• Bonjour tout le monde,

    Mercredi, jour des enfants...

    L'histoire de la petite danseuse étoile n'est pas nouvelle...dommage pour ceux qui la connaissent déjà ! Qu'ils se rassurent deux  nouveaux mini-contes de Noël sont en préparation ( à voir vendredi et mercredi prochain)...

    Belle journée

    Danseuse étoile

    La petite danseuse étoile et le pompier

         Quelle était jolie Marie avec ses grands yeux bleus en amande et ses longs cheveux blonds tirés en arrière, emprisonnés dans un diadème …Quelle grâce et quelle légèreté quand elle virevoltait sur la pointe des pieds dans son tutu blanc cousu de fils d’or et d’argent. On aurait dit une frêle libellule qui voletait au-dessus d’un lac.

       Toute petite déjà, elle rêvait d’être danseuse et ne manquait jamais un cours à l’école de danse où sa maman l’avait inscrite. Elle étonnait ses professeurs qui n’avaient aucun mal à lui enseigner les pas les plus compliqués et les plus difficiles à réaliser, et ils ne tardèrent pas à  lui demander de plus en plus de concentration et de discipline. Cette petite avait un don qu’il fallait exploiter au maximum.

       Marie ne reculait devant aucun effort et elle travaillait sans relâche. Toujours souriante, elle réalisait des prouesses sans jamais se plaindre, si bien que très vite, elle fit ses premiers pas sur scène à l’opéra de Paris comme « Petit rat ».

        Là encore, il lui fallut plusieurs années d’un travail acharné et continu, de souffrances physiques même. Elle devait toujours aller au-delà de ses capacités pour atteindre la perfection absolue.

        Mais rien ne l’arrêtait…Ce qui comptait pour elle et surtout pour ses professeurs, c’est qu’elle devienne une « danseuse étoile ». Ce qui finit bien sûr par arriver.

       On  la réclamait alors dans toutes les villes de France et de l’étranger et elle enchaînait les galas avec grâce sans jamais se lasser. Passionnée et apparemment infatigable, elle était capable de danser à Marseille un soir et de s’envoler pour l’île de la Réunion au petit matin…juste pour un spectacle... et le plaisir de danser.

        Toujours à la recherche d’une performance idéale, elle finit par ne plus penser qu’à la danse, sans tenir compte d’une petite douleur apparue un beau jour au niveau de sa cheville, une sensation bizarre qui l’accompagnait de plus en plus souvent lors de ses nombreux galas et qui parfois même la  réveillait en pleine nuit.

       Mais voilà ! Ce qui devait arriver arriva : un beau jour d’été, lors d’une représentation du « Lac des Cygnes » de Rudolf  Noureev sur une grande scène parisienne, la petite ballerine, épuisée, s’effondra sur le sol avec une horrible fracture de la cheville. On entendit une énorme exclamation dans la salle tant la consternation était grande…Puis plus rien…le silence.

    Danseuse étoile

        Ce  jour-là… la petite danseuse étoile perdit son étoile…et tout autour d’elle sembla s’écrouler !!! Ses espoirs et ses rêves.  Ses larmes coulèrent lentement sur son visage et rien ne put les arrêter.

       Très pessimistes, les médecins ne comprirent pas vraiment son désarroi et lui conseillèrent de stopper net la danse, de choisir une autre carrière.

         Marie s’enferma dans sa tristesse et retourna dans sa famille avec ses parents et son jeune frère qui essayèrent en vain de la réconforter. Ils lui témoignèrent beaucoup d’affection et lui affirmèrent sans trop y croire eux-mêmes que sa douleur morale finirait par disparaître en même temps que sa douleur physique.

        Inconsolable, elle s’isola complètement pendant quelques temps et se dit que finalement rien ne pourrait plus jamais la rendre heureuse. Son sourire avait disparu, mais pas sa gentillesse…et elle chercha un nouvel emploi.

       Elle accepta un travail dans un grand magasin de jouets en se disant que dans ce milieu, elle pourrait au moins rencontrer des enfants à qui elle pourrait donner un peu de sa tendresse. Elle les aimait tellement !

