• Belle journée à toutes et à tous,

    Juste un petit texte aujourd'hui, écrit sous le coup de l'émotion...C'est toujours triste de voir partir en fumée des monuments qui font partie de la vie de toute une population....

    Dans les flammes

    Dans les flammes

     

    Les cloches sonnent joyeusement pour annoncer un office, un mariage ou un baptême...enfin...elles sonnaient.

    Dans l’imposante cathédrale, l’orgue répand des notes envoutantes qui emplissent l’espace et transportent les fidèles en les touchant en plein cœur....enfin, il répandait...

    Une douce lumière colorée et semi- tamisée pénètre à travers les vitraux pour éclairer cette immense bâtisse…enfin elle pénétrait…

    Parce qu’aujourd’hui, tout est parti en fumée... Les flammes insolentes et impitoyables ont ravagé ce chef d’œuvre construit avec tant de passion par nos ancêtres.

    Quel que soit la cause de ce sinistre, il accable et désole toute une population pour le symbole que représente ce lieu.

    Emblèmes de paix, d’amour et de rassemblement, véritables soutiens dans les épreuves, églises et cathédrales veillent sur nous. Majestueuses au centre des villes et des villages, leurs flèches s’élancent vers l’infini. Elles sont là pour nous rappeler que, catholiques ou pas, nous sommes tous égaux et que nous vivons sous un même toit, celui de l’Univers.

    Et c’est bien en cette période difficile que nous avons le plus besoin d’être rassemblés, d’agir ensemble en se serrant les coudes pour vaincre main dans la main ce maudit fléau qui est en train de nous « grignoter » jour après jour.

    Églises et cathédrales, par leur présence et leur puissance au plus près de nous, nous soufflent à chaque instant que nous sommes tous concernés, tous unis dans cette épreuve.

    Les voir partir en fumée nous fragilise…et ce n’est pas le moment !!

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  • Coucou les ti-loulous,

    Après Faustine, c'est à Lucile de vivre une aventure extraordinaire.

    Qui n'a jamais rêvé de se projeter dans le royaume des jouets ?

    Belle journée à tous et Bizatousssssssssssssss

    Lucile

    Lucile

    Quand Faustine lui a raconté son aventure extraordinaire, Lucile, bien que très heureuse pour sa sœur, a bien cru que jamais elle ne pourrait vivre elle aussi quelque chose d’aussi magique.

    Quelques jours plus tard, elle était loin de se douter qu’une bonne fée croiserait sa route à elle aussi. Elle agiterait sa baguette rien que elle, la transportant au pays des mille rêves et mystères, parmi les étoiles et les paillettes.

    C’est un jour comme tous les autres. Lucile accompagne sa maman dans un grand magasin. Faire les courses, c’est toujours un peu la galère : A la boucherie et à la poissonnerie, il faut attendre son tour…longtemps ! Au rayon fruits et légumes, il faut choisir, peser, étiqueter…Ensuite, il faut trouver la farine, revenir en arrière pour chercher les mouchoirs en papier ou les corn flakes …et ça ne finit jamais…c’est trop long !

    Aussi, Lucile a simplifié le problème et s’est tout simplement  installée au  rayon des jouets en disant à  sa maman qu’elle l’attendait sagement là, que promis, elle ne bougerait pas.

    Elle s’arrête devant une grande bâtisse entourée d’un immense tapis vert sur lequel des animaux sont disposés ici et là. Près de la porte, elle observe un adorable petit chiot tout blanc, couché sur l’herbe. Il la regarde avec de grands yeux verts un peu tristes.

    Toute mignonne avec son regard rempli de malice, ses longs cheveux blonds qui lui recouvrent le dos et ses petites fossettes lorsqu’elle sourit, Lucile se laisse attendrir par ce gentil petit chien. Elle lui dit doucement :

    • J’aimerais bien venir te voir pour jouer avec toi et tes amis….

