• Belle journée à toutes et tous sarcastic,

    Nombreux sommes-nous....ou plutôt êtes-vous à avoir peur des araignées !

    Voici donc une nouvelle histoire de Grand-mère Élise qui vous les rendra probablement plus sympathique!

    clin d’œil à Nono ....

    Qui a réalisé ce joli dessin ??? Phiphi ? François ? Yannou ? Pas Nono quand même ? elle aurait eu trop peur de son dessin !!!!

    Fifi l'araignée

    Fifi, l’araignée

       Qu’elle était belle ! Jaune et noire, avec des pattes fines, quelle élégance !…et la meilleure artiste du coin. Ses toiles ? Des merveilles à rendre jalouses les plus habiles fileuses du monde.

       Elle était là, sur un bouquet de fleurs, mais l’été s’achevait et il fallait bien penser à se mettre à l’abri pour l’hiver.

       Fifi, notre araignée, pensa, et à raison, que le meilleur endroit serait la plus belle maison de la ville, celle du notaire. Avec précaution et majesté, elle fit son entrée dans la superbe demeure, et pourquoi pas, directement dans le salon où il y avait des choses extraordinaires, mais, se dit Fifi, rien n’égalait ce qu’elle était capable de faire, et, tous, sûrement l’attendaient pour terminer la décoration. Elle s’installa dans le meilleur coin et commença à travailler, mais…plouf !!, elle eut bien du mal  à reprendre son souffle…un affreux balai la fit valser, et…la revoilà dehors.

       Notre araignée n’en revenait pas, qu’importe, je vais prendre comme logis une maison moins importante, peut-être que là on verra ce que je suis capable de faire.

     Et voilà que bien installée dans un coin de la cuisine  et prête à se mettre à l’ouvrage, un autre vilain balai vint la déloger…elle était pourtant bien cachée !

      Que faire ? Il y a bien la niche de Médor, lui au moins ne saura pas se servir d’un balai. Mais là encore, quelle horreur !la queue de Médor la mit à nouveau dehors.

       Péniblement, Fifi remonta la rue principale du village, elle avait froid lorsque tout à coup elle pensa à la masure du vieux  Claudio, un homme très pauvre, mais tellement gentil ! Et voilà…timidement, Fifi entra, pauvre Claudio ! Il n’avait jamais de visites ! En voyant Fifi, gentiment il lui dit : «  entre Fifi, et prend la meilleure place, j’ai fait un bon feu dans la cheminée, tu y seras très bien » …Fifi s’installa et fit la plus belle des toiles que jamais personne n’avait vue, une merveille de beauté et de finesse. Claudio, lui, sut l’admirer, et le soir, il lui parlait et lui confiait tout ce qu’il aurait aimé faire, lui racontant des histoires merveilleuses.

      Fifi resta, et pour remercier celui qui si gentiment lui avait ouvert sa porte, elle débarrassa le vieux Claudio de toutes les mouches et de tous les moustiques qui l’ennuyaient.

     

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  • Belle journée à toutes et tous yes,

    "un enfant-une histoire" poursuit son chemin avec une visite au musée et Clémence

    Plus que 15 jours pour demander la vôtre...Dépêchez-vous.

    Clémence


    Clémence 

    Pour terminer l’année scolaire en beauté, Clémence part avec toute sa classe voir une exposition de peinture dans un grand musée de la ville voisine.

    Enthousiaste et toujours très disciplinée, notre jolie petite blondinette est fascinée par les grandes toiles qu’elle aperçoit accrochées sur les murs blancs. Elle observe dans les moindres détails les œuvres des grands peintres et se laisse peu à peu distancer par tous ses camarades.

