• Bonjour tout le monde,

    Manque d'inspiration !!!!!

    Acceptez-vous de m'aider ?

    Aujourd'hui, je vais juste publier deux photos....Dites-moi (en commentaires, juste en dessous) à quoi elles vous font penser (l'une ou l'autre) en une seule phrase ou un seul mot...Juste pour lancer l'inspiration qui me fait défaut en ce moment....( texte promis la semaine prochaine!)

    Merci à vous et vos bonnes idées.

    Eh ! Faites pas cette tête, c'est juste un jeu!!!

    En plus la coccinelle est un porte-bonheur...alors...

    Belle journée à toutes et à tous

    Voulez-vous jouer?

    Voulez-vous jouer?

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Belle journée à toutes et à tous,

    Dans le domaine de "l'étrange", on nous dit souvent que face à une difficulté, il  faut "lâcher prise", qu'il y a forcément une solution, que nos facultés sont immenses, qu'il suffit de demander en toute confiance à "l'univers" .....etc...Facile à dire !!!

    Je me suis pourtant aperçue dans plusieurs circonstances que si l'on n'oppose "aucune résistance" et que l'on fait confiance en notre "bonne étoile", l'univers...ou autre .... ça fonctionne plutôt bien...On peut encore imaginer qu'il s'agit de "hasard", mais c'est super le hasard....

    Voici un premier exemple pour illustrer cette théorie "du lâcher prise"

    Si vous avez vous aussi des exemples, je suis "preneuse"

    Bon jeudi à tous

    photo : C'est moi il y a disons "quelques années!!" dans ce fameux logement  (je suis en train de préparer ma journée de classe du lendemain...besoin de lunettes? déjà?)

    Tout coule de source

    Tout coule de source

     

        Tout problème a une solution. Voilà une idée très intéressante à imprimer dans son esprit lorsque l’on se débat dans les soucis et les situations inextricables.

    Nos philosophes, psychologues ou grand maîtres de la sagesse semblent tous convaincus que s’il y a un problème, c’est qu’il y a une solution.

        Et pour cela, nous diront-ils....il suffit de lâcher prise, être confiant en considérant  que la solution est à portée de mains.

    Alors, pourquoi s’en faire ? « tout ce que votre esprit conscient suppose vrai est accepté par votre esprit subconscient » ai-je lu quelque part ...cela me semble presque trop simple.

    Et pourtant, j’avoue que j’ai vérifié cette « vérité » il y a bien des années... sans le faire exprès !

    J’étais en effet dans une situation très complexe et je ne voyais absolument pas comment j’allais m’en dépêtrer.

    Voici, en quelques lignes, l’état de ma situation :

    • Nous sommes au mois de juin et mon remplacement dans une classe maternelle vient de se terminer. Je dois attendre septembre pour avoir une nouvelle affectation quelque part en Loire Atlantique.
    • Nous devons également quitter le logement que nous occupons à la fin du mois parce qu’il vient d’être vendu.
    • On fait donc appel à tous nos amis et notre famille pour déménager et entreposer nos meubles et cartons dans les garages des uns et des autres. Nous ne conservons que quelques vêtements et notre matériel de camping...et filons à Piriac sur Mer sur le terrain que mes parents louent à l’année.
    • J’attends notre troisième enfant...heureusement, tout se passe bien. Il est prévu pour janvier prochain.
    • Je n’ai pas de permis de conduire

    Avec tous ces éléments, je devrais être très inquiète...Comment vont se passer ces deux mois d’été. Si le temps est « pourri », on est mal !...avec deux enfants et juste une tente de camping !

    Où se loger en septembre ? Nous n’en avons pas la moindre idée. Chercher une location ??? Mais où ?  Je ne sais pas où je vais être nommée...Si je dois aller au fin fond du département...je ne sais pas comment me déplacer. Il faudrait trouver un logement pas trop loin de l’école où je serai affectée (d’autant plus qu’avec un bébé en vue, ce n’est pas évident !).

    En fait, c’est le serpent qui se mord la queue...je dois attendre ma nomination pour trouver un logement, mais sans logement en septembre, on est carrément dans le flou, dans l’incertitude la plus totale de ce qui nous attend à la rentrée…

    Eh bien ! Contrairement à ce que l’on peut imaginer, je suis très sereine et ne pense absolument pas à ce qui peut se passer dans deux mois. Peut-être parce que trop de questions restent en suspens justement, et que j’ai bien autre chose en tête : le bébé qui prend toute mon attention.

