• Belle journée à toutes et à tous,

    Étrange : Signes et messages de l'au-delà

    L'un de mes "thèmes" préférés ...peut-être parce que j'en reçois beaucoup (il faut dire qu'il y a du monde là-haut parmi mes proches !!! ) et que je "décrypte" assez facilement ces "signes"

    Bon jeudi à tous

    Protection assurée

    Protection assurée

     

       Tout le monde le sait à présent : la conduite n’est pas ma tasse de thé. Et pourtant...avec le temps, je m’habitue, même si mon entourage me charrie un peu parce que je ne fais le plein d’essence que tous les trois- quatre mois !!

    Mais...depuis que nous avons changé de voiture, je me rattrape. Adieu les « titines capricieuses », celle-là est tout à fait à mon goût, stylée comme dirait mon petit-fils, confortable, et surtout très agréable à conduire...tout en douceur. Un vrai plaisir !

    Justement, aujourd’hui, je me suis fait cette réflexion : « ça y est, je l’ai bien en mains ! ». Depuis ce matin, je vaque à droite et à gauche et multiplie les allers-retours sans stresser. Une nouveauté pour moi.

    J’ai déjeuné vite fait et à présent, je vais rendre visite à une amie qui habite à l’autre bout de la ville. Je suis parfaitement détendue, la circulation ne m’affole pas, je prends mon temps aux feux, derrière les « chèvres » (eh oui ! il n’y a pas que moi !) tout en écoutant la radio qui diffuse de vieilles mélodies des années 80. Tout va bien.

    Oups ! J’ai parlé trop vite.

    • Tit-tit, tit-tit...tit-tit. Tiens que se passe-t-il ? Une panne ? Non ! Tout à l’air normal.

    Le signal sonore s’accompagne simultanément d’un symbole lumineux que je viens de remarquer sur le tableau de bord...la ceinture de sécurité !!! N’importe quoi ! Je vérifie quand même. Elle est bien accrochée cette ceinture. Qu’est-ce-qui lui prend à cette voiture ? Et d’ailleurs, si elle était mal attachée, il y a bien longtemps que le voyant lumineux aurait dû s’allumer...je roule depuis déjà près d’une demi-heure.

    Heu...Nom de Zeus ! Je change soudain de couleur (je le sens à mes joues qui picotent !!) et mon cœur s’emballe d’un coup…Je viens de réaliser que cette « alarme » s’est déclenchée boulevard de la Fraternité, à l’endroit précis où mes parents ont perdu la vie dans ce stupide accident de la route.

    C’était en novembre 1986. Treize ans après l’obligation d’attacher sa ceinture de sécurité à l’avant. De nombreux automobilistes n’avaient pas encore pris l’habitude de ce geste devenu aujourd’hui un réflexe. Mes parents revenaient de passer la soirée chez ma sœur. Il était tard, la route était pratiquement déserte et ils n’avaient que peu de chemin à faire. Aussi ma mère n’avait pas jugé utile de boucler cette fameuse ceinture…A quoi bon ! Ça ne sert pas à grand-chose ! Pourtant, cette nuit-là, ce geste lui aurait sauvé la vie !

    Tandis que je me remémore avec tristesse cet épisode douloureux, le voyant lumineux s’éteint comme s’il n’était jamais apparu !

    • Waouh ! Si ce n’est pas un signe, ce truc, c’est quoi ?

    Je suis toute retournée, profondément troublée et j’arrive enfin chez ma copine encore secouée. Je lui raconte ce qui vient de se passer, non sans une profonde émotion. Pour toute réponse, elle me confie :

    • Je n’ai pas voulu t’affoler l’autre jour, mais lorsque je suis venue chez toi, j’ai vu ta sœur qui passait sur le chemin en courant… juste devant moi. Je n’en ai parlé à personne tellement ça m’a paru bizarre.

    Oui ! D’autant plus étrange que ma sœur ne s’était jamais remise de cet accident survenu sitôt après cette soirée, pourtant bien calme, passée chez elle.

    Ces deux « signes » ne sont-ils pas liés ? Personnellement je pense que mes parents et ma sœur nous livrent ce message :

    • Nous sommes toujours là, bien présents, pour vous protéger…à l’image de cette ceinture de sécurité.

    Un message d’autant plus fort que ces « signes » sont apparus début septembre (triste anniversaire, à un ou deux jours près, du départ de ma sœur).

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  • Coucou les petits loulous,

    Dimanche, c'est le jour de Pâques....Voici un grand secret, mais ne le dites à personne. On ne vous croirait pas!!

    Après demain une nouvelle histoire spéciale "Pâques"

    Bon mercredi et

    Bizatousssssssssssss

    le petit lapin rose

    Le petit lapin rose

          Vous ai-je déjà parlé de mes deux petits lapins ? Vous savez, ceux qui vivent tout au fond du jardin dans un grand clapier abrité par un sapin ? Oui ?

    Alors, je vous ai sûrement dit à quel point ils sont mignons avec leur jolie frimousse et leur pelage tout doux. Ce que vous ne savez pas en revanche, c’est que depuis les vacances dernières, maman lapine a eu de beaux bébés, neuf lapereaux adorables. Au début, je ne pouvais même pas les compter ! Ils restaient blottis dans leur petit nid douillet fait de poils et de paille. Je les voyais seulement bouger et crapahuter les uns sur les autres. 

        Quelquefois, un tout petit bout’chou plus futé que ses frères et sœurs sortait le bout de son museau, puis il se glissait jusqu’à sa mère pour essayer de téter. Mais, très vite, il était chassé et regagnait son nid en bondissant.

          Je regardais pendant des heures leur joyeux manège, jusqu’au jour où ils sont tous sortis de leur nid les uns après les autres….

          Oh ! Il y a trois, quatre, cinq petits lapins ! Non ! Il y en a un autre, et encore un ! Huit, neuf ?

    Neuf bébés ! Comme c’est mignon ! Et celui-là ? Mais…il semble différent des autres, avec une grosse touffe de poils toute douce…on dirait un lapin angora. Mais, ma parole, il est  rose  en plus ! Tiens, comme c’est bizarre !

     

    Hier, comme tous les jours, je suis allée au fond du jardin  pour admirer les petits lapereaux, je leur ai apporté deux grandes feuilles de chou, arrachées en passant dans le potager (je leur en donne souvent, ils adorent ça !), Et j’ai attendu, accroupie près du clapier, la tête entre les mains.

           Soudain, tandis qu’ils faisaient la ronde autour des feuilles pour grignoter, le petit lapin rose s’est arrêté et il m’a regardée…longtemps. Puis, il s’est adressé à moi : « coucou toi ! » Je me suis d’abord demandé si je ne rêvais pas, j’ai secoué la tête…Mais non, un lapin ne parle pas bien sûr, je rêve.

    Mais si ! Il a même ajouté : « J’en ai assez de tes feuilles de chou, je veux des fraises ! » Alors, j’ai répondu, un peu en colère :

       - « Depuis quand les lapins se mettent-ils à parler ? Et puis, des choux, c’est très bon pour les lapins. D’ailleurs, quand on est un lapin, on ne mange pas de fraises »

    • « Ça m’est égal » a-t-il insisté «  moi, je veux des fraises. Les choux vont me faire devenir tout vert et je veux rester rose. Pour cela, il me faut des fraises. »

          N’importe quoi ! Un lapin qui parle et qui réclame des fraises par-dessus le marché. On aura tout vu ! Il est à peine sorti de son nid qu’il demande déjà des choses impossibles.

    • « Mais, ce n’est pas la saison des fraises ! »
    • « Ça ne fait rien, j’en veux quand même ! »
    • « Tu ne préfèrerais pas des carottes ? c’est rouge les carottes. Tu conserverais ta jolie couleur, et les carottes, c’est bon pour les lapins !! En principe, les lapins aiment grignoter des carottes.
    • « non ! les fraises, c’est meilleur ! »

     

    Vous auriez vu la tête de l’épicier, ce matin, lorsque je lui ai demandé des fraises pour mon petit lapin ! Il a d’abord ouvert de grands yeux, puis il a éclaté de rire. C’est vexant. Jamais, je n’aurai dû lui raconter mon histoire. Je pense qu’il ne m’a pas cru.

         En attendant, il m’a quand même vendu des fraises…il en avait dans son congélateur pour faire des tartes cet hiver.

         Une fois décongelées, je les ai apportées à Rosynou (c’est le nom que j’ai donné au petit lapin rose) qui les a toutes englouties d’un seul trait. Puis, il m’a regardé droit dans les yeux et il a simplement dit :

    • « Merci »
    • « pas de quoi ! ça me fait plaisir de…. » Sans me laisser le temps de terminer ma phrase, il a ajouté :
    • « comme tu es sympa, je vais te confier mon secret »
    • « un secret ? tu as un secret toi ? tu viens tout juste d’arriver sur terre et tu as déjà un secret ? »
    • « je ne viens pas d’arriver sur terre…je suis venu ici parce que je savais que personne ne viendrait me chercher là…. c’est tout »

    De plus en plus étrange ce lapin !!!

    • « Que veux-tu dire ? »
    • « j’ai assez parlé pour aujourd’hui….je te raconterai la suite quand tu m’auras rapporté des cerises »
    • « Ah non ! pas des cerises ! »
    • « si, des cerises ! »

     

    Du coup, je suis passée devant l’épicerie, mais je ne suis pas entrée. Je ne voulais pas que monsieur laponix se moque de moi encore une fois. J’ai pris ma voiture et je suis allée au supermarché. Là, dans le rayon « congélation » j’ai trouvé des cerises.

    Je me suis précipitée au fond du jardin, trop curieuse de connaître le secret de Rosynou.

     

    Il a tout avalé goulument. Il m’a regardé droit dans les yeux et a juste dit :

    • « Merci »
    • «  Pas de quoi, ça me fait …. » Sans me laisser le temps de terminer ma phrase, il a ajouté :
    • « c’était très bon …demain, je mangerai bien des framboises »
    • « D’accord, mais avant, tu dois me dévoiler ton secret. Tu as promis »

    Rosynou ne s’est pas fait prier très longtemps…il savait à présent que j’étais capable de lui fournir en toutes saisons les fruits qu’il me réclamait, c’est-à-dire des fraises, des cerises, des framboises, mais aussi des mûres, des groseilles et même des petites baies de Goji dont il raffolait. Il me révéla donc son grand secret.

    Vous voulez le connaître ? Vraiment ? Bon, d’accord, mais n’en parlez à personne, on ne vous croirait pas. Il a tourné un peu en rond dans sa « cage et il m’a fait attendre un bon bout de temps avant de se lancer dans un long discours :

    • « Je suis un petit lapin de Pâques » me dit-il « Tu sais, celui qui aide les cloches à cacher de gros œufs en chocolat dans les jardins »
    • « Mais pourquoi te cacher ? »
    • « Parce que nous ne voulons pas que les enfants nous voient » « Nous ? qui nous ? »
    • « Nous sommes très nombreux…un dans chaque quartier de chaque ville. La plupart vivent dans les clochers des églises, d’autres dans les champs, et la plupart d’entre nous se réfugie avec les autres lapins dans des clapiers »
    • « Et vous êtes tous roses ? »
    • « Non, bien sûr ! Nous sommes multicolores. Les lapins verts mangent des choux, des courgettes, des salades ou des haricots, les jaunes se nourrissent de pommes, de poires et de bananes et les bleus raffolent de fleurs comme les bleuets, les ancolies et les crocus »
    • «  Et vous sortez dans les jardins le jour de Pâques, c’est ça ! »
    • « Non, ce n’est pas tout …Quelques jours avant, on se réunit dans l’un des jardins et chacun de nous confectionne avec sa fourrure de jolis rubans pour entourer les œufs…et le jour J, les cloches déposent les œufs dans les jardins et nous, on va les cacher après les avoir joliment décorés. Voilà »

    Il a juste ajouté qu’il ne fallait pas essayer de le voir ce jour-là, sinon, il n’accomplirait pas sa mission… tout simplement.

    N’empêche que j’aurai bien aimé moi, voir les petits lapins multicolores tresser des rubans et cacher des chocolats et friandises dans le jardin. Pas vous ?

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  • Belle journée à toutes et à tous,

    Étrange : ubiquité (ou peut-on "voir" les yeux fermés?)

    Deux anecdotes assez étonnantes ...

    Des yeux...

    Des yeux pour voir…ailleurs

            Des yeux pour voir ! Cela semble être la moindre des choses, n’est-ce-pas ? Et si l’on n’avait pas besoin d’eux pour voir ce qui se passe autour de nous ? Cela expliquerait sans doute certains phénomènes !

             Avant d’aller plus loin, voici deux exemples assez surprenants...Le premier, je l’ai vécu moi-même, ce qui me donne de bonnes raisons de croire le second, raconté par l’un de mes proches. Je suis, comme j’ai déjà dû le dire, comme Saint Thomas : je ne crois que ce que je vois (c’est le mot juste dans cette histoire !)

            Replaçons-nous dans le contexte : Je suis enseignante et nous avons eu la chance incroyable, juste avant la naissance de mon troisième enfant, d’obtenir un logement de fonction. N’ayant pas encore mon permis de conduire, je suis très heureuse de n’avoir qu’une cour à traverser pour rejoindre la classe où une trentaine de bouts de choux de 3-4 ans m’attendent chaque jour. Je ne vais pas m’étaler sur ce « coup de chance » qui fera l’objet d’une prochaine « histoire ».

            Composé entre autre de deux chambres spacieuses et d’une vaste salle de séjour, ce logement est très confortable et je m’y plais beaucoup. Pas de soucis particuliers, et, après une longue journée de boulot (école, enfants, tâches ménagères et préparations de classe), je m’écroule littéralement sur mon lit pour m’endormir comme un bébé.

           Une nuit cependant, il me semble entendre dans mon sommeil un bruit strident suivi de grincements de pneus et d’un énorme choc. Simultanément, un film de quelques dixièmes de secondes passe devant mes yeux (fermés, cela s’entend). Je me réveille en sursaut, secoue mon mari pour lui raconter :

    • Il y a une voiture qui vient de foncer dans la maison de quartier. Elle roulait hyper vite….

    et je lui décrit précisément la forme de la voiture (je n’ai jamais su différencier une Peugeot d’une Renault ), sa couleur, l’endroit exact où elle a atterri , sa position, la tôle froissée etc…Il n’a rien entendu, mais me suit jusqu’au salon , le seul endroit d’où l’on peut voir ce bâtiment attenant à notre immeuble…Et là, en contrebas, j’aperçois, stupéfaite, l’image même qui s’est présentée à mes yeux quelques instants plus tôt durant mon sommeil. Tout est exact dans les moindres détails, et l’on peut imaginer aisément le reste de la scène (déplacement, vitesse…)

      Ai-je vraiment vu ce qui s’est passé en dormant ?  Peut-on vraiment « évoluer» hors de notre corps pendant notre sommeil ? Sommes-nous capables d’associer une image aussi précise simplement à partir d’un bruit ?

    Sceptique ? Alors passons au second exemple. Comme je le disais plus haut, cette histoire ne m’appartient pas, mais elle m’a été rapportée et les personnes qui  l’ont vécue peuvent encore témoigner de sa véracité.

       Cela s’est passé il y a quelques décennies dans un bahut où l’on formait autrefois les futurs instituteurs. Dans ce pensionnat, un groupe de jeunes dont mon frère fait partie, passe ses soirées à jouer au tarot dans le dortoir jusque tard dans la nuit. Jusque là tout va bien.

               Ce soir-là, fatigué, mon frère décide de dormir plus tôt. Il laisse de bonne grâce son jeu à la bande de copains qui s’éloigne un peu pour jouer…quelques heures plus tard, ils s’approchent silencieusement du lit de mon frère pour déposer le jeu sur sa table de chevet. C’est à cet instant précis, qu’ils le voient se redresser sur son lit, s’assoir sans ouvrir les yeux  et leur lancer d’une voix grave :

    • Il en manque une !

    Et sans cesser de dormir, il s’installe à nouveau sous sa couette et reprend ses ronflements (eh oui !). Ses amis se regardent, surpris, puis éclatent de rire sans prêter plus d’attention à ce qu’ils viennent de voir.

      Le lendemain, ils racontent malgré tout, hilares, l’épisode de la nuit à mon frère qui se joint à eux dans leurs éclats de rire :

    • Et si on recomptait les cartes, finit-il par lâcher sans se démonter.

    Ils attrapent donc le jeu toujours posé sur la table de chevet, et commencent à recompter les cartes, une fois… deux fois…trois fois. Ce n’est pas possible ! Il manque une carte…

    Les amis retournent à l’endroit où ils ont joué…rien…ils regardent aux alentours et finissent par retrouver la fameuse carte…sous le lit !

    L’histoire ne précise pas s’il s’agissait du roi de trèfle, du 10 de cœur ou de l’excuse ! Dommage, cela lui  aurait ajouté un peu de piquant ! On aurait pu chercher une signification en « cartomancie ».

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  • Bonjour tout le monde,

    Solution de l'histoire- jeu de la semaine dernière : la vie en fleurs

    Bonne semaine à tous

    la vie en fleurs

    La vie en fleurs

       Si vous êtes un peu mélancolique, ne laissez pas vos     soucis vous envahir.

    Je n’ai qu’un conseil à vous soumettre : Ne gardez ni animosité, ni rancune au fond de votre cœur et n’ayez que des pensées positives pour voir la beauté en toute chose, même dans ce que Dali a peint ! Enfin, ce qu’il a voulu peindre ! (Je plaisante ! J’adore Dali !)

    Sans jouer les narcissiques, sachez que vous êtes belles de jour comme de nuit : Alors, pas question de vous enfermer dans un monastère : maquillez-vous, lissez bien vos cheveux et enfilez une jolie robe en tulle hyper classe, au col chic et avec des boutons d’or, d’un or qui déchire ! (pas la robe bien sûr ! qui est en prime vert pomme). Ajouter un gilet un peu palot et vert amande avec un ibis customisé sur le dos...et surtout, allez de l’avant de suite.

    Pas besoin de prendre le volant de votre « Lotus » et de vous rendre à Lille à la braderie ou à Rome (bien que Véronique et Hortense y habitent un charmant pied à terre dont le renom culturel n’est plus à démontrer).

    Non, pour retrouver le sourire, il faut déjà se maintenir à une certaine discipline Zen : rechercher un coin tranquille en ville (il n’y a pas que Retford, cette magnifique ville d’Angleterre qui puisse vous faire rêver !) en pleine nature ou à la mer, écouter une belle musique, du jazz, allez ! Prenez un livre pour lire ici ou ne faites rien: Respirez à fond, ayez un œil exigeant, observez ce qui vous entoure avec bienveillance, soyez émue, gaie, regardez vers le cosmos le ciel bleu, et soyez sûre, ce ringard de blues disparaitra. Vous vous sentirez comme dans une arène des présages de bien-être et de bonne humeur.

    Si avec tout ça, vous n’avez pas retrouvé le sourire, cueillez les quarante  fleurs de ce texte. Cette très jolie gerbe éradiquera à coup sûr les humeurs les plus moroses afin qu’elles glissent inexorablement vers la joie la plus pure. Un nouveau cycle amènera beaucoup de bonheur en vous.

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  • Bonjour tout le monde,

    Avec l'entrainement d'hier, vous n'aurez aucun mal à trouver les 28 poissons qui se cachent dans ce texte...

    vingt d'entre eux sont communs à ceux du texte d'hier....mais dites-moi qui trouvera les huit nouveaux de ce texte????

    Bon dimanche à tous

    Heureux...

    Heureux comme un poisson

       Pourquoi dit-on ; « Heureux comme un poisson dans l’eau » ?

    Qu’est-ce qui nous permet d’affirmer - sans raison aucune - qu’un poisson est heureux dans la rivière, dans la mer, dans un aquarium ou dans un bocal ?

    Surtout dans un bocal d’ailleurs ! Vous avez déjà observé un poisson dans un bocal ? Regardons-le ensemble. Il tourne en rond, barbote, se cache dans l’espèce d’algue en plastique ou l’amphore en plâtre que vous avez mises dans l’eau pour l’amuser…Et vous croyez vraiment que ça l’amuse ?...qu’il est heureux? A d’autres oui ! Il s’ennuie votre poisson. Il souffre de solitude...

    Bon admettons ! A condition que vous lui offriez un très grand bocal...un aquarium en quelque sorte... Non, non, ce n’est pas incongru ce que je raconte. Il lui faut de l’espace à votre poisson. Vous lui offrez donc un aquarium de grande taille dans lequel vous avez pris soin de mettre une bonne couche de sable, un adorable hamac rose, et des plantes pour qu’il joue à colin Maillard avec ses copains - Des vraies, surtout pas de plantes artificielles où il risque de sombrer dans une dépression – Pour lui offrir un lieu douillet, vous ajoutez un petit pont en fausse pierre et une vieille souche de bois, une racine avec des perles en nacre pour la rendre plus jolie … et voilà, le tour est joué ! Vous pensez qu’il est heureux parce que chaque fois que vous passez devant, il colle son nez à la vitre ! Que nenni ! Votre poisson, il croit simplement que vous allez lui donner à manger, il gronde un peu…et…il s’ennuie ! Voilà.

    Allez, je mets le turbo et je file sur les bords de la rivière. Là, mes roues s’enfoncent dans la vase et je m’apprête à appeler de l’aide lorsque je vois…un pêcheur ! Il m’affirme qu’il pêche à l’ombre d’un tilleul pour se détendre, et qu’il remet les poissons à l’eau ! Ben voyons ! Ils ne sont pas morts une fois embrochés autour de l’hameçon ? Les pauvres, ils doivent souffrir quand même, entortillés et ballotés au bout d’une ligne. N’ont-ils pas un peu le vertige, ces pauvres bestiaux ? D’ailleurs, je vois un merle en manger un que ce jeune pêcheur n’a pas encore renvoyé dans son foyer. Oh ! Il en reprend un qu’il partage avec un aigle fin...et voilà que  ça r’dine encore !!!! La mère Luce n’est pas contente du tout, rouge est sa colère !

    C’est malheureusement le sort de ces poissons d’eau douce...Et je ne parle pas des poissons de mer qui doivent en permanence surfer entre les bouteilles en plastique, les cotons tiges et les filets de pêche. Sans dramatiser, pensez au pauvre Némo, contraint et forcé de se planquer dans une anémone de mer pour survivre. N’est-ce-pas dommage ?

    C’est bon, j’arrête mon baratin.

    Carpe Diem ! Laissons donc les petits poissons vivre tranquillement. D’ailleurs, vous avez dû en rencontrer plusieurs dans ce texte. C’est simple ! Je vous tends la perche en vous confiant qu’il y en a exactement vingt-huit, dont un qui a réussi à se glisser deux fois entre les lignes (pas les lignes des pêcheurs !).

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