        Les jours passèrent, les semaines et puis les mois. Le printemps fit place à l’été, et l’été à l’automne. Dehors, les arbres prirent de jolies couleurs rouges, oranges, ocres et marron et les feuilles tombèrent une à une en tournoyant sur le sol…Marie regardait le spectacle de sa fenêtre mais n’avait pas le cœur à s’attendrir sur tant de beauté ! Elle souffrait toujours de sa cheville et ne sortait jamais sans ses béquilles.

    Quelques temps plus tard, ces mêmes arbres se retrouvèrent complètement dénudés et le ciel gris annonçait un hiver précoce. La neige se mit à tomber et les arbres s’emmitouflèrent dans un épais manteau blanc…Noël approchait.

        Les bûcherons allèrent couper de jolis sapins pour décorer les maisons et les appartements. Ils s’enfoncèrent le plus loin possible dans la forêt à la quête du plus grand, du plus beau, du plus majestueux des arbres. Quand ils le virent, ils l’abattirent avec leur hache avec la plus grande des délicatesses et l’installèrent sur la grande place du village.

     Les habitants le découvrirent avec bonheur et s’empressèrent d’apporter de quoi le décorer. Les uns revenaient chargés de guirlandes multicolores, d’autres de boules scintillantes ou de bougies,  d’autres encore de friandises et de fruits qu’ils disposèrent sur les branches du grand sapin.

          Les parents de Marie lui demandèrent si elle voulait elle aussi participer à ce grand événement et elle accepta en dissimulant sa souffrance au fond de son cœur. Elle accrocha elle-même  une grande quantité de petits jouets entre les aiguilles de l’arbre de Noël.

      La veille du grand jour, tout le village se rassembla au pied du grand sapin pour chanter Noël, jouer, raconter des histoires, et passer un bon moment ensemble avant de réveillonner en famille. Les enfants firent une grande farandole autour de l’arbre et les grands les regardèrent s’amuser et rire avant l’arrivée du Père Noël.

        Un peu en retrait, Marie contemplait le spectacle tout en fixant l’étoile retenue à la cime du sapin. Ses yeux se remplirent de larmes et tous les habitants tournèrent vers elle leur attention. Ils comprirent son chagrin et d’un commun accord, pour lui changer les idées, ils lui demandèrent d’allumer les bougies placées sur l’extrémité des branches, avant de terminer la soirée sur une dernière chanson.

       Le spectacle était fabuleux et chacun resta un moment sans voix, émerveillé par tant d’éclat et de splendeur…

       Soudain, l’une des bougies se décrocha, tomba sur la branche du dessous qu’elle enflamma…le feu se propagea à une vitesse incroyable sans que personne ne put faire quoi que ce soit…On entendit des cris venant de toutes parts, des plaintes…et ce fut le branle-bas de combat. Tous les habitants se sauvèrent en attrapant la main des enfants qu’ils entraînèrent le plus rapidement possible dans la salle municipale ou un chocolat chaud et une brioche les attendaient.

        Seule au milieu de la place, Marie contemplait la scène en  observant au sommet de l’arbre l’étoile brillante qui scintillait de plus en plus sous l’effet des flammes, et elle resta immobile sans se soucier du danger qui déjà la menaçait.

       C’est alors qu’un pompier venu de nulle part, fit son apparition avec son camion. Il s’empressa d’éteindre les flammes avec sa lance, jeta un coup d’œil rapide en direction de Marie et déploya sa grande échelle pour aller cueillir l’étoile. Il l’attrapa doucement et descendit les barreaux très lentement. Il s’approcha alors de la petite danseuse pour  lui déposer son présent au creux de la main.

        Marie sentit alors une immense chaleur l’envahir et elle dévisagea l’homme tout habillé de rouge qui venait de lui offrir ce cadeau. Elle  comprit aussitôt qu’il ne s’agissait pas seulement d’un pompier…il semblait très âgé et portait une immense barbe blanche. Ses yeux souriaient et elle lui rendit son sourire…. Puis, avant même qu’elle ait pu le remercier, il disparut comme il était venu.

        C’est à ce moment précis que tous les habitants se rendirent compte que Marie ne les avait pas suivis et qu’ils se dirigèrent vers les fenêtres de la salle municipale pour l’appeler.