    Je vis le présent sans me poser la moindre question. On passe nos vacances tranquillement. Au bord de la mer...en camping...et avec un temps superbe ! Les enfants sont heureux et profitent au maximum des journées ensoleillées, des bains de mer, des jeux de plage et des balades...nous aussi.

    Septembre arrive...En attendant mon attribution de poste, pas de soucis, mes parents acceptent de tous nous loger quelques jours.  Rien d’évident, mais c’est faisable. Je retrouve avec plaisir ma « chambre de jeune fille » et j’en profite pour faire une demande de logement de fonction...on ne sait jamais !

    Quelques jours plus tard, je reçois une note de l’académie. Je suis nommée sur un poste dans un quartier au Nord de Nantes. Le même jour, j’apprends qu’il n’y a que deux logements de fonction sur Nantes : un studio (pour quatre ! on oublie !) et un F4, mais il faut refaire toute la déco !

    • Il se trouve où, ce F4 ?
    • Au Nord de Nantes (dans l’établissement même ou je vais devoir enseigner toute l’année !!!!)
    • Je le prends !
    • ..Vous ne l’avez pas visité !
    • Et alors ? C’est exactement ce qu’il me faut !

    Le bol !!! On ne pouvait pas trouver mieux...Un grand logement au bon endroit (pas de trajet !) et libre de suite ! que demande le peuple ?

    Nous sommes restés dans cet établissement et dans ce logement plusieurs années. Pas de soucis pour mes déplacements, pas de stress ! Et mes deux dernières filles sont nées pendant cette période.

    Pourquoi me serai-je inquiétée ? Pourquoi imaginer que j’aurai pu être mutée à 50 kms de Nantes, sans logement, sans moyen de transport…et enceinte en plus ???

    En fait, cela doit être vrai : Si nous faisons absolument confiance au bon déroulement des événements, si nous n’opposons aucune résistance, tout doit être magnifiquement orchestré dans la vie…

    ....Alors, pourquoi est-ce si difficile d’y croire et pourquoi cela ne marche pas à tous les coups ?

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Coucou les petits loulous,

    Ce matin, j'ai rencontré une sorcière qui ne s'était pas encore rendu compte qu'Halloween était passé! Normal, c'est Fédébétiz, la sorcière  Olé Olé toujours dans la lune...

    Je vous raconte son histoire aujourd'hui ...

    Demain, une histoire "étrange" pour les plus grands

    Belle journée et

    bizatousssssssssssssss

    Fédébétiz

    Fédébétiz

     

        Comme son nom l’indique, Fédébétiz est une drôle de petite sorcière. Elle est adorable et tout le monde l’aime beaucoup, mais elle n’arrête pas de « faire des bêtises », toutes sortes de bêtises.  C’est la reine des boulettes, bourdes et gaffes de toutes sortes. Parfois, elle se trompe simplement dans ses formules magiques ou dans les ingrédients de ses recettes, ce qui n’a pas de trop lourdes conséquences, mais d’autres fois, c’est carrément des grosses  erreurs qu’elle commet ... et ça ....ça craint !

         Pour tout vous dire, Fédébétiz est très jeune et vit dans un beau château qui tient en équilibre sur une haute falaise. Evidemment, personne ne vient jamais s’aventurer dans le coin, c’est trop dangereux, alors la petite magicienne est tranquille...elle est sûre de ne jamais être dérangée et cela lui convient parfaitement.

    Et puisqu’elle est seule dans son immense forteresse, toutes les sorcières l’ont nommée « Responsable des matières premières et accessoires ». C’est à dire que c’est elle qui  fournit toutes ses copines en vers de terre, limaces, herbes maléfiques, venin de serpent, scorpions, brocolis, scarabées des forêts, poissons moches des rivières, champignons nauséabonds etc… etc...

    Lorsqu’une collègue lui passe une commande, elle travaille dans une pièce secrète du château, un endroit ou même son petit chat karibou n’a pas le droit de la suivre.

    Mais voilà, tout irait bien si elle n’était pas si « tête en l’air » ou si elle ne prenait pas des décisions à la légère...

