-
Bonjour tout le monde,
Dimanche : Sourions un peu
Source d'agacements, d'énervements, de peines, de joies mais aussi de rires...Le téléphone !!
Quelques exemples fournies par ce petit objet ... jamais bien loin
Bon dimanche à tous
Au téléphone
Dialogues de sourds
C’est fou ce que le téléphone peut générer comme sentiments chez chacun d’entre nous. Il peut nous apporter des nouvelles qui nous rendent heureux ou tristes. Il peut nous agacer, nous énerver, ou simplement nous amuser…. agacés lorsque l’on achète un nouveau portable, que nous passons des heures à réinitialiser toutes nos « applis » et s’apercevoir à la fin que nous n’arrivons même pas à accéder à cette simple fonction : le téléphone !
On peut être énervés par des appels intempestifs pour des pubs, mais aussi amusés par les propos tenus par des personnes qui se trompent de numéro.
Tout cela pour dire que bien que nous manipulions cette petite merveille de la technologie chaque jour, nous ne sommes pas toujours si bien familiarisés avec cet outil. Combien de fois l’ai-je cherché alors que j’étais en train de téléphoner ? Qui d’entre nous ne s’est pas trompé au moins une fois de touche pour se retrouver à discuter avec un autre interlocuteur que celui que l’on voulait joindre ? Et si vous devez joindre un proche avec un autre appareil que le vôtre, y arriverez-vous facilement ? Oui ? Réfléchissez bien ! Vous connaissez par cœur les numéros des membres de votre famille et de vos amis ? Ah ! Vous voyez ! Voici d’autres exemples :
1 – Mon jeune frère m’appelle. Je décroche et j’entends
- Allo oui ! j’écoute
- Mais c’est toi qui m’appelle banane !
2 – Une simple erreur
- Allo ! Madame Dupuis ?
- Ah non ! Vous faites erreur
- Vous n’êtes pas madame Dupuis ?
- Absolument pas !
- Vous êtes sûre ?
Un peu oui que j’en suis sûre ! Non mais elle serait bien capable de me faire douter cette personne que je ne connais pas.
3 – Un homme qui ne prend pas le temps de se présenter :
- Allo, j’ai très mal au dos et j’ai besoin d’une séance de massage très rapidement
- Je veux bien vous faire un massage, mais je ne suis pas kiné !
4 – Le meilleur pour la fin
Mon amie entend son téléphone sonner dans son sac. Elle le cherche dans toutes les poches, vide son sac, remet tout son barda à l’intérieur et déclare :
- j’ai dû l’oublier à la maison
- Ben non ! Il vient de sonner !
votre commentaire -
Belle journée à toutes et à tous,
Aujourd'hui petit coup de cœur pour tous ces inventeurs et chercheurs qui réalisent nos "rêves d'enfant"...
Souvenir d'enfance
Bon week-end à tous
Idée avant-gardiste
J’avais déjà neuf ans lorsque la « fée » télévision est arrivée à la maison. Nous, les enfants, n’avions le droit de la regarder que quelques instants seulement, le jeudi (eh oui, c’était le jeudi notre jour de repos à l’époque !) et le samedi soir. Il n’y avait qu’une chaine et les images qui défilaient en noir et blanc nous semblaient « magiques ». C’était un réel bonheur de regarder un dessin animé, un film jeunesse ou la piste aux étoiles. Les autres jours, nos parents nous envoyaient nous coucher de bonne heure tandis qu’ils restaient renfermés dans la salle de séjour pour profiter tranquillement de leur film …et pas question pour nous de jeter un œil sur l’écran.