    Un peu plus loin, une magnifique fée vêtue d’une longue robe rose brodée de motifs en or a entendu Lucile…elle attrape aussitôt sa baguette magique et des milliers d’étoiles jaillissent, enfermant Lucile dans un halo lumineux.  Elle est alors projetée près de la grange, minuscule, parmi les animaux qui viennent aussitôt à sa rencontre.

    Pompon (c’est le nom du jeune chien) saute aussitôt dans ses bras. Elle enfouit ses mains dans son pelage doux et soyeux pour le caresser avant de jouer avec lui avec la balle rouge qui traine près de sa niche. Jaloux, Minoun, le chaton roux, lui mordille la cheville, ce qui la fait rire de bon cœur. Elle roule alors sur l’herbe tendre pour s’amuser avec ses deux nouveaux amis.

    Tous trois se dirigent ensuite vers le potager pour aller cueillir des carottes pour les lapins, mais Lucile se ravise et ouvre en grand les clapiers pour les libérer. Elle les voit alors gambader et sautiller vers les salades et les choux. Que c’est bon de les voir ainsi grignoter en toute liberté !

    Dans son élan, elle fait de même pour les poules enfermées dans le poulailler. Elles sortent immédiatement en caquetant,  tranquillement, suivies de leurs poussins qui piaillent en picorant les graines qu’elle a jetées sur le sol.

    Toujours accompagnée de Pompon et Minoun, Lucile court jusqu’à l’enclos où gambade un beau cheval racé tout noir. Il est accompagné d’un jeune poulain noir également, mais avec une tache blanche au milieu du front. Elle leur apporte une botte de foin et remplit leur abreuvoir… avec le tuyau d’arrosage étendu par terre. Ravi, Dody (c’est le nom du cheval !) l’invite à faire une balade sur son dos avec ses amis. Cheveux au vent, ravie, Lucile découvre alors tout l’univers des jouets, rencontrant tour à tour la reine des neiges, tous les membres de la Pat’patrouille, Vaiana, Raiponce, les Pyjamasques au grand complet et Princesse Sofia dans ses plus beaux habits…Pour régaler tout ce petit monde, elle s’arrête dans une cuisinette pour préparer un délicieux gâteau au chocolat.

    Après un bien copieux goûter, elle ne peut s’empêcher d’ouvrir un grand coffre contenant de nombreux déguisements plus somptueux les uns que les autres. Elle choisit une merveilleuse robe de princesse évasée, bleue lavande, ornée de dentelles, de strass argentés et de paillettes. Elle se maquille et accroche une jolie fleur à  sa chevelure. Quelques bijoux agrémentent sa jolie parure. Pompon et Minoun écarquillent les yeux ! Elle est tellement jolie !!!!

    Ainsi vêtue, elle entre finalement dans une chambre de poupée où l’attend un immense lit à baldaquin...

    • Lucile ? Lucile ? C’est la voix de maman qui essaie désespérément de réveiller sa fille…endormie devant le rayon des jouets.
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  • Bonjour tout le monde,

    Jeudi...place à vos écrits...

    Encore une fois, j'ai pioché dans mes réserves en pensant aux plus jeunes d'entre vous, et j'ai retrouvé un très joli conte écrit il y a bien longtemps par Grand-mère Élise.

    Avec un joli dessin de Philippe (déjà de belles aptitudes !!!)

    Dominique

     

    Dominique

         Dominique a envie de prendre l’air. Quelle journée il a passé !…jouer avec Mony sa petite sœur, qui pleure, qui griffe, et surtout qui casse tous ses jouets…bien sûr, c’est un bébé Mony, mais tout de même.

       Ils viennent de finir de dîner. Papa lit son journal, maman met Mony au lit, et ce n’est pas facile. Dominique, qui vient de sortir dans le jardin, l’aperçoit par la fenêtre, qui se débat, pleure, et maman à bien du mal.