    Fédébétiz

      Le mois dernier, Cornedebuse lui a commandé une cinquantaine d’araignées...Fédébétiz s’est donc enfermée dans son repaire et a commencé à ouvrir ses bocaux contenant son araignée babouk, sa veuve noire et ses autres araignées. Elle a ensuite fait tournoyer sa baguette magique dans les airs en récitant une formule magique (que je n’ai pas le droit de révéler) et toutes ces bestioles se sont multipliées  aussitôt en une  ribambelle d’araignées. Fédébétiz s’apprêtait à arrêter la production lorsque son téléphone portable s’est mis à vibrer. Pour être tranquille, elle s’est réfugiée dans la pièce voisine pour papoter avec sa meilleure amie.

     Deux heures  plus tard, elle a  ouvert la porte et des milliers et des milliers d’araignées sont passées entre ses jambes pour s’enfuir du château...jamais elle n’en avait vu autant !! vite, elle a attrapé sa baguette, mais bien trop tard ! Ces sales bestioles avaient réussi à s’échapper pour envahir toutes les maisons...

    Si vous n’en avez pas encore rencontré chez vous, cela ne saurait tarder ! Attention, elles se multiplient très très vite !

    Fédébétiz

    Si mes souvenirs sont bons, cet épisode n’est pas la plus grosse étourderie de Fédébétiz...A mon avis, c’est plutôt lorsque Lucidora, la reine des sorcières en personne lui a passé une grosse commande de crapaud pour toute la communauté. Elle était si impressionnée par cette femme qu’elle s’est mise à bégayer :

    • Mais où vais vais-je trouver tous tous ces crapauds ?
    • Débrouillez-vous, lui avait-elle répondu sèchement, c’est votre boulot...Et elle s’était retirée du château sans une parole de plus.

    La jeune fille s’était rendue à la mare, mais les batraciens se faisaient rare...Elle réfléchit un instant et se dit que si des crapauds pouvaient être transformés en princes charmants, l’inverse était également du domaine du possible, et c’est ce qu’elle fit. Elle  partit à la recherche de tous ces beaux jeunes hommes à travers le pays pour leur donner l’apparence de ces affreux crapauds. Evidemment, à présent, les princes charmants ont complètement disparus...ou presque ! Demandez autour de vous. Vous en connaissez beaucoup des jeunes femmes qui ont épousé un prince charmant ?? Oui ? Eh bien pour celles qui ont eu cette chance, un conseil : gardez-le précieusement !

    Pour tout vous dire, les boulettes ne manquent pas au palmarès de notre charmante sorcière : c’est à elle que l’on doit la plupart des mauvaises notes des enfants à l’école, les monstres qui se cachent sous les lits ou la colère injustifiée de certains parents pour une toute petite bêtise de rien du tout.

    Il y en aurait beaucoup à raconter, mais je garde celle que je trouve la plus drôle pour la fin.

    Un jour, Fédébétiz a vu entrer au château toute une délégation de vieilles sorcières toutes rabougries et très très laides qui venaient chercher de la bave d’escargot pour régénérer et réparer leur peau mais aussi pour ôter leurs affreuses rides....comme si c’était possible ! Bref !  La jeune fille qui n’avait pas assez d’escargot sous la main leur a apporté de la bave de sharpei...Ce chien, c’est bien connu, bave abondamment. Elle a donc pu récupérer suffisamment de liquide gluant pour ces dames. Ce qu’elle n’avait pas prévu en revanche, c’est que le sharpei est aussi très ridé ! Imaginez le résultat  quand elles ont préparé leur potion de « rajeunissement » !!...j’en connais certaines qui ont testé ce lifting… mais je ne citerai pas de noms !!!

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Coucou les petits loups,

    Halloween c'est ce soir !  Vous êtes prêts?

    Alors attention avant d'aller frapper à toutes les portes du lotissement ou du quartier...il y a de vraies sorcières qui se cachent dans les maisons...

    Voici un exemple:

    Belle journée et

    Bizatousssssssssssssssss

    Popinette

    La sorcière Popina

          A quoi reconnaît-on une sorcière ? À son chapeau pointu ? À son nez crochu ? Elle a du poil au menton et une grosse verrue sur la joue droite ? Peut-être même porte-t-elle une longue robe noire chiffonnée et  une étole également noire en dentelle. Et bien sûr elle est accompagnée d’une vieille chouette toujours  perchée sur son épaule gauche…

           Eh bien non ! Détrompez-vous !  Une sorcière ressemble à tout le monde…Peut-être même y en a-t-il une cachée parmi nous…

    Tenez, je vais vous donner un exemple …Attendez, je cherche…Oui, c’est ça ! Madame Popina…eh bien voyez-vous, madame Popina est une sorcière ! Oui oui, une sorcière ! Vous étiez loin de vous en douter, n’est-ce-pas ?