    A leur grande surprise, ils virent le sapin à nouveau joliment décoré comme si rien ne s’était passé. Il semblait même plus beau qu’avant avec de longs fils d’or qui l'enveloppaient et des paillettes argentées qui brillaient de mille feux…A ses pieds, des centaines de cadeaux emballés dans de jolis papiers chamarrés et ornés de gros rubans rouges et bleus, attendaient les enfants…

    Mais le plus incroyable se produisit alors, les laissant muets d’admiration : La neige commençait à virevolter dans le ciel et avec elle, une gracieuse danseuse étoile, légère comme une plume évoluait en réalisant de magnifiques pirouettes sur le tapis blanc qui déjà recouvrait le sol.

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  • Belle journée à toutes et à tous,

    Étrange : Des supers pouvoirs

    Nous avons tous des "supers pouvoirs" ....

    A en croire la série d'anecdotes qui vont suivre, c'est surement vrai....et pour commencer, cette anecdote déjà connue de la plupart d'entre vous....

    Bon mardi à tous

    Des meubles légers

    Des meubles en « bois plume »

     

        Enfin ! Ça y est, après bien des « galères », nous avons « notre chez nous ».

     Avec les quatre enfants (la petite dernière vient de naître), nous venons d’emménager dans une grande maison entourée d’un beau jardin paysagé, et qui plus est, dans un quartier très agréable…tout près de l’endroit où j’ai passé mon enfance. Que demander de mieux. Rien, c’est le bonheur !

    Mais le travail ne manque pas. A peine rentrés dans cette maison, nous décidons de faire quelques travaux de décoration…c’est vrai que de ce côté, il y a de quoi faire.

    Méthodiquement, on s’attaque d’abord aux chambres des enfants, et plus précisément la chambre de Nono. Située dans la toute nouvelle extension de la maison, cette pièce ne présente pas trop de difficultés. Après avoir recouvert le sol d’une épaisse moquette bleue (ben oui, c’était la mode dans les années 70 !…bienvenue à nos amis acariens !), on choisit une jolie tapisserie, un papier peint blanc rehaussé de quelques lignes horizontales colorées, assez moderne ma foi (toujours à la même période, cela s’entend), et surtout sans raccords (nous ne sommes qu’aux balbutiements de nos talents de bricoleurs !!).

    Allez, c’est le jour J. Tout le matériel est prêt : les rouleaux, la colle, une grande règle, un crayon de papier, une équerre…

    On commence à prendre des mesures, on s’installe dans la cuisine, plus pratique, et c’est parti !…Premier lai, on coupe, on encolle sur la table. On remonte à l’étage, on longe le long couloir avec le lai dans les bras, on entre dans la chambre, et on pose …Facile !!

     Allez, au suivant, même chose, on coupe, on encolle et on remonte dans la chambre, on juxtapose les côtés et on passe un chiffon pour lisser …pas mal !

    Pendant tout ce temps, notre bout de chou reste assise au milieu de sa chambre et joue tranquillement avec ses puzzles…tellement absorbée qu’elle ne lève même pas les yeux pour regarder les transformations qui commencent tout autour d’elle….

    De notre côté, tout se passe bien. Nous avons déjà terminé un mur et il nous faut  ramener la grosse armoire au milieu de la pièce si l’on veut tapisser derrière. Un peu fainéants, on décide de la changer de place sans la vider. Pas facile, facile, mais en s’y prenant à plusieurs fois, on arrive tant bien que mal à la décoller du mur et la tirer petit à petit vers le centre de la pièce…Ouf ! Ça c’est fait !! Nono, ne bouge toujours pas et continue à jouer sans bruit, comme si elle était seule dans la pièce…A-t-elle seulement vu qu’on venait de réduire son champ d’activité ???

    Une heure plus tard, le mur est tapissé…on s’éloigne un peu pour voir, et il faut bien avouer qu’on est assez fiers de nous. On se débrouille comme des chefs !

    Allez, on remet l’armoire à sa place! On essaie de la faire glisser, niet ! Il ne faut pas oublier  la moquette ! Bref, pas évident du tout. Vive le parquet ciré !! On fait une deuxième tentative, pas mieux… On renonce cette fois-ci, on verra ça tout à l’heure,  la fatigue commence à se faire ressentir quelque peu.

    • Et si on faisait une petite pause ? on l’a bien méritée non ?