Je me souviens qu’avec mes frères et ma sœur nous essayons par tous les moyens de « tricher » un peu pour « voler » quelques images, mais c’était quasiment « mission impossible ». Nous descendions sans bruit les escaliers et à mi-chemin, on passait un petit miroir de poche par le trou qui accueillait autrefois le tuyau du poêle à bois. C’était plus un jeu qu’autre chose parce qu’on ne captait pratiquement rien dans cet écran de fortune, mais ça nous amusait tellement de braver les interdits ! Parfois, notre mère, sensible au moindre bruit, venait nous surprendre et nous conseillait de monter vite fait dans nos chambres si on ne voulait pas subir les représailles douloureuses de notre père.
On se réunissait alors tous les quatre dans l’une de nos chambres pour rêver d’un futur sans « frustrations ». Nous mettions en ébullition nos jeunes méninges pour émettre des idées plus farfelues et extravagantes les unes que les autres.
Nous émettions ainsi l’idée d’un mini téléviseur que l’on pourrait cacher dans notre chambre et qui nous permettrait de regarder des images discrètement…c’était à celui qui inventerait l’objet le plus extraordinaire possible. Je me souviens que l’un d’entre nous avait invoqué un minuscule écran pas plus grand que le miroir avec lequel on essayait de saisir des images, un objet qui tiendrait dans une poche et que l’on pourrait avoir sur soi pour regarder ces émissions « interdites » même en semaine :
- ça existera peut-être en l’an 2000 ! avait dit mon jeune frère. Il faut dire que dans les années 60, l’an 2000, très lointain, était l’année de tous les possibles …
- Peut-être ! Avions-nous répondu, ma sœur et moi… mais en 2000 on sera grands et on aura le droit de regarder la télé sans demander la permission aux parents !
On était loin d’imaginer à l’époque qu’un jour, on l’aurait cette mini télé, et qu’en plus elle présenterait des images en couleurs, qu’elle nous donnerait l’heure, la réponse à toutes nos questions, des recettes de cuisine, des applis pour jouer, qu’elle nous réveillerait le matin, qu’elle calculerait à notre place, compterait nos pas, nos dépenses énergétiques (on ne savait même pas que cela existait !!!), qu’elle prendrait des photos et des films qu’on n’aurait pas besoin de faire développer chez un photographe, qu’elle nous permettrait d’écouter la radio, de passer des commandes sur internet (quèsaco ?), de lire des livres, d’écrire notre courrier…. et même de téléphoner avec des gens du monde entier !!! …Comment aurait-on pu seulement imager cet objet que l’on appelle le téléphone portable (oups ! l’iPhone…) puisqu’on n’avait même pas de téléphone dans les foyers !!!!.
votre commentaire -
Belle journée à toutes et à tous,
De l'intuition aux bons réflexes, il n'y a qu'un pas
Quelques exemples
Demain un texte nouveau
Bonne fin de semaine à tous
De bons réflexes
Avoir de bons réflexes ! C’est quoi au juste ? Question stupide peut-être, mais j’ai voulu me pencher sur la question à cause de quelques événements qui m’ont, disons... «complètement scotchée » !
J’ai donc commencé par regarder une définition sur internet et j’ai lu : « Réaction très rapide, anticipant toute réflexion, en présence d'un événement » ...oui, bien sûr ! j’entends bien : ça passe directement par le geste sans passer par le cerveau...mais alors « qu'est-ce-qui déclenche ce réflexe face à une situation périlleuse? » et là, je n’ai pas trouvé de réponse.
Cette question, je me la suis posée le jour où...
...j’ai vu le bras puissant de mon père envelopper ma fille pour la ramener vers la terre ferme, alors quelle s’apprêtait à faire un plongeon de plus de cinq mètres du haut de la falaise.