          Comment ? Vous ne savez pas qui est madame Popina? Mais si bien sûr ! C’est la dame qui promène son chien tous les matins à cinq heures cinq précises dans la rue de la Belle Etoile!… vous ne l’avez jamais rencontrée ? Ah ? Mais que suis-je bête, c’est vrai, à cinq heures cinq, vous dormez encore ! …et c’est tant mieux parce que si vous sortiez à cette heure-là, vous pourriez croiser son chemin, et qui sait ce qui pourrait vous arriver ?

        Pour ceux qui la connaissent, c’est une femme plutôt sympathique, grande, brune aux yeux noisette, ni trop mince, ni trop grosse, pas très jeune, mais pas très vieille non plus. Elle porte souvent un jean bleu et un tee-shirt moulant, ou un pantalon noir avec un gros pull parce qu’elle a toujours froid, des bottes ou des baskets. Elle n’est pas couverte de bijoux mais elle porte deux ou trois bagues classiques avec des pierres de couleur,  un ou deux colliers qu’elle attache autour de son cou quand son humeur est au beau fixe…et c’est tout ! Enfin, rien qui puisse faire penser à une sorcière évidemment …Ah si ! Son chien peut-être, il s’appelle Satanas et on dirait un gros crapaud pustuleux. Il est très très  moche !! Carrément hideux même ! En plus, il bave !

       Enfin, madame Popina, elle, ne ressemble en rien à une sorcière telle qu’on la décrit dans les contes …elle est gentille et sourit tout le temps. Elle a une très jolie voix… quoique !! Et il lui arrive même de chanter. Alors ! bien sûr, personne ne s’en méfie évidemment…

          Et pourtant !! Si vous saviez ce qui est arrivé à Martha et Martin, deux enfants qui habitent dans le même immeuble que moi, juste au-dessus ? Cela vous ferait froid dans le dos. Deux enfants adorables. Martha a tout juste cinq ans et elle est jolie comme un cœur avec ses longues boucles blondes qui lui tombent en cascade sur le dos. Martin, son frère aîné, lui, va sur ses sept ans et demi et tient toujours la main de sa petite sœur, de peur qu’elle ne se perde, s’éloigne ou traverse la rue sans regarder à droite et à gauche.

    Un jour, c’était juste avant Halloween,  je crois. Madame Popina rangeait sa maison…eh oui, l’envie lui prenait parfois de ranger sa maison qui n’était pas comme on pourrait le croire remplie de toiles d’araignées, de souris, de crapauds baveux, de serpents et autres bestioles rampantes, gesticulantes et gluantes ! Non non, une maison comme la vôtre !

    Bref, un jour qu’elle était en plein dépoussiérage, époussetage, brossage, décrassage, lessivage, nettoyage et rangement, les deux enfants s’approchèrent de sa fenêtre ouverte et l’entendirent fredonner le début d’une comptine qu’ils ne connaissaient pas et qui leur parut bien étrange. Ils s'avancèrent de plus près pour mieux entendre les paroles :

    «  Saperlipoppinette

    Saperlippopina

    J’ai le cœur à la fête

    Quand je suis dans les bois

    Avec Lola la chouette

    Bien blottie dans les bras

    Et perché sur la tête

    Le crapaud bavéla

    Saperlipoppinette

    Saperlippopina

    Sans vraiment le vouloir et sans même s’en rendre compte, ils se mirent à chanter la suite :

    «Saperlipoppinette

    Saperlipoppina… »

    Les pauvres enfants ! Ils ne pouvaient pas deviner qu’il s’agissait d’une comptine magique qui transformait en un clin d’œil madame Popina en véritable sorcière…

    A cet instant précis, elle ne se contrôla plus, fixa longuement les deux enfants et les appela doucement par leur prénom. Elle leur demanda aussi d’entrer chez elle.