    La première salle est entièrement consacrée à l’art du cirque. Clémence compare les clowns de Bernard Buffet qui, malgré les couleurs vives et leurs expressions curieuses, lui semblent bien tristes dans l’ensemble ! A la vue de l’un d’entre eux, elle ne peut réfréner un fou rire : Avec son drôle de chapeau qui ressemble plus à un bateau qu’à un couvre-chef, ses deux espèces de cornes et ses yeux éteints, il a le toupet de lui tirer la langue ! Elle lui répond en l’imitant, et, l’espace d’un court instant, il lui semble qu’il s’en amuse en lui adressant un clin d’œil. Elle approche alors son index de son gros nez rouge :

    -         Pouet pouet ! plaisante-t-elle en s’éloignant sans se rendre compte que le clown hausse carrément les épaules en soupirant.

    Plus loin, elle s’attarde un long moment, bouche bée, devant un  tableau très coloré et animé de Marc Chagall. Il représente une écuyère debout sur son cheval au milieu de la scène,  entourée de nombreux artistes. Elle est si gracieuse qu’une vague d’émotion l’envahit.  La jeune femme lui attrape alors la main et la fait entrer dans son univers. Ensemble, elles font deux, trois, quatre tours de piste sous les applaudissements chaleureux du public. Clémence réussit même à tenir en équilibre, et faire une roulade… sur le cheval.

    Quelques instants plus tard, elle est à nouveau dans la grande salle du musée à admirer équilibristes, jongleurs, musiciens et dompteurs sur les autres peintures…toutes plus attirantes les unes que les autres.

    La seconde salle est déserte. Les autres élèves ont déjà terminé la visite…Clémence ne compte pourtant pas partir maintenant puisque la danse est à l’honneur dans toutes les œuvres présentées…et là, c’est un domaine qui la passionne aussi énormément!

    Elle est complètement éblouie par ce qu’elle découvre ! Tout est mouvement, grâce, fluidité et beauté. Danseuses de flamenco dans leurs robes à volants superposés côtoient avec élégance petits rats de l’opéra et danseuses étoiles en tutus chatoyants.

    Ne sachant où donner de la tête, Clémence s’arrête devant une petite ballerine qui ajuste son chausson et fixe la scène. Elle ne voit qu’elle, perdue dans cette étoffe délicate qui s’étale autour d’elle, les épaules nues et les cheveux tirés en chignon…malgré ses yeux clos, elle perçoit une certaine souffrance sur son visage. Autour d’elle, tout semble flou….

    Soudain, elle recule d’un pas. Le décor s’impose à elle, mais….la danseuse a disparu !

    Abasourdie, elle s’apprête à sortir de la pièce pour rejoindre le groupe qui s’éloigne déjà, lorsqu’une main se pose amicalement sur son épaule…Elle se retourne et fait face à la jeune fille qui lui sourit affectueusement. Elle l’entraine avec elle dans un ballet extraordinaire

    Avec elle, elle danse telle une libellule, enchainant sauts,  entrechats, arabesques, pirouettes…et même pointes et grand écart…Elles virevoltent et s’élancent gaiement dans la salle, s’appropriant l’espace avec une légèreté prodigieuse. Un peu étourdie, Clémence apprend à son tour à la jeune danseuse quelques pas et figures de danses modernes…Le temps semble alors s’arrêter pour elles deux…

    -         Clémence ! tu rêves ?? On n’attend plus que toi. Le car est prêt à partir !

    C’est la voix de l’institutrice qui lui tapote doucement sur l’épaule… Clémence reprend son souffle, ouvre lentement les yeux et quitte la salle.

     

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  • Belle journée à tous les enfants (et leurs parents bien sûr) sarcastic,

    Place aux enfants....

    Voici une photo de 4 adorables chatons...A vous les enfants de raconter une petite histoire à partir de cette image (quelques lignes suffiront !)...Vous pouvez vous faire aider par maman ou papa si vous êtes très jeune.

    Les plus belles histoires (c'est à dire toutes !) auront bien sûr leur place sur ce blog la semaine prochaine

    Envoyez  vos histoires (avec ou sans dessin avant le 16 août ...avec votre prénom ) à lucelegendre@yahoo.fr

    Si vous voulez "votre histoire" écrivez également à cette adresse

    Bisous à tous

    Chatons

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  • Belle journée à toutes et tous  wink2,

    Y-a-t-il d'autres enfants qui aimeraient "leur" petite histoire ?

