• Le jour se lève sur une nouvelle année

    Qu'elle soit pour vous douce et sereine

    Je demande  à l'Univers

    Que 2024 vous apporte

    Une bonne dose d'Amour, de joies, de réussites et

    de bonheur,

    mais aussi, la santé

    Qu'une bonne étoile veille sur vous

    Afin que vous puissiez vous laisser porter

    Sur votre chemin de vie

    2024

     

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  • Bonjour tout le monde,

    Dernière journée de l'année 2023 !

    Il est temps de faire le point sur l'année écoulée et de prendre de bonnes résolutions pour 2024. Enfin, c'est ce qu'on dit chaque fin d'année, parce que c'est bien connu, les bonnes résolutions, on les oublie très vite.

    Il reste un jour, et les bons vœux, les résolutions, les projets, c'est pour demain. Aujourd'hui, certains vont préparer le réveillon pour passer le cap en douceur, avec de la famille ou des amis....

    ...Alors, un petit conseil (si je peux me permettre!) n'oubliez pas la "branche de gui" !!!

    Si vous n'en avez pas , en voilà une pour vous porter chance! (faites une photocopie et gardez-là dans votre poche pendant la transition 2023-2024!)

    Belle fin d'année à toutes et à tous

    Le gui ...

    Le gui porte-bonheur

        Il fut un temps où la France, qui s’appelait alors la Gaule, était peuplée d’êtres bien bizarres : nos ancêtres les Gaulois !  Des hommes hyper musclés, avec des grosses moustaches et des cheveux longs. Ils passaient leurs journées à chasser les sangliers pour nourrir leur famille. Superstitieux au possible, ils cultivaient les croyances les plus invraisemblables sur le temps, les astres, les signes... et j’en passe.

    Le plus grave, c’est que leurs coutumes résultaient de leurs croyances sorties d’on ne sait où, et il leur arrivait de sacrifier de pauvres animaux sans défenses lors de cérémonies un peu barbares. Ces « fêtes » se déroulaient  sous un chêne, l’arbre sacré à l’époque, en compagnie d’un druide. Ce personnage, le plus important de la société, était un prêtre qui détenait le savoir et la vérité. Les druides cueillaient le gui  qui poussait sur cet arbre pour en faire des « potions magiques ». Pour eux, le gui possédait des pouvoirs incroyables. Il était capable de guérir de tout et apportait l’immortalité...

    On dit que c’est de cette époque que vient la tradition de s’embrasser sous le gui, le soir du 31 décembre...pour avoir la santé toute l’année, mais aussi de la chance, de la réussite, du succès et tout le reste...

    Ah oui ? Et vous croyez ça vous ?

    Eh bien non, pas du tout… quand on sait que le gui est au contraire une plante parasite qui pousse sur les arbres malades ! Pour un arbre sacré, ce n’est pas bien glorieux !

    En fait, l’origine du gui qui porte chance la nuit de la Saint-Sylvestre est beaucoup plus récente et il nous a fallu toute une suite d’événements surprenants pour croire véritablement à ses vertus...

    Le premier s’est déroulé dans un petit village breton, perdu dans les terres. Un pompier avait été appelé d’urgence pour sauver un malheureux chaton imprudent qui miaulait depuis des heures au sommet d’un chêne. Il s’était aventuré dans la forêt et n’avait rien trouvé de mieux à faire que de poursuivre un oiseau en grimpant dans l’arbre. Bien sûr, il était incapable de descendre tout seul, et Lénaïg, son petit maître était bien triste. A l’instant même où le pompier allait le rattraper, le chaton a pris peur et s’est littéralement jeté dans le vide....pour atterrir...sur une grosse boule de gui!

    Ouf ! Une chance inouïe !

    Quelques temps plus tard, une femme portant sa fillette atteinte de coqueluche dans les bras, passait dans le coin. Elle emmenait son enfant chez le grand sorcier, lorsqu’une quinte de toux plus importante que les autres les immobilisa instantanément sous le même chêne...l’arbre était couvert de gui. La fillette respira son parfum, et fut immédiatement soulagée...comme par hasard !

    On attribua ainsi au gui des vertus médicinales extraordinaires, et le bruit courut que : « le gui était plus puissant que le sorcier ».