       Quel temps superbe ce soir ! Le parfum des fleurs emplit le jardin, et comme très souvent quand il n’a pas eu une trop bonne journée, Dominique va s’asseoir au pied du gros arbre. Comme il l’aime ce bon vieux chêne, c’est là qu’il vient quand il veut être tranquille, ou quand il a du chagrin.

       Il lève la tête vers le ciel. Que c’est beau ! Petit à petit les étoiles s’allument… c’est éblouissant…Et la lune ? Jamais elle n’a été aussi grande, aussi brillante, et… elle a une bouche, un nez, des yeux…très malicieux d’ailleurs…et elle lui sourit. Il en écarquille les yeux. Tiens, il n’avait jamais remarqué, mais elle a un petit doigt tout doré avec lequel lui fait un petit signe comme pour dire « regarde…et écoute ».

       Une musique merveilleuse lui emplit les oreilles, et il voit…comme c’est étrange ! De drôles de petits hommes de toutes les couleurs qui descendent du ciel et s’approchent de lui. Ce sont eux qui jouent cette curieuse musique…et, incroyable, ils n’ont rien pour cela. Ce sont leurs mains, leurs pieds et tout leurs corps qui s’animent. Ils sont maintenant tout près de Dominique et semblent lui dire « Viens avec nous, chante et danse toi aussi »

       Oh ! Il voudrait bien, mais rien à faire, il ne peut pas bouger tant il est sous le charme de ce ballet surprenant, et comme il aimerait que Maman et Papa soient là aussi pour voir cette chose aussi étrange et merveilleuse !

       Tout à coup, une voix le fait sursauter : « Dominique… Dominique ». D’un bond, il se relève et l’enchantement disparaît. Bien sûr, le ciel est aussi beau, aussi lumineux et la lune est ronde et brillante, la musique elle-même est partout…ce sont les grillons et les sauterelles qui emplissent le jardin de leurs chants en frottant leurs pattes et leurs ailes.

       Dominique comprend, en regardant le ciel , bien installé sous son chêne, qu’il s’est endormi et a rêvé… mais qu’importe, demain, il en aura une belle histoire à raconter aux copains.

     

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  • Belle journée à toutes et à tous,

    Voici quelques "impressions" ressenties lors de cette escapade normande...J'ai écrit ces quelques lignes parce qu'elles correspondent vraiment à ce que j'ai ressenti.. Je sais que si je raconte cette anecdote "étrange", on me prendra pour une "allumée", alors je ne la raconte pas, je  me contente de l'écrire ... tout simplement.

    La Normandie

    Re(voir) la Normandie

    C’est drôle les aprioris !

    On n’a jamais vu une personne et on croit la connaitre. On n’a jamais goûté un plat et on décide qu’on ne va pas l’aimer. Pareil pour une région que l’on n’a jamais visitée. On se dit qu’elle est géniale ou au contraire qu’on s’y ennuiera à mourir.

    Eh oui ! Je n’échappe pas à la règle ! Loin de là !

    L’idée de passer quelques jours en Normandie ne m’avait jamais effleurée. J’ai toujours préféré la côte Atlantique et ses criques, la montagne, les forêts et les paysages variés avec du relief, des cours d’eau et des sentiers ombragés.

    La Normandie ne représentait pour moi que de vastes espaces avec des champs à perte de vue, des vaches et des pommiers, avec bien sûr une côte et des plages immenses…malheureusement vestiges d’un triste passé, pas si lointain que ça !

    Et il est vrai que les plages du débarquement, bien que synonyme de « délivrance de notre pays » ne représentaient pour moi que la  mémoire d’une guerre où je n’avais pas forcément envie de (re)plonger. Les cours d’histoire de ma jeunesse, les films et reportages divers me suffisaient amplement. Pour passer quelques jours de vacances, de repos, je préférais de loin la mer, la montagne, les reliefs, les lieux vivants, mais en aucun cas des monuments ou des lieux « funestes »

    Il aura fallu l’engouement de mon petit-fils pour cette région qui l’avait littéralement fasciné en février, et son désir d’y retourner avec nous pour que je découvre enfin ce lieu.

