• Bonjour tout le monde,

    Voilà, voilà...j'arrive! Avec une toute nouvelle histoire de galette...toute fraîche, celle-là !

    Un peu olé olé, je le conçois, mais nouvelle!

    Alors, ne perdons pas de temps ou elle va s'échapper

    Belle journée à tous

    Etrange galette

    Étrange  galette

    • Vous n’avez pas vu la galette les enfants ?
    • Quelle galette ?
    • Eh bien la galette des rois que j’ai achetée ce matin à la boulangerie. Je l’ai posée sur la table il n’y a pas cinq minutes…et elle n’y est plus.
    • Ah ? On n’a rien vu. Tu es sûre ?

    Etrange galette

    Pendant ce temps, dans le jardin, deux écureuils observent cette drôle de galette qui vient de rouler jusqu’au pied du noisetier. Elle semble bien appétissante. Toute ronde et bien croustillante, ils en feraient bien leur repas, vu qu’ils ne retrouvent plus les noisettes qu’ils ont camouflées dans le coin, en automne.

    • Elle est trop lourde pour l’emporter avec nous, dit l’un. Allons chercher nos amis pour la déguster ensemble.

    Lorsqu’ils reviennent, la galette a disparu.

    • Normal ! Se disent-ils simplement, on retrouve rarement les endroits où l’on a dissimulé nos provisions !

    Etrange galette

    Pendant ce temps, en contrebas de la maison, la famille ragondin s’arrête devant cette jolie boule toute dorée qu’ils découvrent juste sous les arcades du pont qui surplombe la rivière.

    • Tiens, tiens, se disent-ils, la lune qui se reflétait sur l’eau s’est échouée sur le rivage. Sans doute à cause de la pluie qui n’arrêtait pas de tomber ces jours-ci.

    Ils la tournent et la retournent entre leurs pattes.

    • Elle sent bigrement bon la lune ! s’exclame l’un d’eux, prêt à y planter ses puissantes incisives.
    • Halte là ! l’interrompt un deuxième…pourquoi toi ? On va tirer au sort. Am stram gram, pic et pic et colégram….

    Lorsqu’ils se sont enfin mis d’accord pour savoir qui croquerait dans la « lune » le premier, la galette (puisqu’il s’agit bien d’elle !) a déjà disparu.

    Etrange galette

    Pendant ce temps, pas très loin de là, de l’autre côté du pont, un vieil homme voit arriver la galette qui roule vers lui. Il l’attrape et sans perdre une seconde, mord à belles dents dans la galette. Il n’en revient pas ! Non seulement elle est délicieuse cette galette, mais il tombe directement sur la fève, un superbe petit objet en porcelaine ….

    Vous l’avez reconnu bien sûr ! Ce vieil homme n’est autre que Germain-la-Guigne… vous savez, cet homme qui n’a jamais eu de chance ! Eh bien, après l’histoire de la galette « sans fève », il s’est dit qu’il n’avait plus rien à perdre et il a enfin décidé d’aller se promener pour voir du pays… Et il était là, tranquille, au bord de l’eau à fumer sa pipe.

    Il tourne et retourne la fève - une petite voiture verte - entre ses doigts lorsqu’il entend une toute petite voix qui vient de l’intérieur :

    • Il était temps !

    C’est un petit lutin qui s’agite au volant du bolide.

    La voiture s’échappe alors des mains de Germain, tombe sur le sol et reprend sa route à vive allure, beaucoup plus légère qu’avec une galette sur le dos.

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  • Belle journée à toutes et à tous,

    Étrange : Soyons précis - 2

    Dans le dernier texte sur ce thème, je racontais quelques anecdotes "récentes" qui semblaient démontrer que "l'Univers" répond toujours favorablement à nos demandes.

    Dans celui-ci, il semblerait que ce ne soit pourtant pas le cas...Le cas contraire. ( un peu comme le billet de monopoly!)

    J'ai réfléchi depuis...En fait la réponse "positive" était bien là....mais y croyais-je vraiment ??? C'est beaucoup plus difficile qu'il n'y parait de "croire inconditionnellement"

    A cogiter !!

    Quand ça veut pas !!

    Quand ça ne veut pas…ça ne veut pas !!