    On redescend et on prend quelques minutes autour d’un petit café entre les bouts de rouleaux et la colle qui recouvre la table….

    Allez, on y retourne avec l’intention cette fois de vider l’armoire avant de la déplacer …il ne faut tout de même pas exagérer.

    On entre dans la chambre et ce que l’on découvre nous cloue sur place. On se regarde sans rien comprendre.

     Nono est toujours au même endroit, tranquille, avec ses mêmes jeux, et ne prête toujours aucune attention à notre arrivée…. Derrière elle, l’armoire est à nouveau à sa place, tout contre le mur !!!

    • « ôte-moi d’un doute…c’est bien un café que l’on a pris ?  On n’avait pas bougé l’armoire avant de descendre ?

    Ce n’est tout de même pas imaginable d’avoir oublié tous les deux ce que l’on a fait avant de prendre cette petite pause.

    Naïvement, sans même réfléchir à ce que je dis, je pose cette question stupide à ma fille de six ans:

    • « C’est toi Nono qui a remis l’armoire à sa place »

    Elle lève la tête, me regarde et répond simplement, comme une évidence :

    • « oui » et retourne à ses occupations.

    Ben voyons !!!!!

    Cette histoire véridique fait toujours partie des anecdotes que l’on se raconte en famille…Le souvenir reste intact et nous n’avons toujours pas trouvé d’explication à ce phénomène…A mon avis, ce n’est quand même pas une enfant d’à peine vingt kilos qui a pu bouger cette armoire ! Ce n’est pas non plus l’armoire qui s’est déplacée seule !!!

    Une hallucination ? On aurait réussi à remettre l’armoire en place avant de descendre et on aurait oublié tous les deux ? Ce serait le plus plausible !!! Bizarre quand même !! mais c’est, je pense, ce que tout le monde croira.

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  • Bonjour tout le monde,

    Nouvelle semaine, bon courage à toutes et à tous...Et pour commencer voici une petite histoire de Noël suivie de la solution du jeu de la semaine dernière.

    L' homme célèbre qui a découvert le village du Père-Noël n'était autre que Cook, un grand explorateur.

    Belle journée à tous

    Où sont les jouets ?

    Où sont les jouets ?

    • Saperlipopette !!

    Le cri résonne sur toute la banquise.

    Les lutins étaient pourtant très fiers d’eux. Ils venaient de terminer le chargement de tous les jouets à l’intérieur du traineau. Ils se sont juste absentés cinq minutes pour prévenir le Père-Noël que tout était bien installé, rangé, prêt pour le grand voyage...Lorsqu’il est arrivé, magnifique dans son beau costume rouge, il n’a pu que constater les dégâts…Que s’est-il donc passé ?

    Il est très énervé, très en colère, et son cri laisse Poupi, Pilou et Poulou, les trois lutins qui l’accompagnent, de glace... ils sont figés, tout tremblants, près des rennes qui ne comprennent rien. Les trois quarts des jouets ont disparu !

    • Saperlipopette ! mais il ne reste que les boites vides ! où sont-ils? Ils ne se sont tout de même pas volatilisés?
    • Ils ont dû s’échapper ! affirment en chœur les trois lutins.
    • Je le vois bien ! je ne suis pas aveugle ! Eh bien, ne restez pas là, les bras ballants ! qu’est-ce-que vous attendez pour aller les chercher ?

    Le Père-Noël n’est vraiment pas content. C’est la première fois que des jouets prennent la poudre d’escampette ! Il fait l’inventaire des jeux qui se sont « envolés »

    • Les poupées sont là, les trains électriques aussi, les jeux de construction....les consoles…Tiens, tiens, mais ce sont les Ninjago, la Pat ’Patrouille et tous  leurs engins qui se sont enfuis !  Il envoie ses lutins à leur recherche illico presto.

    Quelques heures plus tard,  ils reviennent éreintés, accablés, exténués et surtout  « bredouilles ».  Ils ne les ont pas retrouvés...ils sont en larmes !

    • C’est trop difficile !...on ne sait pas où aller, sanglotent-ils !

    Le Père-Noël bougonne et grogne, il tourne autour du traineau, les bras derrière le dos. Il est vraiment très fâché !  Il va être en retard pour sa tournée !