    Il était si heureux de nous faire partager sa passion pour l’histoire et nous servir de guide sur ces traces du passé qui l’avaient tant ému ! Et quel merveilleux guide ! Il connaissait son sujet comme s’il l’avait vécu ! Il n’avait pas oublié un seul détail de ce qui l’avait touché quelques mois plus tôt.

    J’avoue que j’ai été bluffée ! Pour ne pas dire « bouleversée ». Jamais je n’aurai imaginé ce que j’allais ressentir en marchant sur les pas de tous ces hommes venus de si loin pour nous libérer de nos chaines en sacrifiant leur propre vie. C’était un peu comme s’ils étaient encore présents.

    Si dans les films ou dans les musées, l’histoire me paraissait lointaine, longer les côtes normandes me donnait l’impression d’être en présence de tous ces fantômes d’un passé très très proche. Prendre réellement conscience de ces faits héroïques sans lesquels je n’aurai jamais pu voir le jour quelques années plus tard, m’a vraiment ébranlée.

    J’avais déjà vu les cimetières ou reposent tous les alliés… en photo, dans les reportages ...mais ça n’a rien à voir avec ce que l’on peut éprouver en parcourant les allées, en s’approchant de près de la dernière demeure de ces soldats, très jeunes pour la plupart, qui ont donné leur vie pour nous...

    Si je me décide à écrire ces quelques lignes, c’est précisément parce qu’à l’occasion de l’une de ces visites dans l’un d’entre eux - le cimetière canadien -  une sorte de « vision » m’a vraiment troublée. Je ne cherche pas à être « crédible » en racontant cette petite anecdote, mais j’éprouve simplement le besoin de la transcrire... Elle a probablement sa raison d’être.

    Je marche dans l’allée en essayant de comprendre la vie de ces hommes, leur motivation et les sentiments qui les animaient lorsqu’ils ont débarqué sur ces côtes normandes, lorsque brusquement mon attention est attirée par les grands arbres qui encerclent le site. Mon imagination dépasse alors la réalité et il me semble apercevoir des soldats juchés sur ces arbres. C’est un peu comme s’ils observaient les visiteurs et qu’ils essayaient de leur signifier qu’ils sont bien là, mais « vivants »…Difficile de transcrire ce que je ressens à cet instant.

    Ce qui est très étrange, c’est que je sais parfaitement que je ne vois rien de concret, mais je fixe néanmoins l’un d’entre eux…enfin, l’image qui s’est « glissée » dans mon esprit comme s’il était vraiment présent. Il est assis en équilibre sur une branche de l’arbre, le pied droit contre le tronc et le genou gauche replié. Son bras gauche repose nonchalamment sur ce genou et il tourne la tête dans notre direction, Son regard est chaleureux, bienveillant. Vêtu d’un uniforme kaki, il n’est pas armé et semble très calme, pacifique. Autour de lui, les autres hommes ne sont pas distincts, comme « enveloppés » dans un halo brumeux.

    Cette image n’a duré que quelques dixièmes de secondes, mais elle a eu pour effet de m’apaiser…afin de me permettre de poursuivre sereinement mes pas sur les traces de ce passé douloureux.

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  • Belle journée à toutes et à tous,

    Après la mini-série sur les entités et anges gardiens, voici une mini-série sur le "pouvoir de la pensée" avec de nouvelles anecdotes très bientôt.

    C'est fou ce que nous sommes capables de faire rien que par la force de la pensée ! Pire, ça peut se transmettre...l'histoire prochaine le démontre. Celle-ci aussi d'ailleurs

    La table en chêne

    Des meubles en « bois plume » 2

    Après l’histoire de l’armoire qui se « déplace toute seule », voici une anecdote du même acabit avec une énorme table en chêne massif.