        Tout a commencé l’année du bac ! Élève très appliquée au cours de couture (En fait pratiquement la seule matière qui trouvait grâce à mes yeux), j’exécutais de jolis points de chausson, de boutonnière ou de surjet sur des carrés de tissus que j’encadrais dans un grand cahier. A défaut de bonnes notes en histoire et géographie, j’étais au moins sûre de grappiller quelques points dans cette option. Le jour du bac, j’étais super fière des minuscules points que j’avais parfaitement réussis pour réaliser un ourlet invisible …malheureusement sur l’envers du tissu…Ce qui me valut un beau zéro tout rond ! Pas de bol !

      Plus tard, je participais à toutes sortes de concours (sur les journaux, revues diverses, produits alimentaires et autres...) sans jamais gagner quoi que ce soit bien entendu...mais je persistais...et j’ai eu raison ! Un jour, en revenant du supermarché, je tombe sur un questionnaire dans le paquet de couches culottes « Peaudouce » que je viens d’ouvrir pour changer bébé. Je le mets de côté, et j’y réponds tranquillement dans la soirée. Évidemment, je ne suis pas avare d’éloges pour cette marque « géniale », « anti-fuite », « hyper résistante » et tout et tout. En réalité j’en achète très peu parce qu’elles sont relativement coûteuses (à l’époque on utilise surtout les couches et occasionnellement les changes complets !). Conclusion, je fais partie des dix gagnantes d’un petit fauteuil enfant. Je l’apprends quelques semaines plus tard par une missive : «  Vous avez gagné l’un des dix lots mis en jeu. Nos livreurs n’ont malheureusement pas trouvé l’adresse que vous nous aviez indiquée. Nous en sommes profondément désolés! »....Et toc...je n’ai jamais reçu ce fameux lot ! Pas de bol !

    Ce qui est frustrant, ce n’est pas de ne pas gagner, c’est plutôt courant, ce qui l’est en revanche, c’est de réussir... sans vraiment « gagner » ! Je m’explique avec un autre exemple :

    Il m’arrive souvent de participer à des sortes de tombola dans les supermarchés. On entend souvent cette phrase « C’est inutile, on ne gagne jamais » ! Mais si ! Il y a des personnes qui gagnent. Un jour, ma mère part faire ses emplettes avec un chariot de courses que je n’avais jamais vu :

    • Tu t’es acheté un caddie ?
    • Non, je l’ai gagné à Monoprix…mais je ne comprends pas, je n’ai jamais mis de bons dans l’urne !
    • Moi si ! Un pour toi, un pour moi !

    Des anecdotes, j’en ai un max, mais la plus « étrange » et la plus rageante, c’est lorsque j’ai passé des heures et des heures avec mes parents pour participer à un concours organisé par notre quotidien favori « Presse Océan ». Nous  nous réunissions chaque soir pour répondre à la question quotidienne...des questions hyper dures. Il fallait par exemple dire combien de billes contenait un verre, quelle boule sur la photo était le plus près du cochonnet, trouver la longueur d’une corde enroulée etc etc...Et comme si c’était trop facile, il y avait en plus une question subsidiaire pour départager les éventuels gagnants... A la fin du concours, les résultats. Je suis scotchée, j’ai tout bon et je suis très proche du résultat de la question finale...En lisant les résultats sur le journal, je dois être quatrième ....super ! je suis gagnante d’un appareil photo ! J’attends avec impatience de lire mon nom en gros sur le journal (les dix premiers ont ce privilège !)...Bizarre, mon nom n’apparait pas. Le quatrième, ce n’est pas moi, le cinquième non plus...je ne suis même pas en fin de liste....

    Bizarre ! On ne se démonte pas, on va direct à la rédaction du journal pour connaître le fin mot de l’histoire...

    • Effectivement, voici votre bulletin, nous annonce-t-on...vous auriez dû obtenir le quatrième lot, mais quand nous avons reçu votre lettre, elle était ouverte et ne contenait pas les vignettes collectées sur le journal !

    Elles ont disparu !! Elles étaient pourtant là...Je me souviens encore les avoir découpées une à une et les avoir regroupées avec un trombone doré. Je m’étais même dit que cette couleur allait me porter chance !!! Que nenni ! On me les a « chouré » à la poste apparemment !!! Pas de bol !