Toujours à l’affut de nouvelles découvertes dans des coins que nous connaissions pourtant depuis des années, nous nous promenions en famille à la pointe de Castelli. J’ai toujours aimé ce lieu sauvage qui doit être l’un des plus escarpés de la côte entre la Turballe et Piriac. Nous marchions donc tranquillement en direction du sémaphore au plus près de la falaise pour servir de rempart aux enfants qui nous accompagnaient sur le chemin. Nous discutions de choses et d’autres, lorsque soudain, ma fille âgée de 5 ou 6 ans décida (sans doute pour échapper à son frère ou l’un de ses cousins qui la poursuivait) de nous doubler sur la gauche (côté falaise)...la végétation qu’elle voyait devant elle ne poussait pas comme elle aurait pu le croire sur la terre ferme...mais sur les flancs de la falaise !!! Elle serait tombée dans le précipice si mon père n’avait eu ce réflexe étonnant (ma fille se trouvant juste derrière lui) : tendre le bras en arrière pour l’attraper, la soulever et la ramener d’un geste précis et rapide sur le côté droit... Je n’ai pas encore compris...tout s’est passé tellement vite ! comment mon père avait-il « vu » que ma fille allait le dépasser sur la gauche ?
...Cette question, je me la suis posée le jour où ...
... ma mère nous a entrainées, ma sœur, ma cousine et moi, dans un buisson d’épines pour échapper à un groupe de taureaux en furie.
C’était à l’époque ou l’on pouvait encore faire des cueillettes de champignons dans les prés...Nous avions enjambé une barrière qui cloturait un immense champ (pas bien !!!) et recherchions ces délicieux petits « roses », bien meilleurs que les champignons de Paris. Nous marchions toutes les quatre, tête baissée. Soudain, ma mère, pour je ne sais quelle raison, s’est retournée et les a aperçus à quelques mètres de nous, ils fonçaient droit sur nous ... très énervés !!
- - Des taureaux ! s’est écrié ma mère
Pas le temps de s’échapper, ni de courir vers une éventuelle issue...ils arrivaient, tête baissée, l’air pas commode du tout. Elle n’a eu que le temps de nous attirer avec elle dans la haie la plus proche...un buisson d’épines qui nous lacérait les jambes...surtout les siennes, parce que sitôt à l’abri, elle s’élançait elle-même dans les épines pour tracer un chemin et nous permettre de la suivre et d’atteindre le champ voisin. Je me souviens de l’instant où je me suis retournée et que j’ai vu de près la tête de l’une de ces bêtes menaçantes...une vision qui ne m’a pas lâchée pendant de longs mois !!
...Cette question, je me la suis également posée il n’y a pas si longtemps le jour où ...
...mon mari à tourné son volant complètement à droite, empruntant la route perpendiculaire pour échapper à deux fous furieux qui grillaient le même stop alors que nous roulions tranquillement sur une ligne droite...Impossible de ne pas les heurter de plein fouet ou de se prendre le fossé en se déportant à gauche ...quel réflexe !!
votre commentaire -
Bonjour tout le monde,
Un peu de logique aujourd'hui pour la page 16 de notre cahier de vacances.
Un peu en rapport avec la rentrée scolaire qui approche à grands pas
Belle journée à tous
Un peu de logique
1 - Chercher l'intrus
équerre - rapporteur - crayons - fourchette - cahier - copie double
2 - Chercher l'intrus (moins facile)
courir - sauter - marcher - manger - écouter - travailler
3 - Suite logique
Agenda - baobab - écriture - gang - stylos - ..............
(à choisir entre cahier - tout - ciseaux ou crayon)
4 - Suite logique (nombres)
98 - 91 - 84 - 77 - 70 .......
5 - Chercher l'erreur
6 - Mot
Cinq auteurs que vous étudierez peut-être cette année se cachent dans cette phrase, lesquels
Là, Martine tu exagères un peu à bâiller aux corneilles pendant que Céline, cette jolie rousse aux yeux bleus travaille près de la fontaine.
7 - Quel personnage étrange d'une histoire récemment publiée se cache dans le prénom des enfants de cette classe
Lounis - Antoine - Patrick - Romuald - Igor - Noah - Céline - Ewenn - Sophie - Charles - Alexandre - Romain - Gabriel - Omar - Théo
8 - Chercher l'erreur (plus difficile!)
votre commentaire -
Bonjour tout le monde,
Personnages fabuleux : La princescargot
Une drôle de princesse aujourd'hui dans ces histoires à dormir debout...