    L’année suivante, la vie du jeune bucheron Gwendal se transforma littéralement quelques jours avant Noël tandis qu’il était à la recherche du sapin idéal. Il approcha du chêne, qui, sous l’effet d’un énorme coup de vent, libéra le gui qui s’accrochait à lui de toutes ses boules blanches. Les petites perles transparentes formèrent des petits tas à ses pieds. Il lui prit l’idée saugrenue de les compter et de noter les numéros de chaque tas sur une feuille de papier. Arrivé au village, il prit un billet de loterie comportant ces numéros...et bien sûr, il gagna le gros lot !

    Depuis, on dit que le gui apporte également la richesse.

    Et ce n’est pas tout ! Un jour, deux amoureux qui se promenaient dans la forêt s’embrassèrent pour la première fois sous cette fameuse boule de gui...C’était le premier jour de l’année...Ils vécurent ensuite heureux et eurent beaucoup d’enfants...oui, oui, comme dans les contes de fée !

    Voilà pourquoi on dit que le gui apporte la chance, la santé, la richesse et l’amour si que l’on s’embrasse dessous la nuit de la Saint-Sylvestre...

    Étonnant non ?

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  • Bonjour tout le monde,

    Samedi : Rions un peu

    Vous souvenez-vous de vos plus belles "gaffes" ? Quand on a envie de s'enfuir le plus loin possible !

    ...Des gaffes qui pourtant font rire ceux qui ne sont pas concernés et qui finissent par faire rire .....des années plus tard, ceux qui en font l'objet.

    En voilà deux pour commencer ! D'autres à venir....

    Bon samedi à tous

    Des gaffes - 1

    Des gaffes ! -1-

             Poursuivons notre petite série de distractions, étourderies ou gaffes…

    Ces « petites » inattentions qui font rire tout notre entourage lorsque cela nous arrive… mais pas nous ! Enfin pas toujours, et souvent de longs mois plus tard.

    1 –  Jean

    Mes débuts dans l’enseignement dans une école au plus profond de la campagne. J’ai atterri là à l’occasion d’un remplacement dans une classe maternelle et je dois y rester plusieurs semaines. Le seul logement qui se présente à moi est à plusieurs kilomètres chez des collègues que je ne connais pas, et comme je suis particulièrement timide, j’ai peur de les déranger et me fais aussi petite que possible. Ainsi, je fais le chemin à pied à travers champs et j’avoue que je ne suis pas sereine.

    Je ne suis vraiment bien que dans « ma » classe avec mes jeunes élèves. Parmi eux,  Jean est un petit garçon assez renfermé, peu expansif que mon ATSEM semble prendre sous son aile et qu’elle aide du mieux qu’elle peut avec des grands renforts de « Jean, demande des crayons à la maîtresse ! »… « Jean, c’est bleu qu’il faut répondre ! »… «Jean, tu as vu, c’est deux escargots et trois coccinelles qui sont cachées dans le dessin ». Parfois elle répond carrément à sa place lorsqu’elle ne fait pas les exercices pour lui. Je comprends assez rapidement que cette femme est sa mamy et j’ai beaucoup de mal à trouver une solution pour qu’elle cesse de travailler à la place de son petit-fils. J’ai peur de la vexer et je tente une petite phrase anodine pour lui faire comprendre que Jean peut se débrouiller seul :

    • « C’est bien d’avoir sa mamy dans la classe, mais je crois que Jean a les capacités de réussir tout seul cet exercice, vous savez ! Il suffit de lui laisser un peu temps, il ….
    • «  Mais Jean n’est pas mon petit-fils, c’est mon fils ! Me coupe -t-elle du tac au tac.

     

    2- Le maillot de bain

    Piriac : Je sais, la plupart des anecdotes que je raconte se déroulent dans ce lieu de vacances familiales….

    Ce jour-là, le soleil est particulièrement généreux et nous en profitons pour partir avec les enfants, ma sœur et mon beau-frère à la pêche sur les rochers.

    Nous revenons gaiement avec nos seaux remplis de palourdes et nous sommes assez fiers de notre « récolte ». Les enfants se précipitent vers leur mamy pour leur raconter leur matinée. On  aperçoit alors notre mère  en maillot de bain. Elle qui est toujours couverte de la tête aux pieds, non pas qu’elle soit frileuse, mais particulièrement pudique, cela nous surprend.  Ma sœur s’étonne alors :

    • Eh ben dis-donc ! Que t’arrive-t-il ? En maillot de bain !
    • J’avais vraiment trop chaud, et j’ai retrouvé ce vieux maillot dans mes affaires. Je crois qu’il était à toi quand tu étais jeune, répond-elle à ma sœur.