     Il réfléchit...longtemps...et... eurêka ! Il a une idée lumineuse. Il demande aux lutins d’aller chercher Sacha, Amaya et Greg chez eux…

    • Allez…plus vite que ça !

    Il a à peine terminé sa phrase que les trois enfants sont là et attendent ses recommandations :

    •  Il va bientôt faire nuit ! Enfilez vos pyjamas de super héros, j’ai besoin de vous, les amis. Il faut absolument retrouver les jouets.

    Avec leurs pouvoirs spéciaux de super héros, les trois pyjamasques auront vite fait de retrouver les fugitifs.

    Et en effet, c’est Bibou avec sa vue perçante qui, en volant au-dessus de Fay de Bretagne, aperçoit Gabriel en train de jouer avec les Ninjago et la Pat’ Patrouille au grand complet. Toute la journée, les flocons ont tourbillonné dans le ciel, recouvrant le sol d’un épais tapis immaculé. C’était trop tentant, il fallait en profiter…Ils se sont donc lancés dans une gigantesque bataille de boules de neige sur le terrain de foot.

    Rapide comme l’éclair, Yoyo est le premier arrivé sur place, suivi de près par Gluglu et Bibou. En découvrant Gabriel et ses nouveaux amis si heureux, les Pyjamasques hésitent à interrompre leur jeu et décident même de s’octroyer une petite pause en se joignant à eux.

    Quel bonheur ! C’est à qui lancera la boule la plus grosse. Gabriel poursuit ses héros favoris, les mains remplies de cette merveilleuse poudre blanche et glacée qu’il lance en poussant des cris de joie. Il reçoit aussi quelques boules molles et froides en plein visage, ce qui le fait hurler de rire.

    Il se roule ensuite dans la neige tendre, glisse sur la surface gelée avec Everest, et accompagne Zuma sur son aéroglisseur sur le lac voisin.

    A leur retour, les Ninjago ont préparé une jolie surprise : en rond au milieu du stade, ils se lancent dans une présentation de leur sport favori, le Spinjitsu. Brillant comme toujours! Tout le monde applaudit cette performance et chacun essaie de reproduire les gestes de cet art martial un peu spécial…sans trop de succès ma foi !

    Ils décident ensuite tous ensemble de fabriquer un immense bonhomme de neige avec l’aide du tractopelle de Ruben. Ils lui plantent un énorme nez rouge avec une carotte, et entourent son cou d’une grosse écharpe de laine qu’ils sont allés chercher chez Gabriel. Satisfaits de leur réalisation, ils dansent autour et s’arrêtent net. Ils viennent de remarquer que le bonhomme ressemblait à …à …mais oui

    • Le Père-Noël ! on a oublié le Père-Noël ! s’écrie Maître Wu ! plus sage que tous les autres…il doit s’impatienter !

    Heureux de la journée qu’ils ont passée avec Gabriel, les jouets s’entassent dans l’hélicoptère de Stella. Gluglu avec ses supers muscles le pousse avec Yoyo jusqu’au traineau.

    Plus tard dans la soirée, Gabriel a demandé à son papa de venir voir son beau bonhomme de neige, mais je crois qu’il ne l’a pas cru lorsqu’il lui a dit que la Pat’patrouille, les Ninjago et les Pyjamasques l’avaient aidé et qu’ils avaient passé l’après-midi ensemble!!!

     

    Au travail Père-Noël !

      Dans le grand atelier  qu’il a construit dans son village secret, le Père-Noël va et vient…il s’active dur depuis ce matin. Il étrenne même son bel établi connecté pour fabriquer de nouveaux jouets

    • Qu’est-ce qui motive ainsi mon cher époux ? S’exclame la Mère Noël  en entrant avec une tasse de chocolat fumant.
    • Je viens de recevoir les premières lettres des enfants…Il faut que je prépare leurs cadeaux…Je n’ai jamais commencé si tard. Il n’y a plus une minute à perdre. Si je traine aujourd’hui, je vais prendre du retard…. Mais dis donc, c’est gentil d’être venue me faire coucou.
    • Voyons, il est déjà minuit, tiens, je t’ai apporté de quoi te réchauffer ! Tu travailles depuis l’aurore, beau réalisateur de jouets ! Tu devrais arrêter un peu !