    Après cette mésaventure, je me suis calmée sur les concours.

    Pourtant,  il semblerait que ce phénomène de « chance manque de bol » soit malheureusement héréditaire. Lorsqu’elle était étudiante, ma fille, fan de Obispo, participait à tous les concours sur une chaine de  radio pour gagner une place de concert…Et elle a fini par l’obtenir cette fameuse place tant convoitée !…. Hélas, c’est sa sœur qui en a profité ! …. Elle était alitée le jour J !! Pas de bol !

    Quand ça ne veut pas…ça ne veut pas !!

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  • Bonjour tout le monde,

    Suite de cette histoire du mercredi commencée il y a déjà plusieurs semaines maintenant....

    Apparemment, elle n'est pas encore terminée...je me demande bien ou elle va nous mener!

    Bon mercredi à tous

    Nouvelle vie -

    VI

      Lorsque les parents arrivent enfin dans la cour de la ferme, le père Mathurin n’attend pas pour ouvrir sa porte et les inviter à entrer. Ils découvrent alors  leurs enfants attablés autour de la lourde table de chêne en train de terminer un grand bol de chocolat et des tartines dégoulinantes de confiture de fraise.

    Les parents restent figés dans l’entrée, les bras ballants, ne sachant pas s’ils doivent sermonner leur progéniture, les récupérer sans rien dire ou remercier le fermier de les avoir accueillis. Ils n’ont pas le temps de se poser la question que les enfants se ruent dans leur direction, trop heureux de les voir arriver.

    • Merci de les avoir accueillis dit simplement Mélanie tandis qu’Hugo se jette dans ses bras.
    • Mais qu’est-ce-qui vous est passé par la tête ? S’exclame alors Benji.
    • Que faisiez-vous sur cette route déserte ? Poursuit Rémi
    • Et la bibliothèque ? Pourquoi nous avoir dit que vous alliez au goûter que Sylvia vous avait préparé ?

    S’ensuit un brouhaha infernal. Les parents posent mille questions auxquelles les enfants essaient de répondre tous en même temps. Finalement, plus personne n’écoute personne.

    • Stop ! S’écrie alors le Père Mathurin. On va discuter calmement et tranquillement autour d’un café. Venez donc vous assoir, d’ailleurs les enfants n’ont pas terminé leur petit encas. Vous savez, ils étaient épuisés et complètement déshydratés lorsque je les ai récupérés.

    Finalement, C’est Émilie, qui, d’une toute petite voix explique aux parents pourquoi ils ont fait « la grève de la bibliothèque » et comment ils ont eu l’idée d’aller rechercher Marie. Sûr, elle s’est réfugiée dans  le Moulin de Noyal, cet endroit dont elle leur a tant parlé !

    • Vous vouliez aller jusqu’au Moulin, mais vous êtes complètement inconscients ! Sur ces routes désertes…par ce froid de canard, mais c’était quoi cette idée à la …Le papa de Melvin s’arrête juste à temps en apercevant le regard noir de Benji. Rémi profite de ce léger temps mort pour déclarer le plus tranquillement  du monde :
    • D’autant plus que Marie, elle n’y est pas au Moulin de Noyal, Vous n’y êtes pas du tout! Non …elle est…

    En voyant tous les regards se tourner vers lui, Rémi s’arrête un instant, se racle la gorge avant de poursuivre, un peu embarrassé :

    • Elle est à Paris !
    • A PARIS !! S’étonnent enfants et parents dans un élan commun
    • Oui, elle est partie…enfin, je l’ai conduit à la gare très tôt ce matin. Elle a rendez-vous avec un éditeur.
    • Un éditeur ? Mais, je ne comprends rien à ce que tu racontes Rémi, hier soir elle parlait d’aller chercher du travail dans la semaine…mais elle n’a jamais évoqué quoi que ce soit qui ressemble à l’édition de …de quoi au juste ?.
    • Oh ! C’est une longue histoire. Mais commençons par le début. Comme vous devez vous en doutez depuis un moment, Marie et moi sommes…comment dire…très liés.

