• Bonjour tout le monde,

    Étrange : Nos relations avec les animaux

    coup de cœur pour Pitchoune, drôle de chat.

    Belle journée à tous

    Mon meilleur ami

    Mon meilleur ami

       Avez-vous déjà regardé un chat dans les yeux ? C’est fascinant, indéchiffrable, mystérieux....et contrairement au chien qui exprime clairement ce qu’il ressent par son regard, il est bien difficile de savoir ce que « pense » un chat.

    Cet animal presque mythique mérite que l’on s’intéresse à lui. Il vit parmi les hommes depuis des millénaires et sait se faire apprécier, mais il reste pour nous une énigme et …il le sait. Il garde précieusement ses secrets et jamais personne ne peut réellement les « déchiffrer »

    Alors bien sûr, avec ses neuf vies, on lui attribue des tas de dons et un caractère magique. On le rencontre ainsi dans de nombreuses superstitions, dans la mythologie, dans les contes pour enfants mais aussi dans de très nombreuses histoires véridiques très étranges. Chacun d’entre nous en connait au moins une.

    J’ai eu la chance de me faire accepter par l’un d’entre eux et c’est passionnant ce que l’on peut découvrir à son contact. Il s’agissait en fait d’une petite chatte mi sauvage, mi domestique et j’ai très envie de l’insérer dans ma rubrique des « coups de cœur ».

    Je dois pourtant avouer que je n’aimais pas les chats…je les trouvais hautains,  distants, terriblement froids et dénués de toute sensibilité. Peut-être en avais-je simplement peur ! Et puis J’étais tellement habituée à la compagnie des chiens depuis mon enfance, à leur chaleur, leur douceur et leur côté attachant que la présence d’un chat ne m’intéressait pas le moins du monde.

    Jusqu’au jour où Pitchounette a fait irruption dans ma vie, j’ai littéralement craqué pour cette petite boule de poil. Son regard m’a comme hypnotisée ! Et tout chaton qu’elle était, elle a immédiatement trouvé SA place dans mon appartement, imposé SA loi et su se rendre indispensable tout en gardant ses distances. Elle pouvait se montrer hyper câline comme hyper sauvage, n’hésitant pas à me labourer les épaules de ses griffes si j’essayais d’entraver sa liberté (comme l’emmener chez le vétérinaire par exemple).

    Et pourtant, elle ne manquait jamais une occasion de les entraver les miennes (libertés !). Sautant sur mes genoux lorsque j’écrivais sur mon ordinateur, elle était si confortablement installée que je n’osais plus bouger d’un pouce, de peur de la déranger. Il m’est même arrivé de rester beaucoup plus longtemps que prévu juste pour ne pas la réveiller. Lorsqu’elle miaulait le matin très tôt, je n’hésitais pas à sortir du lit juste parce qu’elle avait décidé de faire un tour dans le jardin ! Jamais je n’ai réussi à lui ôter sa vilaine habitude de faire ses griffes sur le canapé (pourquoi le canapé ?). Si je la grondais, elle me regardait fixement avec ce regard noir et profond propre au chat, un peu hautain, je dois bien le dire…et elle recommençait de plus belle. A cause d’elle, je n’ai eu droit, pendant dix ans, qu’à de vieux canapés pourris ! Et ce ne sont que des exemples. Je ne parle pas de l’inconfort lorsqu’elle prenait toute la place dans mon lit ou qu’elle se réfugiait tellement près de mon cou que je ne pouvais presque plus respirer…et …je la laissais faire !! N’importe quoi !!

    Elle était si craquante  avec son doudou !! Doudou qu’elle m’avait « volé »…un adorable petit lapin bleu en peluche que l’on m’avait offert et que je « planquais » sur les étagères de ma bibliothèque. Elle le trainait partout et lorsque je quittais la maison, je le retrouvais systématiquement à la place où elle m’avait vue avant de partir.

