un « mauvais esprit » mais je n’y avais pas attaché une grande importance, n’ ignorant pas l’imagination débordante de cette petite équipe ! J’étais simplement déconcertée de les sentir si désemparés …d’autant plus qu’ils insistaient sur le fait que cette bâche attachée solidement n’aurait pas dû se retourner sans le moindre souffle de vent…
Tant d’années plus tard, ces enfants devenus adultes me racontent encore la même histoire dans les moindres détails …et surtout la même version des faits …avec parfois les mêmes phrases, le même trouble !!!
L’une de mes nièces a des souvenirs extrêmement précis sur les détails de cette journée qui les a tous choqués. Elle se rappelle du décor, des rosaces en papier bleu –blanc –rouge (des cocardes du 8 mai !), de la rangée de hauts cyprès le long du cimetière voisin…Elle évoque leurs différents jeux comme s’ils s’étaient déroulés la veille: « Notre premier jeu consistait à fermer les yeux et faire deviner l’objet et la couleur de l’objet auquel on pensait, comme par exemple un marteau rouge ou un ballon bleu. …A la nuit tombante, on a fait un pari : il fallait aller toucher la grille du cimetière sans se retourner…Moi, je flippais trop. Il n’y a que Nono qui a réussi ».
La suite, ma fille et mes deux nièces me l’ont toutes trois rappelée séparément, avec pratiquement les mêmes mots, avec les mêmes précisions, la même clarté. J’étais carrément impressionnée. Trente ans se sont écoulés et pas un seul élément ne s’est échappé de leur mémoire. Pire, elles n’avaient même jamais évoqué cet épisode ensemble auparavant.
En réunissant tous les récits, reprenant les explications de chacune, cela donne ceci :
- On voulait faire appel aux esprits. On se tenait par la main, en cercle. Il fallait se concentrer et on a dit « chut, il faut le dire dans sa tête…Après vingt secondes de silence, la bâche s’est retournée avec une violence inouïe alors qu’il faisait chaud et qu’il n’y avait pas une once de vent…Soaz et moi, on l’a reçue de plein fouet sur le dos… tout le monde s’est mis à crier ».
Les trois filles précisent :
- Pour faire céder les gros élastiques qui maintenaient cette lourde bâche, il fallait au moins l’équivalent d’une tempête de 100 kms/h…Elle était super lourde et impossible à soulever pour des gamins comme nous. On a vraiment eu une trouille bleue…ça nous a calmé. On n’a jamais réessayé de « faire du spiritisme » !
votre commentaire -
Bonjour tout le monde,
Cahier de vacances - 6 : Des énigmes
Si vous découvrez ce qui se cache dans ces énigmes, n'hésitez pas à me le dire en commentaire.
Lorsque vous aurez trouvé, ce sera à mon tour de me creuser les méninges pour en trouver de nouvelles
Bon début de semaine à tous
Énigmes
1- Il ne pousse pas dans les arbres, n'a pas d'odeur et ne fait pas le bonheur, pourtant, il gouverne le monde. De quoi s'agit-il ?
2- Certains ont peur de ce petit animal que l'on retrouve pourtant dans l'agneau et souvent de bonne compagnie lorsque l'on est penché sur son ordinateur.
3- Vedette ou star, elle brille dans la nuit et semble bien mystérieuse dans Tintin
4- Si ce film ne vous a pas plu, vous le savourerez en légume
5- Peut être précieuse ou utile à la construction, c'est aussi un prénom masculin
6- Si vous ne tombez pas dedans, il sera solaire et vous indiquera la route à suivre
Trouver un mot à partir de quelques indices:
1 - Poil - cœur - verte- poches
2- parfum - crevette -fleurs- actrice
3- danseuse - avare - rongeur - bibliothèque
4 - jeu - diamant - isolé - ver
5 - départ - chambre - eau - chance
6- vidéo - éducatif - société - carte
Solution de la page 5:
Marguerite - Le lièvre et la tortue - la vie par procuration - la petite chèvre de Monsieur Seguin - Chat perché - Le petit cheval blanc - Coccinelle demoiselle - Fier comme un coq - facteur - La petite maison dans la prairie
votre commentaire