    Regard  un tiers interrogateur, un tiers réprobateur et un tiers amusé mais cent pour cent noir d’Émilie, ce qui déclenche un sourire chez son père qui poursuit son récit :

    • J’ai tout de suite vu qu’elle avait un formidable coup de crayon et qu’elle était très attirée par les contes. Ce n’est pas pour rien que les enfants adorent écouter ses histoires! Elle m’a confié un jour qu’elle avait commencé une bande dessinée mais elle ne voulait pas en parler. C’est pour cela que lorsque vous pensiez qu’elle planchait sur un concours, elle était en train de créer ….
    • Venez-en au fait ! On s’en fout de vos p’tites histoires, grogne le père de Melvin avec impatience.
    • Non, non, continue, le sollicite Mélanie, trop contente d’entrevoir une issue favorable pour Marie
    • Alors, pour faire court. Hier soir, Marie m’a appelé pour me raconter sa journée et je suis allée la rejoindre très tôt ce matin. On en a profité pour aller rendre une petite visite à la personne qui squatte son appartement, histoire de récupérer quelques affaires. Elle n’a fait aucune difficulté pour nous faire entrer. A partir de là tout est allé très vite. Vous connaissez Marie, toujours le cœur sur la main. Elle a proposé à cette jeune femme qui a l’air un peu paumé de partager son appartement avec elle ! D’ailleurs, aussi étonnant que cela puisse paraitre, rien n’a vraiment changé et il est bien entretenu…
    • N’importe quoi, s’exclame Benji ! C’est chez les flics qu’elle aurait dû aller….
    • Peu importe, elles se sont mises d’accord au moins pour l’hiver…. Mais, c’est quand Marie a ouvert son courrier qu’elle a trouvé cette lettre d’un éditeur a qui elle avait envoyé l’une de ses maquettes que tout s’est bousculé. Il l’invitait à venir le rencontrer dès que possible. On n’a fait ni une ni deux, je l’ai aidée à rechercher tous ses croquis et planches, elle a mis quelques vêtements dans une valise et je l’ai conduit à la gare…. Voilà.
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  • Bonjour tout le monde,

    Êtes-vous de ceux qui ne trouvent jamais la fève dans la galette des rois?

    Pas de chance!!

    Bon mardi à tous

    Germain

    Germain-la guigne !

              Il était une fois un très vieux monsieur qui n’avait jamais eu de chance dans la vie. Il vivait dans la montagne, dans un endroit où jamais personne ne mettait les pieds. Les rares promeneurs qui s’égaraient dans le coin racontaient qu’ils s’étaient perdus au fin fond de la brousse ! Et bien sûr ils n’avaient même pas rencontré le pauvre Germain qui passait son temps devant la porte de son chalet à fumer sa pipe. Si vous étiez passés par là, vous l’auriez vu, assis sur un petit banc de bois bancal. Il y restait du matin au soir…et du soir au matin, il dormait.

    Un jour, il se rendit compte qu’il s’ennuyait vraiment, terriblement, et cela le contraria. Les montagnes, il les connaissait par cœur, enfin celles qu’il avait sous les yeux à longueur de temps, et rien ne venait le surprendre. Il ne voyait personne, il ne recevait aucune visite, et même les marmottes et les bouquetins ne s’aventuraient pas dans ce trou perdu.

    Il ne se promenait même plus sur les sentiers, parce que, il y a quelques années pendant l’hiver, il s’était perdu dans une forêt de mélèzes. Il avait passé trois jours dehors, au froid. Il était revenu avec beaucoup de fièvre et une toux sévère. Il avait  attendu en vain un hypothétique médecin qui n’avait même pas pu se déplacer à cause de la neige. Le pauvre Germain avait dû garder le lit pendant deux mois. C’était comme ça depuis toujours. Il n’avait jamais eu de chance !

    Tout petit déjà, ses camarades à l’école l’appelaient « Germain-la-guigne », un surnom qui lui était resté au collège où il était souvent « en retenue » et au lycée où il n’arrivait pas à se faire de copains. Bien sûr, ce nom lui collait à la peau et lorsqu’on parlait de lui au village, c’était pour évoquer toutes ses infortunes.