    Elle avait des tas de surnoms auxquels elle répondait en s’approchant de moi dès que je l’appelais. C’était Pitchoune (le plus souvent), Choune ou Chouchoune. Mes filles, moins tolérantes pour ses sautes d’humeur, n’hésitaient pas à l’affubler de cet affreux « Coconne Choune ! ».

    Des anecdotes avec elle, j’en ai à revendre. On pourrait écrire un livre…mais ces quelques photos que j’ai soigneusement conservées se passent  de mots, les images parlent d’elles-mêmes :

    Elle était tour à tour : équilibriste, joueuse, star, curieuse, farceuse, superviseure, jalouse…elle aimait se cacher et se promener…et j’en passe !!!

    Mon meilleur ami

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  • Coucou les petits loups,

    C'est l'été, il fait chaud, vivement les baignades dans la mer et les longues balades le long des côtes pour observer les mouettes ...

    Belle journée et

    Bizatousssssssss

    Le phare de Loc Ael

    Le phare de Loc Ael

    Dans un coin isolé de Bretagne, à  quelques kilomètres de la pointe du Finistère, le phare de Loc Ael abrite un très vieux gardien qui veille constamment au bon fonctionnement du phare. Grace à son travail et son application à la tâche qui lui est confiée, le phare propage très loin sur l’océan, une très vive lumière clignotante qui  rassure les marins perdus en pleine mer dans la nuit, et guide leurs bateaux à bon port.

    Ce n’est pas pour rien que cet endroit se nomme LocAel, ce qui signifie en breton « le lieu de l’ange »...L’ange, c’est justement ce vieux gardien toujours vigilant et attentif lorsque la tempête se déchaine et que les bourrasques fracassent les vagues contre les rochers, au pied de ce géant de pierres qui surplombe la mer.

    On peut dire en effet  que Gwenolé est un homme très sympathique qui ne voit pourtant pas grand monde dans la journée. Les rares touristes qui s’aventurent sur cette haute falaise, admirent le paysage à couper le souffle – surtout les jours de tempête – mais rarement cet édifice qu’ils trouvent si haut qu’ils évitent de pousser la petite porte de bois un peu vermoulue.

    Seuls les mouettes et les goélands prennent plaisir à venir saluer notre gentil gardien. Chaque matin, Gwénolé les attend sur le petit balcon qui entoure le sommet de l’édifice, juste sous la grosse lampe qui clignote la nuit...là, il leur distribue des bouchées du pain qu’il fait cuire lui-même et qui sent si bon. Elles se jettent  goulument sur les miettes en le remerciant de leurs cris joyeux et stridents. Si les vacanciers levaient un peu les yeux vers le ciel lorsque le jour se lève, ils pourraient aussi découvrir le majestueux ballet aérien qu’offrent chaque matin ces oiseaux en signe de reconnaissance.

    Pourtant, ce matin, rien, nada...pas de danse résonnante dans le ciel, pas de cris stridents ! Les mouettes sont bien là, mais pas Gwénolé ! Que se passe-t-il ?

     Inquiets, les goélands s’engouffrent par une petite fenêtre restée ouverte et découvrent le gardien à même le sol...Il est tombé et s’est foulé la cheville.

    • Oh ! vous êtes venus, leur dit-il tristement...je n’arrive plus à me

    relever et le ciel est bien sombre. Cette nuit, la tempête va se lever et les bateaux risquent de s’écraser sur les rochers si le phare ne fonctionne pas...je ne sais pas quoi faire.

    • Ne t’inquiète pas ! on s’occupe de tout...et sans attendre la

    réponse du gardien, les goélands s’envolent dans les airs...ils vont tous ensemble à la ferme voisine –à quelques kilomètres quand même – pour prévenir le fermier. 