    En l’entendant l’appeler ainsi, le Père-Noël ne peut s’empêcher d’éclater de rire, puis il avale d’un trait son chocolat brûlant comme un petit glouton.

    • J’en ai pour une petite heure encore dit-il en prenant un morceau de bois pour le raboter.
    • Qu’est-ce-que tu comptes faire avec ?
    • Un petit lapin goinfre et dodu, articulé et qui parle… pour essayer de faire rire un enfant, car quoi que fassent ses parents, il est toujours triste…il prend alors sa pièce de bois pour la poncer.
    • Je te reconnais bien là mon ami. Ton âme cherche toujours une solution pour faire plaisir à tous les enfants.

    D’un geste machinal, elle attrape le balai neuf coincé dans un coin de l’atelier pour balayer les copeaux. Elle voit bien que son époux lutte un peu contre le sommeil. Elle décide donc de rester avec lui pour  l’aider à porter les objets un peu lourds sans peine.

    • Très joli ce petit ruban qui zigzague au-dessus de cette forteresse. Ce rouge grenat rehausse la beauté de cette bâtisse. Il n’y a qu’à Noël qu’on peut voir de telles réalisations. Il va aller chez quel enfant ce magnifique château ?
    • C’est un cadeau pour Paul, Hermione et Geoffroy, trois enfants passionnés d’histoire.
    • C’est un superbe palace qu’après les fêtes, j’aimerais visiter.
    • Pas de problème, je t’y emmènerai…Il existe vraiment. Sa galerie des Glaces est majestueuse.
    • Et sinon, y-a-t-il des vœux particuliers chez nos enfants cette année ? Je pense à celui qui voulait un attrapeur de mauvais rêves l’an passé !
    • Oh ! Ils sont très raisonnables ! Ils demandent des jeux de société, des peluches avec des fourrures toutes douces et ce qui m’a le plus surpris des yoyos, jokaris, boules de pétanque et …ah oui, il y en a un qui m’a demandé quelque chose de très spécial…mais je te raconterai cela plus tard.

    Pour terminer la journée en douceur, la mère Noël papota, rigola et plaisanta avec son mari pour le soutenir dans son travail. Puis, ensemble, ils quittèrent l’atelier. Allez, Youh ! Skis aux pieds, ils s’éloignèrent vers leur petite maison.

    Mais où est donc situé le village secret du Père-Noël ? Pour le savoir, il suffit de retrouver les trente indices cachés dans ce texte…Une dizaine d’animaux, des moyens de transport, des habitants et même un homme célèbre, celui qui a découvert cet endroit.

    Ps : Ah oui ! le vœu très spécial dont parle le Père-Noël ? Eh bien ce sera l’objet d’une nouvelle histoire

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  • Bonjour tout le monde,

    Histoire-jeu : des sportifs

    Des sportifs de haut-niveau (de tous les temps) accompagnent le Père-Noël dans sa tournée...une tournée un peu houleuse (ça tombe bien, il y a des navigateurs pour l'aider!)

    A vous de les retrouver dans ce texte;

    Bon dimanche à tous.

    Sportifs

    Un père-Noël très très sportif !

    24 décembre au matin :

    Le Père-Noël passe en revue l’ensemble des cadeaux prêts à charger sur le traineau.

    • Quel cadeau manque-t-il ? Je n’ai pas vu celui de Noah…s’exclame-t-il, un peu anxieux ! La mère Noël (qui lit la liste des commandes à haute voix) le rassure :
    • Mais si, il est là ! Regarde sous le renard en peluche de Enzo, le fort gabarit de cette peluche le cache à moitié. Quand on a la vue qui baisse, il faut mettre des lunettes, mon petit bonhomme !!!
    • J’en ai marre, il faut toujours que tu trouves le moyen de te moquer de moi...et d’en rire en plus !!! bougonne-t-il en brandissant sa canne.

    Un peu énervé, il  va plus loin à la rencontre de  ses lutins qui se prosternent devant lui pour le saluer. Une longue ovation pour lui signifier qu’ils sont prêts. Ils ressemblent à de gros poupons dans leurs tenues extravagantes. Leurs  admirables pantalons bouffants à rayures vertes et blanches, leurs boléros rouges et leurs bonnets à clochette l’amusent beaucoup et lui redonnent le sourire.