    Les malheureux enfants sous le charme de la formule magique, entrèrent…

    Là, elle leur fit subir quelque chose d’effroyable. Elle les scotcha sur une chaise qu’elle fixa à son balai et prit son envol vers une forêt remplie de monstres, de loups, de fées et de korrigans, de gnomes et de dragons, et bien sûr de ses copines les sorcières…parmi elles, ils reconnurent la vilaine Tartalapraline et Baba Yaga, une cruelle ogresse.

    Elle les fit monter ensuite sur un tapis volant (très beau le tapis…cousu de fils d’or et incrusté de diamants !) et les emmena faire un tour du monde où ils rencontrèrent tour à tour des bons et des mauvais génies qui sortaient de drôles de carafes, des petits enfants noirs et des grands sorciers qui parlaient avec des animaux féroces. Ils se rendirent même sur une île qui fêtait Noël en plein été avec la grand mère Kalle, une autre sorcière.

     Bref, pendant des heures, les enfants vécurent des péripéties qui les font encore frémir à l’heure actuelle.

    Ils ont dû délivrer une princesse prisonnière d’une méchante fée dans un donjon, affronter un affreux dragon vert qui crachait des flammes à des centaines de mètres à la ronde, se glisser dans une grotte remplie de fourmis et d’araignées géantes, et dormir sur un tapis de mousse en attendant qu’un ogre très antipathique veuille bien quitter la maison où étaient cachés sept petits enfants qu’ils devaient raccompagner chez eux…et bien d’autres choses encore.

      Le pire, c’est que pendant tout ce temps, on entendit plus du tout parler d’eux !!! Personne ne savait ni où ils étaient, ni ce qu’ils faisaient et encore moins ce qu’on était en train de leur faire !!!

    Leurs  parents commençaient à s’inquiéter, parce que jamais ils ne s’absentaient si longtemps. Ils les cherchèrent partout, ils parcoururent toutes les rues du lotissement, grimpèrent tous les étages de l’immeuble, fouillèrent la galerie marchande de fond en comble en s’attardant un peu dans le rayon friandises du supermarché. Rien ! Ils ne les virent nulle part. Ils appelèrent les voisins, leurs amis, leur famille…personne ne les avait vus !

    Ils allaient appeler les gendarmes lorsque Martha et Martin apparurent enfin !

    Ils se jetèrent dans les bras de leurs parents et leur racontèrent leurs terribles aventures…Le pire, c’est qu’ils semblaient heureux d’avoir vécu tout ça !!!

    Maintenant, si vous voulez vous aussi accompagner une sorcière au pays des contes, continuez cette comptine magique :

    «  Saperlipoppinette

    Saperlippopina

    J’ai le cœur à la fête

    Quand je suis dans les bois

    Avec Lola la chouette

    Bien blottie dans les bras

    Et perché sur la tête

    Le crapaud bavéla….. »

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Coucou les petits loups,

    Qui parmi vous ne connait pas Tartalapraline? Je sais, vous l'avez lu dix fois cette histoire, mais que voulez-vous? C'est MA Sorcière préférée....et un Halloween sans Tartalapraline serait comme, comme comme....tiens comme un Halloween sans bonbons !!!

    Alors, revoici l'histoire de cette méchante sorcière.

    Belle journée quand même et

    Bizatoussssssssssssssss

    Demain, une toute nouvelle histoire-jeux....avec un max de sucreries...

    Tarta...

    Tartalapraline

    Tartalapraline vivait dans une grotte formée dans les rochers sur la côte bretonne. Toute la journée, elle passait son temps près de sa grande marmite noire pour préparer sa potion magique…mais, tandis que les autres sorcières confectionnaient des potions avec des ingrédients dégoûtants, bave de crapaud, araignées, souris et cafards, Tartalapraline, elle, ne jetait dans sa marmite que des douceurs et sucreries.

     De très loin, les enfants étaient attirés par les effluves exquis du miel, du chocolat chaud, de la barbapapa, du nougat, et du chewing gum à la fraise qui s’en échappaient, remplaçant agréablement l’odeur familière du goémon séché sur les plages.

    N’allez surtout pas croire que Tartalapraline était une gentille sorcière ! Non, non, non. Si sa potion ne contenait que les mets préférés des enfants, c’était uniquement pour les ensorceler et les faire venir jusqu’à l’entrée de sa grotte….Lorsqu’ils arrivaient, elle les invitait gentiment à venir s’asseoir à sa table, leur donnait un grand bol de sa  pitance et finissait toujours par les retenir prisonniers. Pourquoi ?, mais pour les gaver jusqu’à ce qu’ils deviennent gros et gras….et ensuite les manger ! C’était une sorcière qui dévorait  les enfants ! Une ogresse quoi !