    Évidemment, je vais éviter d’évoquer ici tous ses malheurs, ça vous saperait le moral. Toutefois, je vais vous raconter ce qui lui est arrivé la semaine dernière parce ça prouve à quel point il manque de bol !!

    L’autre jour donc, il s’est réveillé comme chaque matin, il a pris son petit déjeuner, fait sa toilette, s’est regardé dans le miroir et s’est trouvé terriblement triste. Il a pris sa pipe et s’est dirigé vers la porte pour aller fumer dehors. Mais, contrairement aux autres jours, en passant dans la cuisine, il a jeté un coup d’œil distrait sur le calendrier des postes. En regardant de plus près, il s’est aperçu que c’était le jour de l’Epiphanie. Il a froncé les sourcils et s’est fait cette remarque :

    • Le 25 décembre, c’était Noël et je n’ai même pas eu de cadeau dans mon sabot. Le Père-Noël m’a encore oublié cette année! Mais aujourd’hui, je vais avoir ma revanche. C’est le jour des rois, et foi de Germain, je serai le roi de la journée !

    Et après avoir prononcé ces mots à voix haute devant le calendrier, il est retourné dans sa salle de bain, s’est rasé de près et s’est habillé avec des vêtements propres. Il est sorti de chez lui pour se mettre au volant de sa voiture, et a conduit jusqu’au bourg. Tous les villageois ont ouvert de grands yeux en le voyant franchir la porte de la boulangerie. Il a acheté une galette des rois et sans dire plus de mots qu’il ne faut, il est retourné dans son cabanon.

    • Voilà, comme ça, rien ne m’empêchera d’être le roi du jour. Je vais manger toute cette galette et je suis sûr de trouver la fève.

    A midi, il a mangé la moitié de la galette. Rien ! Au goûter, il a dévoré le reste. Rien non plus!

    Il était tombé sur la seule galette qui n’avait pas de fève ! Un oubli du boulanger. C’est pourtant rare !! Germain prit son courage à deux mains, sortit de son vieux buffet de la farine, du beurre, du sucre et des œufs et confectionna lui-même une galette dans laquelle il glissa une fève (un petit caillou !). A peine sortie du four, toute belle et bien dorée, il la mit sur une assiette et alla s’asseoir sur son petit banc de bois bancal. Il prit tout son temps pour la déguster et lorsqu’il ne lui resta plus qu’une bouchée, il attendit le bon moment pour la mettre dans sa bouche, trop heureux d’avoir enfin une chance, celle de découvrir la fève...C’est là qu’il entendit une fenêtre claquer à l’intérieur de son logis. Il posa donc son assiette sur le petit banc de bois bancal et alla fermer sa fenêtre. Lorsqu’il revint, l’assiette était vide. Un chamois affamé qui passait - par hasard -  dans le coin, venait d’engloutir ce qui restait de galette !!!

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  • Belle journée à toutes et à tous,

    Insolite : Faites vos vœux !

    Oui, mais soyez précis ! L'Univers répond à toutes vos question. il suffit de formuler vos demandes avec précision ....et d'y croire vraiment...

    N'hésitez pas à me communiquer vos propres expériences.

    Belle journée à tous

    Soyons "précis"

    Soyons précis…

        Il suffit de se balader dans les allées d’un Salon du Bien-être pour découvrir au moins un stand recouvert d’une centaine d’ouvrages qui traitent de sujets tels que le développement personnel, l’intuition, la parapsychologie ou les arts divinatoires, ainsi  que des jeux de cartes « oracles ». Ces cartes sont souvent dotées de  magnifiques illustrations, et lorsque nous en choisissons une au hasard dans un jeu, on peut être surpris de constater  qu’elle répond à une question que nous nous posons ou qu’elle nous « incite » à voir la vie d’une manière plus positive.

    Personnellement, j’ai été littéralement attirée par l’un d’entre eux « Les portes magiques de L’Univers » de Vanessa Mielczareck et Brigitte Barberane.  Je l’ai acheté dès que je l’ai aperçu et jamais je n’ai eu à le regretter.