    Mon beau-frère s’exclame alors, en s’adressant à ma sœur  :

    • Ben dis-donc ! Tu étais si grosse que ça !!
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  • Bonjour tout le monde,

    Fin décembre, il fait encore très doux, et on est bien loin des années où la neige tombait à gros flocons en cette période.

    Je me souviens de ces batailles de boules de neige et de ces bonhommes que l'on fabriquait avec les enfants....

    Belle journée à tous

    Drôles de bonhommes

    Drôles de bonshommes !

    Il a neigé toute la nuit de samedi à dimanche, alors forcément, dès les premières lueurs du jour, les enfants se sont précipités dehors pour faire des batailles de boules de neige.

    Le spectacle est féérique. Tout le village a revêtu un beau manteau blanc. Les rues, les arbres, les maisons, les voitures…tout semble s’être endormi sous cette épaisse couverture blanche. Quand on marche, les pieds s’enfoncent avec un léger bruissement dans ce moelleux tapis immaculé. On n’avait pas vu ce spectacle depuis des années.

    Ewenn est fou de joie, et c’est avec un réel plaisir qu’il envoie de grosses boules blanches en direction de ses parents et de ses copains qui lui rendent la pareille avec le même bonheur. La bataille dégénère et tous les enfants  s’amusent à faire les « petits fous » en sautant, courant et se roulant dans la neige tendre et froide. Quel bonheur !

    • Et si on fabriquait un bonhomme de neige ? lance soudain Ewenn à la petite troupe. Aussitôt dit, aussitôt fait. Tout ce petit monde se lance dans la réalisation d’énormes boules pour les empiler au centre du quartier.

    Deux énormes bonhommes voient alors le jour…Ewenn va chercher deux bonnets de laine pour couvrir leurs tête, Quentin deux longues écharpes rayées pour enrouler autour de leurs cous et Clémentine des morceaux de bois mort pour leur servir de bras.

    • Comme ils sont beaux, s’exclament-ils ! mais il manque les bouches et les yeux...Ewenn a l’idée d’ajouter des gros boutons colorés qu’il aligne pour leur donner de jolis sourires et un regard très doux.

    Satisfaits de leurs réalisations, les enfants dansent et chantent autour de leurs créations.

    Toute la journée, ils vont et viennent pour jouer dans la neige, admirer leurs deux nouveaux amis, et même leur parler avant de se rendre chez Ewenn dont la maman a préparé un délicieux chocolat chaud pour réchauffer tous ces petits artistes. Derrière la fenêtre, ils observent une dernière fois les deux bonhommes avec fierté avant d’ôter moufles, écharpes et manteaux et de dévorer leur goûter avec appétit.

    Enfin seuls, les deux bonhommes se regardent et s’étirent en tremblant...Il commence à faire très froid et la nuit ne va pas tarder à tomber.

    Drôles de bonhommes

    • On gèle ici ! dit l’un
    • Tu as raison, ils sont bien gentils ces gamins, mais ce n’est pas ce bonnet et cette écharpe qui vont nous empêcher de mourir de froid. Ils auraient pu nous emmener avec eux, bien au chaud. J’aurai bien bu un bol de chocolat moi aussi.
    • Je t’explique, on ne peut pas mourir de froid, c’est tout le contraire. J’ai un copain qui a voulu se réchauffer près d’une cheminée...eh bien, il a fondu !!
    • T’es sérieux là ? Alors, nous sommes vraiment condamnés à rester là, tous nus, secoués par le vent et le froid.
    • Ben oui !
    • Mais, j’y pense, si le soleil revient, nous allons fondre !
    • Eh oui !
    • Ça ne te gênes pas de savoir que les enfants ont tout fait pour nous donner la vie et que nous allons devenir une flaque d’eau dès que le beau temps décidera de faire son apparition.
    • Non, bien sûr ! mais que faire ?
    • J’ai ma petite idée !
    • Dis toujours pour voir.
    • Si nous partions ?
    • Partir ? mais où ?
    • Au Pôle Nord ! il parait qu’il fait toujours froid là-bas
    • Mais, c’est très très loin le Pôle Nord !
    • Alors, il ne faut pas perdre de temps

    Et voilà nos deux bonshommes de neige qui prennent leurs jambes à leur cou et s’échappent pour rejoindre l’étendue gelée du Pôle Nord. Ils arrivent bientôt dans un village de glace parmi les Esquimaux et les ours blancs qui écarquillent les yeux en voyant arriver, grimpés sur un nuage blanc, ces deux drôles de personnages en neige.