         Il y a de cela quelques années, voire quelques dizaines d’années. Allez, je n’ai pas peur de le dire : près de quarante ans se sont passés depuis cette soirée mémorable, mais ma mémoire est pratiquement intacte ! Oui, oui.

       Nous étions en vacances dans un petit village de Haute Savoie avec des amis très proches. Nous partagions tout : nos soirées, nos jours de détente, nos vacances, nos rires, nos joies, nos passions…enfin tout. Nous n’avions pas encore connu de peines ! Uniquement le bonheur de connaître l’insouciance de la jeunesse.

    Enseignants dans le même bahut, Jean et Bernard s’entendaient comme larrons en foire et l’on ne voyait jamais l’un sans l’autre. C est donc tout naturellement que nos deux familles s’étaient rapprochées…. Nous vivions vraiment ce que l’on peut appeler le « bonheur »

        Allons, allons, laissons de côté la nostalgie des jours passés, je ne vais pas m’étendre sur cette relation qui somme toute, était relativement simple. Je vais juste écrire quelques lignes sur cette mémorable soirée « tarot » durant laquelle notre conversation avait quelque peu viré au « surnaturel », ou plutôt au « pouvoir de la pensée » !

     

    Comme tout le monde, nous avions appris que nous n’utilisions qu’une infime partie de nos capacités, que nos facultés s’étendaient bien au-delà de ce que nous réalisions, et nous trouvions bien dommage de ne pas savoir comment « aller plus loin »

    • le pouvoir de la pensée est infini ! c’est fou ce que l’on peut faire simplement en y croyant vraiment, nous affirma notre ami
    • Que veux-tu dire ?
    • Que tout est possible !
    • C'est-à-dire ?
    • Simplement que l’on peut vraiment déplacer des montagnes !!
    • Oui, bien sûr ! c’est une expression pour dire que l’on peut toujours faire mieux ! toi, le prof, tu dois dire ça à tes élèves pour les inviter à se dépasser, c’est normal. Mais, c’est quand même limité, non ?
    • Non ! il y a un exemple très simple que j’ai déjà vérifié avec des potes …Tiens, si vous voulez, on le fait ce soir.
    • Allons-y
    • Tu vois cette table ! eh bien, je vous garantie qu’avec Bernard, on la soulève tous les deux avec seulement deux doigts

    Mais bien sûr !! Une grande table comme ça ! En chêne massif en plus ! Tu as fumé la moquette ? J’essaie quand même machinalement de soulever un coin de la table (avec mes deux mains), elle ne bouge pas d’un chouia.

    • Mets-toi de l’autre côté. On ferme les yeux et on se concentre…il suffit d’imaginer qu’elle est légère….allez, c’est parti

    Mon amie et moi les regardons en silence, complètement incrédules ! Les deux copains se regardent, ferment les yeux et placent leurs deux index sous la table…quelques secondes plus tard, on constate, non sans surprise que la table décolle de quelques millimètres (il ne faut pas exagérer non plus !)

    • On peut faire encore mieux si vous n’y croyez pas…Tiens, ton fils, il pèse bien une quinzaine de kilos, non ?

    Et sans attendre la réponse, il prend notre fils dans ses bras et l’assoie sur la table…

    • Allez, on recommence

    L’expérience est une nouvelle fois un succès !! La table se soulève une nouvelle fois ! Avec un enfant assis dessus (comme si le poids seul de ce meuble n’avait pas suffi)

    Nous n’avons jamais retenté l’exploit…peut-être parce que le pouvoir de l’esprit fait un peu peur malgré tout.

    Avec le temps, je me demande quand même comment cette expérience a été possible !!

    Il n’y avait bien sûr aucun trucage !

    En écrivant ces lignes, je me dis qu’il est peut être temps de renouveler cela !! Après tout, c’est rassurant de se dire que l’on peut faire toujours plus !

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