    Le brave Loïg (c’est le nom du fermier !) comprend immédiatement qu’il y a un danger et comme il n’a pas de voiture, il s’empresse d’accrocher une charrette derrière ses deux bœufs qui broutaient tranquillement dans le champ voisin. Il saute dans la charrette et suit les oiseaux jusqu’au phare...Il entre et aide Gwénolé à se relever pour l’emmener à l’hôpital le plus proche. Il le rassure en lui promettant de bien s’occuper du phare pendant son absence

    Le vent commence à souffler très fort. A la surface de l’eau, les vagues se forment et prennent de la puissance. Cette nuit, Loïg viendra garder le phare entouré de toute une ribambelle de mouettes et de goélands qui lui indiqueront la marche à suivre.

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  • Bonjour tout le monde,

    • Allo ? Vous êtes bien la « société des chercheurs de trésor ? J’aurai besoin de vos services.
    • En quoi pouvons-nous vous aider ?
    • Je vous explique : Je m’appelle Louis et je viens d’hériter du château de mon arrière-arrière grand-oncle. Oh ! Ce n’est pas l’affaire du siècle mais j’aimerais le transformer en lieu de vacances pour enfants. Il y aura bien sûr beaucoup de travaux à faire et j’aurai besoin d’un petit coup de pouce.
    • Et ?
    • C’est simple, je sais que cet oncle a caché un trésor à l’intérieur du château, et je compte sur vous et votre équipe pour le retrouver…je suis persuadé qu’il nous sera bien utile pour les dépenses à venir.

     

    Le trésor de Don Diego

     

     Le trésor de Don Diego

    C’est une nouvelle aventure inespérée pour nous n’est-ce-pas ?  et j’adhère totalement à l’idée d’aller dénicher ce trésor avec vous …. Vous êtes prêts ? Alors allons-y.

     Profitons du fait que Louis dort pour partir à la recherche de ce fameux trésor. L’oncle a dû laisser des « indices » dans des endroits improbables …et j’ai ma petite idée. D’ailleurs j’aime rôder dans ces lieux insolites.

    Regardez l’entrée du château…Il est là notre premier indice ! Trop facile. Ne lisez-vous pas « - omaine  -e –on –iego » à l’entrée?  Des lettres se sont effacées … Il manque la lettre D…

    Ce sont donc des lettres que ce vieil oncle a cachées.  Il va falloir mettre un sérieux coup de collier  pour écumer toutes les pièces  et rechercher ces lettres. Elles désigneront  le lieu où est caché le magot.

    Bon, on a déjà le D …c’est cadeau !

    En entrant dans le hall, Agathe trouve le deuxième indice en observant le portrait de Don Diego. Il est appuyé contre un arbre et est accompagné d’un âne. Il a un anorak amande, une arme et une alliance en argent.

    La cuisine nous donne un peu plus de mal. On cherche partout et Pierre qui vient de se servir un verre de grenadine, se fige en apercevant sur le frigo un mot sous une affichette annonçant une ancienne représentation théâtrale «  Quelle veine, Hélène sur scène ! Une reine qui file la laine sans peine »

    • Voilà notre troisième indice, s’écrie-t-il en nous démontrant sa théorie. Il suffit de lire la phrase à haute voix, insiste-t-il avant de se diriger vers les chambres du premier étage, encouragé par sa première découverte.

    Dans la première, c’est le papier peint qui intrigue une jeune femme touareg, Marine, venue rejoindre l’équipe. Elle lui fait penser à des serpents du désert lorsqu’ils ondulent sur le sable.  Probablement la lettre suivante.

    En entrant dans la seconde, j’aspire à une petite sieste mais je ne suis pas là pour ça. Je fixe le mur turquoise où sont peints des anges et des oiseaux aux ailes immenses…trop grandes pour ne pas constituer un indice supplémentaire.

    Le cabinet de toilette attenant renferme la lettre suivante : tandis qu’une eau pâle ruisselle dans le lavabo, un message stipule : «  Pri-r-  d-  bi-n  r-f-rm-r  l- robin-t ». Facile les messages à trous !