    Bernard, le major dans la promotion se charge ensuite d’appeler les rennes. Il les voit alors sortir de la vigne située près des champs, à l’arrière de l’atelier.

     Super ! Tout est OK !

    • Allez, au boulot à présent ! Il faut tout charger sur le trai....Oh my god ! Mais que s’est-il passé ?

    Le Père-Noël découvre son traineau ...enfin ce qu’il en reste ! Les lutins restent muets, mais ils savent bien eux, ce qui est arrivé. En le sortant du hangar où il dort depuis un an, ils l’ont déposé sommairement en équilibre sur la marche devant la porte, il a glissé sur le verglas et a dévalé la pente:

    • Arrête ton char Line et piquons un cent mètres pour le rattraper, s’était écrié l’ainé des lutins en direction de son amie qui lui racontait une blague tandis que le traineau prenait de la vitesse....

    Mais ils arrivèrent trop tard et le bolide accosta tout près d’un précipice, contre un immense sapin. Bilan, le sapin a tenu bon, mais le traineau est en mille morceaux car les vis ont toutes cédé.

    • Que faire ? Ce n’est pas de bol tout de même ! Se lamente le Père-Noël, droit comme un manche à bal Il se reprend vite et donne ses directives :
    • Nous allons devoir le transporter dans la cour et allier nos forces pour le remettre en état avant ce soir ! Pas de temps à perdre les lutins ! A la une …à la deux…à la trois…on le soulève. Tiens bon ta barre Line, tu le laisses tanguer un peu trop…

    Tous vont ainsi s’activer  autour du traineau, des lutins ôteront les épines au centre de l’habitacle, d’autres cloueront, d’autres encore boucheront les trous…

    • Aie, aie aie, s’écrie soudain le Père-Noël qui vient de se donner un coup de marteau sur les doigts en accrochant une poulie d’or sur le traineau …juste pour faire joli.
    • Que tu peux être douillet, se moque la mère Noël qui vient juste d’arriver pour apporter une petite collation à cette équipe.

    Loin de se braquer le Père-Noël se détend et tout le monde se met à rire…

    Quelques heures plus tard, le traineau est réparé, encore plus beau, baignant dans une pluie d’étoiles, prêt à être chargé pour le grand voyage.

    Oups ! Quel rapport avec le sport ? Me direz-vous.

    Vous avez déjà vu un Père-Noël se mettre au sport vous ?

    Non, bien sûr, mais dans ce texte, se cachent néanmoins quarante-quatre sportifs de haut-niveau ! A vous de les trouver

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  • Belle journée à toutes et à tous,

    Étrange : La paréidolie

    Rassurez-vous, je connais ce mot depuis peu, seulement deux jours...Voici les circonstances qui me l'ont fait découvrir...La suite de cette anecdote après-demain....

    Aujourd'hui, voici juste l'introduction et quelques photos pour illustrer le thème

    Bon jeudi à tous

    Paréidolie

    La Paréidolie

     

    Il y a décidément des « choses » bien troublantes qui viennent nous titiller et auxquelles on ne trouve pas forcément d’explication cartésienne. L’autre jour, je faisais part à ma fille de ma « surprise » en regardant une photo que m’avait envoyée sa sœur. J’y voyais nettement un visage dessiné sur son portable. Et tandis que je m’emberlificotais les  crayons en lui racontant que j’y reconnaissais là un signe d’un membre disparu de notre famille, mon petit-fils s’est interposé, un peu amusé par mon propos:

    • Il s’agit là de paréidolie
    • De quoi ? Lui demandons-nous en chœur.
    • De paréidolie, c’est le terme qui désigne le fait de voir une forme familière dans un objet ou tout autre chose…un peu comme le rocher de l’ours au Croisic
    • Comment tu sais ça toi ? Lui demande sa mère
    • Je le sais ! C’est tout !......

    Paréidolie

    une sorcière dans un arbre

    Paréidolie

    Une autre sorcière (la Mère Kale) dans une coulée de lave à la Réunion

    Paréidolie

    Une main

    Paréidolie

    Un "génie" dans la fumée

    Paréidolie

    Un cœur bien sûr !

    Paréidolie

    E.T ?

    Paréidolie

    Et là ????

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