    Les illustrations sont particulièrement belles et les explications données pour chacune des cartes particulièrement « positives ».  Chaque carte nous « guide » vers une introspection et nous plonge à l’intérieur du plus profond de notre être.  On ne peut qu’y trouver une manière de penser positive quelle que soit la carte que nous choisissons.

    Ainsi, la toute première carte du jeu «  l’Aide Céleste » nous dit que « demander l’aide précieuse du Ciel potentialise notre pouvoir d’Attraction. L’auteur précise que cette carte est une grâce qui nous connecte à la source céleste pour nous permettre de manifester ce que nous voulons…Il suffit d’ouvrir notre esprit à l’irrationnel et à la puissance infinie de notre imaginaire…pour régler un problème, avoir une idée de génie, concrétiser un projet…  Toutes nos demandes sont légitimes, elles sont comblées avec grâce par l’Univers »

    Autrement dit, il suffit de demander et l’Univers exauce notre demande d’une manière parfaite..

    Bien sûr que j’ai des exemples concrets à relater dans ce texte, et je ne vais pas m’en priver. Nous sommes tous plus ou moins comme Saint Thomas, on ne croit que ce que l’on voit !

    Alors pour commencer, voici deux exemples qui démontrent que nos « demandes » à l’Univers doivent être très très précises :

    • Ma fille trouve une pièce de monnaie en se promenant. Elle la ramasse et remercie l’Univers (il faut toujours remercier pour un bienfait quel qu’il soit !) en envoyant cette demande : « C’est bien gentil une petite pièce de monnaie, mais ce serait beaucoup plus sympa un billet ! ». Quelques minutes plus tard, elle aperçoit un billet sur le sol et le ramasse en riant aux éclats : Il s’agit d’un billet de monopoly !! Oups !
    • Une autre de mes filles a changé de travail depuis quelques mois. Elle est satisfaite de cette nouvelle affectation qui lui apporte plus d’avantages que l’ancienne…Il y a juste un petit détail sur lequel elle a dû faire quelques concessions : elle ne fait plus de télétravail. A l’occasion d’une réunion de famille, sa sœur parle de son mercredi à la maison. Sans trop y penser elle lance : «  ça me manque mon mercredi à la maison, j’aurai bien aimé l’avoir encore ». Eh bien, qu’à cela ne tienne, l’Univers a entendu sa demande, le surlendemain, sa voiture tombait en panne, elle a dû se faire conduire pour aller au boulot et le jour suivant, le mercredi, elle devait rester à la maison en télétravail !!! Oups !

    Allez, voilà à présent des demandes bien formulées qui ont fait l’objet de réalisations plus heureuses :

    • Lorsque ma fille arrive sur un parking, elle demande toujours à l’Univers une place libre pour se garer et y parvient toujours. Je ne la croyais pas lorsqu’elle me racontait ça, alors forcément, j’ai testé moi aussi ce « truc infaillible ». Il faut y croire vraiment et se dire que la place est là ! Précise ma fille. Aussi, lorsque je veux me garer, même lorsque cela semble impossible (au centre-ville par exemple), je demande à présent à l’Univers de me guider vers cette place libre qui m’attend ! Vous n’êtes pas obligé de me croire, mais ça marche toujours…sauf quand je doute !!!
    • Petite anecdote récente : quelques jours avant Noël je fais un achat à l’institut de Beauté du centre commercial. Je vois une magnifique petite peluche « renne » et la vendeuse me dit qu’elle était offerte aux clients pour une certaine somme. Je l’ai dépassée cette somme ! Elle me précise alors que cette peluche que j’aurai bien vue dans le soulier de l’un de mes petits fils est réservée et qu’il n’en reste plus !! j’ai fait mon achat trop tard. Pas de bol ! Eh bien, pas de soucis, il y a une tombola pour gagner la grande peluche (la même que la petite mais en plus grand !). Je dépose donc mon bon dans la boite transparente sur le comptoir avec les centaines d’autres en me disant que l’Univers est juste et qu’il va me faire gagner cette peluche pour remplacer celle que je n’ai pas eue. Bingo ! C’est mon nom qui a été tiré au sort ! j’avais une chance sur deux ou trois cents ! Trop facile !!

    D’autres exemples bientôt ! En attendant, rien ne vous empêche de tenter l’expérience !

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