    Plus difficile à déchiffrer, le septième indice est planqué dans une petite boite en nacre caché au fond d’une jarre dans un couloir sombre. C’est encore Marine qui s’affirme en remarquant le point commun entre les plumes de perruche, pinson, pic vert,  pigeon et de perdrix qu’elle contient.

    • Tu connais bien les animaux dis-donc lui dit Amandine de sa petite voix cristal Eh bien moi, je viens de trouver la huitième lettre. Regardez ce fer à cheval sur le mur ! Il est à l’envers !

    Tout le monde s’exclame, mais moi, de mon côté, je commence à m’inquiéter, nous n’avons pas encore assez d’indices.

    • Saperlipopette ! Il va falloir s’affoler un peu, il ne nous reste plus que la bibliothèque à visiter. Je sens que nous allons avoir du mal à quitter ce lieu si les dernières lettres ne nous sautent pas aux yeux

    C’est alors que j’aperçois cette consigne « - c- on do-t l-re en s-lence »

    Affichée sur les tables placées en T au milieu de la pièce.

    • Je pense qu’avec ces deux lettres supplémentaires, nous avons presque le nom de l’endroit où se trouve le trésor, me dit alors Ruby. La dernière est visible sur ce bagage abandonné dans ce coin, tu as vu, l’oncle y a imprimé ce vers de Racine : «  Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? »

    Tous les membres de notre petite association se rassemblent alors autour de moi pour lire le message …

    Allons donc, je ne vais tout de même pas vous dire où se trouve le trésor...Je pense que vous le savez déjà n’est-ce-pas ? Il nous reste plus qu’à aller le chercher dans « ce lieu » et nous découvrons un grand coffre contenant de nombreuses pierres précieuses, bijoux  et monnaies. Pour savoir de quoi il s’agit, retournez sur vos pas et recherchez dans ce texte ces vingt-cinq objets.

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  • Bonjour tout le monde,

    "Sharikov " C'est quoi?

    Eh bien, c'est le nouveau blog de Ewenn

    Vous pouvez dès aujourd'hui vous y rendre en cliquant sur l'icone "chat" que vous voyez à gauche de l'écran si vous êtes en "version ordinateur"

    au-dessus des statistiques sous la rubrique "Derniers"...il vous explique tout sur son nouveau blog....

    Bonne lecture à tous

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  • Bonjour tout le monde,

    Difficile cette  première chasse au trésor ? Je sais, demain, promis, ce sera plus facile...plus complexe, mais plus facile ...

    En attendant, dimanche dernier, il suffisait de " prendre le texte au pied de la lettre", ainsi on pouvait trouver facilement:

    Trésor : solution

    1 - "Vous trouverez le premier indice à l'entrée de cette allée..."  : le A

    2 - "Il y a deux indices collés sur la canne..." : N N

    3 - "Vous verrez celui qui trône au centre de la pièce ..." : le E

    4 - " Un autre à l'intérieur du sac..." : le A

    5 - "Un au beau milieu du mur ..." : le U

    6 - " Je vous donne un dé..."  : le D

    7 - "Ce splendide escalier contient une huitième indication en double " : le E

    8 - " le neuvième signe à droite de ce banc " : le C

    9 - "le sympathique fauteuil crapaud en velours bleu " : le U

    10 - " en sortant du salon " : le N

    11 - "A gauche de l'évier " : le E

    12 - " en entrant dans le garage " : le G

    13 - " le quatrième tiroir " : le O

    14 - " Au cœur du linge " : le N

    15 - " De chaque côté d'un dossard " : le D

    et enfin le 16 : " la deuxième marche du perron "  : le E

    Anneau de Cunegonde

    Je sais, il fallait se creuser les méninges

    Bravo à toutes celles et ceux qui ont trouvé et à demain pour la prochaine chasse au trésor

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