    Lorsque les enfants sont enfin sortis de chez Ewenn pour retourner chez eux, les deux bonshommes avaient disparus…Ils n’ont jamais compris ce qui s’était passé ! D’autant plus que la neige retombait à gros flocons.

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  • Belle journée à toutes et à tous,

    Étrange :  l'hérédité !

    Enfants et parents : les mêmes gestes, les mêmes mimiques, les mêmes intonations....Cela semble logique lorsque l'on sait que les enfants "imitent" leurs parents.

    Ce qui est surprenant, c'est de voir apparaitre des similitudes dans des circonstances différentes, comme dans ces dessins par exemple...

    Bon jeudi à tous

    Le '"Château fort"

    Le château fort

       Transmissions de pensées, télépathies, coïncidences, hasards... quels que soient les noms qu’on leur donne, certains faits nous interpellent. On pourrait croire qu’ils se manifestent rarement parce que  n’y attachons pas souvent une grande importance, sauf lorsque c’est vraiment « très gros » comme cette histoire de « permis de conduire » dont j’ai déjà fait allusion...

    Mais il suffit de bien observer ce qui se passe autour de nous et nous découvrons souvent des détails assez curieux. Bien sûr, j’ai une petite anecdote sous le coude et je vais me faire un plaisir de la raconter ici. On ne peut pas dire qu’il s’agisse vraiment d’une histoire extraordinaire, mais d’un fait presque « quelconque » qui pourrait « étonner » chacun d’entre nous si nous acceptons de nous laisser surprendre.

    Il y a déjà quelques mois, l’un de mes petits-fils est venu m’apporter un joli dessin qu’il avait fait chez lui, un dessin dont il était très fier à juste titre. Il s’agissait d’un magnifique château fort avec ses tours, ses drapeaux, sa lourde porte de bois, ses fenêtres triangulaires et ses douves et…à bien regarder, cette image me rappelait un autre château, celui de l’ainé de mes petits fils. Certains détails m’interpelaient. Je me suis bien sûr mise à la recherche de cet autre dessin pour les comparer. Je l’avais rangé avec toute la production de mes loulous dans un coffre et n’ai donc eu aucun mal à le retrouver.

    Le '"Château fort"

    Les deux châteaux n’étaient pas identiques trait pour trait, mais il y avait des similitudes assez étonnantes étant donné que mon loulou n’avait pas vu le dessin de son cousin : Deux drapeaux identiques, tournés tous les deux vers la droite flottaient au sommet de deux tours, quatre fenêtres jaunes en triangle ornaient le mur principal du château et la lourde porte de bois était identique en tous points ainsi que les douves, minuscules, de chaque côté du mur. Mêmes nuages également (mais souvent représentés de la sorte)...

    Est-ce parce que les dessins sont très révélateurs de la personnalité et des émotions des enfants que ces dessins m’ont laissée perplexe ?

    Il est vrai qu’un spécialiste va s’attacher à chaque détail (forme, placement dans l’espace, proportions et couleurs), mais sans entrer dans toutes ces considérations, et ayant déjà observé de nombreux dessins de par ma profession, j’ai retrouvé dans ces deux dessins un certain « esprit de famille ». J’ai fait appel à mes souvenirs et j’ai « reconnu » une certaine manière de dessiner de mes propres filles (leurs mamans donc) qui représentaient certains détails de la même façon...et c’est, je crois, la raison « inconsciente » qui m’a fait « tilt » lorsque j’ai vu ces deux châteaux forts.

    A bien y réfléchir et en observant ces dessins, je ressens certains traits de caractères propres à mes loulous et à leurs mamans.  C’est un peu comme si les dessins me parlaient !!! Je suis la première surprise de pouvoir «  lire » dans ces dessins autre chose que ce simple « château », exactement comme lorsque je regarde mes petits-enfants et que leurs mimiques me rappellent celles de leurs mamans.

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