    Parfois, elle allait elle-même sur les plages pour les chercher en se transformant en marchand de chichis et d’esquimaux glacés…

     

    Un jour, un enfant plus malin que les autres, comprit qu’il s’agissait d’une sorcière -  Il l’avait reconnue grâce à  la grosse verrue qui déformait son nez et aux trois poils qui sortaient de son menton crochu - et puis, il avait lu dans un livre que le sucre n’était pas toujours bon pour la santé. Sa maman aussi lui avait dit que trop de bonbons, de gâteaux à la crème, glaces à la pistache et caramels au beurre salé de Guérande pouvaient provoquer de jolies  caries sur les dents…et que ça pouvait faire très très mal !

    Toujours est-il que cet enfant, un petit garçon du nom de Louwenn, comprit que cette dame qui lui offrait un grand bol de chocolat à la noisette et au nougat de Montélimar ne pouvait pas être si gentille que ça. Il y avait en elle quelque chose de bizarre…peut-être sa voix : trop mielleuse, sa robe : trop noire, son chapeau : trop pointu, sa figure : trop boutonneuse, ses cheveux : trop filasses ou simplement sa dent : elle n’en avait qu’une justement, ce qui signifiait bien sûr qu’elle avalait trop de sucreries elle-même.

    Toujours est-il que Louwenn fit mine d’accepter la proposition de Tartalapraline. Il prit le bol, goûta la mixture et se mit à cracher

    • Tu n’aimes pas mon chocolat ? lui demanda la sorcière.
    • Si, bien sûr, mais il manque des céréales, lui répondit Louwenn ;

    La sorcière fronça les sourcils et se dit que ce petit garçon était la proie idéale…il en demandait encore plus. Elle alla donc chercher une grosse poignée de céréales dans la cuisine qu’elle s’était aménagée derrière le rocher.

    Louwenn prit une autre gorgée et fit une grimace épouvantable.

    • Il manque de la confiture, fit-il dégoûté

    La sorcière s’empressa d’ajouter une bonne grosse cuillerée de confiture de mûres.

    • Il manque du miel, poursuivit-il en retroussant son nez dans une petite moue contrariée.

    Satisfaite de constater que sa nouvelle victime allait grossir plus vite que les autres avec tout ce qu’il voulait ajouter dans son bol, Tartalapraline se précipita vers la ruche la plus proche pour prélever un maximum de cette délicieuse substance blonde et sucrée.

    Quand il vit que la sorcière se mettait en quatre pour lui dégoter tous les ingrédients qu’il réclamait, Louwenn  posa tranquillement son bol sur le sable en haussant les épaules :

    • Quoi encore ! s’exclama la sorcière…qu’est-ce-que tu veux encore ? pesta-t-elle un peu fatiguée quand même de tous ces allers-retours.
    • Il manque de la vanille, dit-il calmement.
    • De la vanille ? et puis quoi encore ?
    • C’est tout.
    • C’est tout ?
    • Oui…c’est tout ! mais cette vanille-là, on ne peut la trouver qu’à Madagascar. C’est la meilleure !
    • A Madagascar ? évidemment, je n’y avais pas pensé. Qu’à cela ne tienne !! fulmina Tartalapraline en enfourchant son balai magique pour se rendre dans cette île lointaine.

    Louwenn la regarda s’envoler au-dessus de l’océan, puis il scruta l’horizon jusqu’à ce qu’il ne distingue plus qu’un minuscule point noir dans le ciel…Il fouilla alors la grotte de fond en comble à la recherche de tous les enfants qui avaient disparus les mois précédents…Il découvrit bientôt une clé cachée sous un bocal rempli de berlingots multicolores et une petite porte secrète tout au fond de la caverne. Il l’ouvrit et délivra une dizaine de petites filles et de petits garçons tous plus dodus les uns que les autres. Ils étaient si contents de sortir de leur prison qu’ils promirent de limiter leur consommation de friandises par la suite.

    Quant à la sorcière, à l’heure qu’il est, elle est assise sur une plage de Madagascar à côté de son balai qui refuse toujours de prendre le chemin du retour. Dix mille kilomètres, c’est bien assez pour lui.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique