Bonjour tout le monde,

Chouette, c'est dimanche aujourd'hui, alors comme chaque dimanche, voici une toute nouvelle histoire-jeu dans laquelle vous pourrez découvrir une quarantaine de mots relatifs à Halloween....Perso, j'en ai trouvé 41....mais je compte bien sur Maëlle, Catherine, Astrid, Jimmy, Aurélie  et les autres pour en trouver davantage encore !!!

Pour dimanche prochain, la tentation est trop belle....Il faudra découvrir des sucreries !!! Certains retrouveront même des friandises de leur enfance !!

Bon dimanche à toutes et à tous

Allo? oui ne quittez pas...

Il fait nuit noire. Sandrine et Faustine se rendent à pieds à un spectacle de danse. Peu habituées à sortir tard, elles sont peu rassurées. L’une et l'autre tremblent un peu, mais ça  tombe bien, la salle municipale située dans le château des Crapaudines est à à peine dix minutes du lotissement.

• Tu veux bien me rappeler c'que «l'étincelle du Nord» dit de ce ballet?
• Attends, je regarde le programme…Le critique a  écrit: «vous ne pouvez pas imaginer à quel point vous allez être enchantés par cette représentation…et surtout par cette jeune danseuse étoile qui ne nous montre pourtant qu’un petit bout de son talent et de ses capacités»
• Chouette! Je crois qu'on va se régaler!
• Oui, le résumé dit aussi que c’est l'histoire d’un vieux roi encore beau qui a régné sur un minuscule pays et qui rêve empire puissant et pouvoir absolu. Morgane, sa fille masque sa désapprobation, mais fait ce qu’elle peut pour le dissuader quand….
• Stop ! Ne me raconte pas tout ! Et ne vas pas si vite, on dirait que tu es montée sur ressorts, si Hermeline te voyait, elle ronchonnerait encore…Ce n’est pas pour rien qu’on l’a surnommée la « chaude ronchonne » ! D’ailleurs, on n’est pas cools, on aurait pu lui demander de venir avec nous !
• Oh tu sais, pour qu’elle bouge, il faudrait un tremblement de terre, car à bosser tout le temps, elle va y laisser sa peau si on la laisse faire. Mais, tu as raison, si on l’appelait ?
• Allo ? Oui ne quittez pas ! … Ah bon vous voulez que je vienne avec vous ! bon ! bon ! Vous serez près de la mare Mythique ? OK ! J’arrive !

Les deux amies n’en reviennent pas ! Pour se rendre à la mare, elles ont bifurqué dans un chemin sombre. Mais, soudain, venu de nulle part, un homme chauve sourit en passant près d’elles. Il est vêtu d’une longue cape noire avec une fente au milieu… elles n’en mènent pas large. Ne se croyant pas aussi trouillardes, elles se mettent à courir tant bien que mal, efficacement néanmoins pour semer cet homme étrangement déguisé.

Debout près de la mare qui, dans la pénombre a pris des reflets gris moirés, elles attendent à présent en tremblant leur copine. Elles s’aperçoivent alors que cette soirée n’est autre que celle du 31 novembre…

Si elles avaient lu ce texte, une quarantaine de mots auraient pu leur mettre la puce à l’oreille... et éclairer leur lanterne !!!

Bonjour tout le monde,

Tout d'abord, merci à toutes celles (eh oui, il n'y avait que des filles cette fois-ci) qui m'ont envoyé "leur copie" la semaine dernière avec les mots trouvés dans le texte "Dans le ciel"....et chapeau ! Vous avez (presque) tout trouvé....et même plus pour certaines (les anges par exemple....pardon à eux  de ne pas avoir les avoir vus!)

Voici donc la solution:

Bon début de semaine à tous

Dans le ciel

• Chouette! Super ! Se sont exclamés les enfants…

En effet, quand la maîtresse Aurore Bauré  a lancé l’idée d’organiser un tournoi de foot inter-classes, les questions ont fusé dans la classe. C’est bien connu, elle aime le foot !! Simon, goal, fier de son arrêt au dernier match et passionné de foot a levé la main le premier :

• On ne va quand même pas attendre le mois de mars cette fois !
• Bien sûr que si, a répondu la maitresse, il est clair que vous n’êtes pas encore prêts. D’ailleurs, nous avions combien d’équipes l’an dernier? Vous vous souvenez ?
• Dix équipes, pile deux par classe, a répondu Flo, l’unique fille du CE2 à jouer au foot….
• Si vous vous mettez au rythme des grands en vous entrainant, malgré les différences d’âges, vous serez les meilleurs, mes anges. On va s’entrainer sur le terrain des hirondelles.
• Mais, c’est dans un secteur très éloigné, ont remarqué les élèves. Gaspard a chuté dans la cour, et avec ses béquilles il ne pourra pas marcher.
• Je n’ai jamais dit que l’on irait à pieds. J’ai pensé qu’avec les autres enseignants et quelques parents, on pourrait vous emmener en voitures… en les parquant, si elles logent, près des vestiaires, Gaspard n’aura pas besoin de se déplacer.

En sortant de son sac de sport, son maillot mauve, Nicolas demande avec un large sourire :

• Et si on choisissait cette couleur pour nos tenues ?
• Oh non ! le mauve ça fait un peu moine, au pire, je préférerais du noir, s’exclame Omer, le benjamin.
  

Pour couper court à cette discussion, et surtout parce qu’elle ne veut plus entendre les enfants  piaffer, Aurore propose aux enfants d’aller faire un petit tour sur la cour pour commencer le premier entrainement. Ils y rencontrent le gardien, un mouchoir à la main.

• Bienvenu à Gérard, notre nouvel arbitre, s’exclame la maîtresse en l’apercevant. Il plane éternellement, mais il connait les règles du foot sur le bout des doigts.

Tandis qu’elle commence à former les équipes, Olivier, un gars laxiste à souhait et peu attentif au déroulement de la séance, en profite pour proposer à ses copains de jouer à « un… deux…. Trois… soleil »…

• Tu charries Olivier, ce n’est pas le moment de distraire la classe…déjà que l’an dernier tu as cherché des noises aux CP…tu as la mémoire courte ou le cerveau lent, dis-donc ! pense à tes litiges avec eux !! puisque c’est comme ça, tu seras remplaçant, lance l’institutrice,  et toi le capitaine de l’équipe, ajoute-t-elle en s’adressant à Flo, qu’on oublierait presque tellement elle est discrète. Ensuite, elle se dirigea, bloc-notes à la main vers le reste de la classe :
• Allez, maintenant, il est grand temps de commencer…allez, deux tours de cour pour tout le monde.

Bonjour tout le monde,

Nouvelle "histoire-jeu" du dimanche. (demain la solution de l'histoire-jeu de dimanche dernier)

Pas facile facile cette fois...il y a beaucoup de ce que vous appelez des "pièges" Je pense que si je devais m'y coller, je ne trouverai pas tout...Il y a trente-huit éléments, vivants ou non que l'on peut apercevoir dans le ciel...de près ou de loin....de jour ou de nuit....

Un petit exemple pour vous aider (ne le cherchez pas dans le texte, il n'y est pas!) :

Le petit mousse tique en voyant l'étendue du boulot à faire sur ce bateau dont la surface est plane heureusement!

Un indice : Dans cette image, il y en a deux

Dans le ciel

• Chouette! Super ! Se sont exclamés les enfants…

En effet, quand la maîtresse Aurore Bauré  a lancé l’idée d’organiser un tournoi de foot inter-classes, les questions ont fusé dans la classe. C’est bien connu, elle aime le foot !! Simon, goal, fier de son arrêt au dernier match et passionné de foot a levé la main le premier :

• On ne va quand même pas attendre le mois de mars cette fois !
• Bien sûr que si, a répondu la maitresse, il est clair que vous n’êtes pas encore prêts. D’ailleurs, nous avions combien d’équipes l’an dernier? Vous vous souvenez ?
• Dix équipes, pile deux par classe, a répondu Flo, l’unique fille du CE2 à jouer au foot….
• Si vous vous mettez au rythme des grands en vous entrainant, malgré les différences d’âges, vous serez les meilleurs, mes anges. On va s’entrainer sur le terrain des hirondelles.
• Mais, c’est dans un secteur très éloigné, ont remarqué les élèves. Gaspard a chuté dans la cour, et avec ses béquilles il ne pourra pas marcher.
• Je n’ai jamais dit que l’on irait à pieds. J’ai pensé qu’avec les autres enseignants et quelques parents, on pourrait vous emmener en voitures… en les parquant, si elles logent, près des vestiaires, Gaspard n’aura pas besoin de se déplacer.

En sortant de son sac de sport, son maillot mauve, Nicolas demande avec un large sourire :

• Et si on choisissait cette couleur pour nos tenues ?
• Oh non ! le mauve ça fait un peu moine, au pire, je préférerais du noir, s’exclame Omer, le

Pour couper court à cette discussion, et surtout parce qu’elle ne veut plus entendre les enfants  piaffer, Aurore propose aux enfants d’aller faire un petit tour sur la cour pour commencer le premier entrainement. Ils y rencontrent le gardien, un mouchoir à la main.

• Bienvenu à Gérard, notre nouvel arbitre, s’exclame la maîtresse en l’apercevant. Il plane éternellement, mais il connait les règles du foot sur le bout des doigts.

Tandis qu’elle commence à former les équipes, Olivier, un gars laxiste à souhait et peu attentif au déroulement de la séance, en profite pour proposer à ses copains de jouer à « un… deux…. Trois… soleil »…

• Tu charries Olivier, ce n’est pas le moment de distraire la classe…déjà que l’an dernier tu as cherché des noises aux CP…tu as la mémoire courte ou le cerveau lent, dis-donc ! pense à tes litiges avec eux !! puisque c’est comme ça, tu seras remplaçant, lance l’institutrice,  et toi le capitaine de l’équipe, ajoute-t-elle en s’adressant à Flo, qu’on oublierait presque tellement elle est discrète. Ensuite, elle se dirigea, bloc-notes à la main vers le reste de la classe :
• Allez, maintenant, il est grand temps de commencer…allez, deux tours de cour pour tout le monde.

Bonjour tout le monde,

Et bienvenus à tous dans ce monde de détente, un bain d'Epsom.

Profitez-en donc pour retrouver les 45 parties du corps cachées dans ce texte...Ce sont les parties visibles comme le nez, la peau....(je ne vais tout de même pas tout citer!), donc, ne recherchez pas le cœur, les poumons ou le foie....ils seront cachés dans une autre histoire....

Bon dimanche à tous

Un bain d’Epsom

• Je nous ai préparé une petite surprise pour ce soir, lance Edouard en poussant la porte après sa journée de boulot.

Devant trop d’enthousiasme, son épouse le regarde, incrédule :

• Ah oui ? c’est sympa de ta part, mais c’est dommage, je suis très occupée en ce moment...et puis il faudrait que j’annule les rendez-vous que j’ai pris en soirée !
• Ne joues pas les crâneuses, quand tu sauras où nous allons, tu feras moins la maligne.
• Je plaisante, alors c’est quoi ta surprise ? A demandé Pauline, tout en continuant à coudre son ourlet de pantalon, tu as quelque chose à arroser ?
• Non pourquoi ? Ce n’est pas un truc festif et ce n’est ni un restau, ni un cinéma si c’est ce à quoi tu penses. Ça concerne le bien-être, mais je ne t’en dirai pas plus, même si je sais que tu es têtue. Et maintenant, s’il te plait, ne poses pas de questions.

Il poursuit en souriant en voyant Pauline affublée de son vieux jean rapiécé et de ses éternelles babouches, comme chaque fois qu’elle est en télétravail :

• Tu envisages de venir comme ça ? On part dans une demi-heure.
• Non, bien sûr, je vais enfiler des cuissardes…mais je suis un peu paumée, je dois emporter quelque chose ?
• Non, rien ! Il faut cette fois que tu te laisses entièrement guider. Allez, ne restes pas plantée là…Tu verras, c’est super !

Une heure plus tard, Pauline qui avait à tort axé ses pensées sur une simple balade, entre dans cet établissement ancien surmonté d’un fronton de pierre très ouvragé.

• Elle est vraiment sympa la nana, chuchote Pauline en voyant le sourire franc, généreux et radieux de la jeune femme qui les accueille chaleureusement.

Parlant gaiement du bain d’Epsom dont elle narre inévitablement les bienfaits avec un petit cheveu sur la langue, celle-ci les invite à prendre place dans l’espace détente de flottaison en enjambant la petite porte.

Pauline flotte enfin sur cette eau riche en sel pile poil à la bonne  température.  Un  parfum de menthe on ne peut plus subtil et l’éclairage doux la bercent tendrement. Elle se sent comme sur un nuage ou un oreiller de plumes et laisse son esprit vagabonder, jonglant avec tous ses sens en éveil. Elle est ainsi parvenue quasiment à une déconnexion absolue…

C’est véridique se dit-elle, en apesanteur, on reçoit des poignées de bonnes ondes, comme une brassée de fleurs qui nous incitent à décompresser et relaxer toutes les parties de notre corps (quarante-cinq à retrouver dans ce texte )

Quel beau voyage !

Solution du jeu de dimanche dernier

Qu’est-ce-qu’on mange ce soir ?

   Je suis sûre que vous l’avez déjà entendu cette petite phrase glaçante ! Ça fâche illico n’est-ce-pas ? Vous qui n’aviez qu’une envie en rentrant du boulot : sauter dans vos chaussons… hop !  Elle arrive, insidieuse de la bouche et de vos enfants et de votre conjoint ! Vous êtes soufflée, sous le choc…Vous ne  vous attendiez  pas hélas à ce qu’on vous annonce que la popote est prête, que vous pouvez enfin voir le bout d’un jour épuisant et vous mettre les deux pieds sous la table !!!

Non bien sûr ! Mais tout de même, il est tard…tard tous ( tartare et tarte )les soirs lorsque vous arrivez, et il n’y a personne qui cherche à vous faire plaisir ! Et mince ! Et pourtant, ce n’est pas terrible de préparer un petit quelque chose !

En disant cela, je pense à ma copine Charlotte ! Son mari Christian, un pote âgé, toujours prévenant, l’accueille chaque soir avec le sourire et lui propose même de feuilleter un magasine au fond du canapé pendant qu’il prépare le repas !

Comment ça « Il a quelque chose à se faire pardonner ! » Je vous entends, vous le soupçonnez de je ne sais quoi, mais non !

Et non, ce n’est pas une farce ! 

« Ça la déstabilise ??? » Mais non pas du tout ! Qu’allez-vous imaginer?

C’est ça ! Le couple parfait en somme !

Bon, je sais, ce cas saoulait mes copines, un peu jalouses, je pense. Ça les fait bisquer ! D’ailleurs, ça énerve toujours quand je parle d’eux, car bonne à raconter les histoires des autres, j’en oublie que c’est différent ailleurs.

 Et d’ailleurs, je devrais peut-être me mettre aux fourneaux…mon fils Paul entasser ses briques dans un coin de la pièce et se tortille, à croire qu’il a faim. Pour le moment, il essaie de faire tenir une balle au sommet de sa tour :

• J’admire ta patience, lui dis-je, ta boule est en déséquilibre…elle va tomber !
• Je sais, les galets tiennent mieux, mais je n’en ai pas ici.

Je pars en trottinant dans la cuisine. Dans ma précipitation, je glisse et je me gaufre par terre….j’entends un crac, les tulipes tombent avec leur vase sur le sol, et je me coupe avec un morceau de verre. La boulette ! C’est bien ma chance, la coupure et ma main endolorie vont m’handicaper pour préparer le repas.

Je cherche une  idée simple de menu pour ce soir…Ce n’est pas le moment de flancher ! Je jette un coup d’œil sur l’ardoise ou j’ai noté quelques recettes faciles à la craie pour avoir des idées les jours sans.

• Tu as le teint blanc, qu’est-il arrivé ? me lance mon mari en croquant une pomme. Il revient tout juste d’un stage inévitable d’une semaine.
• Oh rien ! Je n’ai pas la frite. Ma coupure gratte un peu et j’ai le dos bousillé après ma chute. Je veux bien un petit massage tiens…la crème chauffante est dans la pharmacie.
• Ok, mais dis-moi : qu’est-ce-qu’on mange ce soir ?

Bonjour tout le monde,

La voilà ! La nouvelle histoire-jeu avec quarante six plats à déguster sans modération...De quoi vous mettre l'eau à la bouche...

Et ne me dites pas que vous n'avez pas d'idée de menu pour ce midi ou ce soir !

Là vous en avez bien pour une bonne semaine !!!

La solution dimanche prochain (avec une nouvelle histoire-jeu du même acabit )

Bon dimanche à toutes et à tous

Qu’est-ce-qu’on mange ce soir ?

   Je suis sûre que vous l’avez déjà entendu cette petite phrase glaçante ! Ça fâche illico n’est-ce-pas ? Vous qui n’aviez qu’une envie en rentrant du boulot : sauter dans vos chaussons… hop !  Elle arrive, insidieuse de la bouche et de vos enfants et de votre conjoint ! Vous êtes soufflée, sous le choc…Vous ne  vous attendiez  pas hélas à ce qu’on vous annonce que la popote est prête, que vous pouvez enfin voir le bout d’un jour épuisant et vous mettre les deux pieds sous la table !!!

Non bien sûr ! Mais tout de même, il est tard…tard tous les soirs lorsque vous arrivez, et il n’y a personne qui cherche à vous faire plaisir ! Et mince ! Et pourtant, ce n’est pas terrible de préparer un petit quelque chose !

En disant cela, je pense à ma copine Charlotte ! Son mari Christian, un pote âgé, toujours prévenant, l’accueille chaque soir avec le sourire et lui propose même de feuilleter un magasine au fond du canapé pendant qu’il prépare le repas !

Comment ça « Il a quelque chose à se faire pardonner ! » Je vous entends, vous le soupçonnez de je ne sais quoi, mais non !

Et non, ce n’est pas une farce ! 

« Ça la déstabilise ??? » Mais non pas du tout ! Qu’allez-vous imaginer?

C’est ça ! Le couple parfait en somme !

Bon, je sais, ce cas saoulait mes copines, un peu jalouses, je pense. Ça les fait bisquer ! D’ailleurs, ça énerve toujours quand je parle d’eux, car bonne à raconter les histoires des autres, j’en oublie que c’est différent ailleurs.

 Et d’ailleurs, je devrais peut-être me mettre aux fourneaux…mon fils Paul entasser ses briques dans un coin de la pièce et se tortille, à croire qu’il a faim. Pour le moment, il essaie de faire tenir une balle au sommet de sa tour :

• J’admire ta patience, lui dis-je, ta boule est en déséquilibre…elle va tomber !
• Je sais, les galets tiennent mieux, mais je n’en ai pas ici.

Je pars en trottinant dans la cuisine. Dans ma précipitation, je glisse et je me gaufre par terre…j’entends un crac, les tulipes tombent avec leur vase sur le sol, et je me coupe avec un morceau de verre. La boulette ! C’est bien ma chance, la coupure et ma main endolorie vont m’handicaper pour préparer le repas.

Je cherche une  idée simple de menu pour ce soir…Ce n’est pas le moment de flancher ! Je jette un coup d’œil sur l’ardoise ou j’ai noté quelques recettes faciles à la craie pour avoir des idées les jours sans.

• Tu as le teint blanc, qu’est-il arrivé ? me lance mon mari en croquant une pomme. Il revient tout juste d’un stage inévitable d’une semaine.
• Oh rien ! Je n’ai pas la frite. Ma coupure gratte un peu et j’ai le dos bousillé après ma chute. Je veux bien un petit massage tiens…la crème chauffante est dans la pharmacie.
• OK, mais dis-moi : qu’est-ce-qu’on mange ce soir ?