Belle journée à tous
La princescargot
Dans un minuscule royaume que je suis seule à connaitre, naquit un jour une adorable et magnifique princesse qui, comme presque toutes les princesses (et tous les enfants en général) faisait le bonheur et l’admiration de ses parents. Elle rendait le roi et la reine complètement gagas tellement ils la trouvaient jolie avec ses longs cheveux roux et crépus, ses petites taches brunes sur les joues et ses immenses yeux verts émeraude. Sa mère passait son temps à la coiffer et lui confectionner des robes sublimes avec des volants, des rubans colorés, des strass et des paillettes, pendant que son père la photographiait sous toutes les coutures avec son téléphone portable. Elle avait bien sûr toutes les qualités… et un seul défaut. Malheureusement ce défaut fort gênant lui gâchait la vie: elle n’arrêtait pas de baver. Il y avait toujours un long filet de bave qui sortait de sa bouche. Non seulement cela la rendait triste, mais tous les habitants du royaume, cent dix-sept au total, se moquaient d’elle et l’appelaient la princescargot ( moitié princesse- moitié escargot ). Ils y prenaient un malin plaisir probablement par jalousie pour sa beauté, son intelligence et le pouvoir qu’elle avait de s’attirer la sympathie de tous les animaux qu’elle approchait. Allez savoir pourquoi.
En attendant, son surnom lui allait comme un gant parce qu’elle avait été tellement couvée par ses parents qu’elle se renfermait très souvent dans sa coquille... Mais non, elle n’avait pas de coquille, c’est une expression qui veut dire qu’elle ne s’exprimait pas beaucoup…d’ailleurs elle avait bien du mal à parler à cause de son filet de bave.
Elle préférait rester dans sa chambre à tapoter sur son clavier d’ordinateur. Là, elle se faisait des tas d’amis qu’elle ne voyait jamais, mais avec qui elle jouait à des jeux « en ligne » (c’est comme ça qu’on dit ?)
Un jour, l’un de ses amis « virtuels » lui a demandé son nom et ce qu’elle faisait dans la vraie vie…elle a juste dit qu’elle s’appelait Scarole…heu Carole (désolée, ce lapsus dû à la scarole que dévore les escargots dans mon jardin !) et qu’elle ne faisait rien de spécial puisqu’elle était princesse et qu’une princesse (dans les contes bien sûr, pas dans la vraie vie !) n’a pas le droit de travailler. A partir de ce moment, Alexandre, c’était le nom du petit garçon et Carole discutaient souvent par l’intermédiaire de leur écran….jusqu’au jour où Alexandre lui a demandé si elle accepterait qu’il vienne la voir dans son château. Il avait très envie de découvrir le monde des princes et des princesses. Carole qui n’avait pas d’autre ami a accepté à une condition, qu’il ne se moque pas d’elle et elle lui a avoué son terrible secret.
Comme il n’y a pas de hasard dans la vie, Alexandre lui a parlé du trésor qu’il possédait : une lampe magique. Vous savez le génipopotame, moitié génie, moitié hippopotame ; dont je vous ai raconté l’histoire l’autre jour.
- On demandera au génie de te guérir en espérant que l’hippopotame géant le laisse sortir de la lampe.
- Ce n’est pas grave pour l’hippopotame, il ne nous fera aucun mal, les animaux sont mes amis.
Ainsi rassuré, Alexandre a rencontré la princesse dans le minuscule royaume, le génie est sorti de la lampe et a exaucé le vœu des deux enfants. Depuis la petite princesse a enfin pu sortir de sa coquille et ils sont devenus les meilleurs amis du monde. Quand ils seront grands, ils se sont promis qu’ils se marieront et qu’ils auront beaucoup de petits escargots….heu de petits enfants.
votre commentaire