    Si oui...mamans et mamies, n'hésitez pas à me contacter (en commentaire...par mail...). Le mois d'août n'est pas encore terminé !

    En attendant, voici l'histoire d'une enfant qui n'a vraiment pas de chance (comme vous ??)...Mais, c'est une fiction ! pas une histoire vraie, bien sûr !

    Jecépa

    Jecépa

    Il était une fois une petite fille qui n’avait pas de chance, mais alors vraiment pas de chance… Quand il y avait une crotte de chien  sur un trottoir, eh bien, c’était forcément pour elle…elle marchait tranquillement en compagnie de sa meilleure amie tout en bavardant, et pof ! Elle mettait le pied dessus. Ça faisait bien rire sa copine qui se bouchait le nez pendant qu’elle essayait désespérément de gratter sa chaussure sur le rebord du trottoir, mais elle, ça ne la faisait pas rire du tout.  

    En classe, quand un exercice était difficile, c’était toujours elle qui devait aller au tableau…

    Quand sa maman grondait l’un de ses sept enfants (eh oui elle avait six frères !!! et même pas de sœur !), c’était toujours elle, évidemment, comme si elle avait le monopole des bêtises !…

    Le jour des rois, il n’y avait bien sûr jamais de fève dans sa part de galette, et le roi ne la choisissait jamais comme reine …c’était sa mère qui avait ce privilège.

    Bref, elle n’avait pas de chance. Déjà, lorsqu’elle est née, sa vie commença bizarrement. Son père un peu  embarrassé de constater que sa femme et lui avait imaginé un prénom de garçon pour leur septième enfant, se rendit quand même à la mairie, mais  lorsque l’employé lui demanda  comment se prénommait l’enfant, il déclara : « Je sais pas ». L’employé écrivit alors sur le registre « Jecépa » sans se poser de question.

    Évidemment, cela faisait un peu « bizarre » quand on lui demandait comment elle se prénommait. Elle était bien obligée de répondre : « Jecépa » !!!

    Malgré tout, cette jolie petite fille rousse avait toujours le sourire et s’amusait d’un rien…elle était toujours de bonne humeur et ses amis l’aimaient beaucoup parce qu’elle savait toujours les faire rire et que sa compagnie était toujours très agréable (forcément, il  ne pouvait rien leur arriver puisque toutes les mésaventures étaient pour elle !!!)

    Sa joie de vivre, Jecépa la partageait depuis un peu plus de deux ans avec sa meilleure copine, Hélène. Toutes deux étaient inséparables, et quand Hélène était là, il était évident que Jecépa avait un peu plus de chance. Enfin, disons plutôt moins de misères…elle la retenait toujours quand elle s’élançait sur la route sans regarder à droite ni à gauche. Elle la défendait toujours quand une vilaine fille se moquait d’elle et elle la pinçait légèrement quand elle s’apprêtait à dire une bêtise. C’est aussi elle qui l’avait rattrapée quand elle avait failli tomber du haut d’une falaise sur la côte bretonne. Bref, Hélène était un peu son « ange gardien »

    Le jour de ses neuf ans,  son rêve de chasser cette fatalité se réalisa enfin. Déjà, c’était la première fois qu’elle fêtait son anniversaire : l’année dernière, elle avait attrapé la varicelle et celle d’avant, aucune de ses amies n’avait pu se déplacer à cause du mauvais temps. La route  était recouverte d’un épais manteau de neige (Elle est née en janvier !)

    A sa grande surprise, la fête fut très réussie. Toutes ses amies étaient ravies et lui avaient offert de merveilleux cadeaux : ses livres préférés, des légos et de très jolis bijoux en perles, nacres et pierres multicolores. Elles avaient joué tout l’après-midi et la maman de Jecépa avait préparé un délicieux gâteau au chocolat. Même ses frères, qui d’habitude les taquinaient, avaient organisé pour elles un grand jeu de piste dans le parc.

    Le soir, quand sa dernière petite copine retourna chez elle, Jecépa s’aperçut qu’elle avait oublié d’ouvrir un petit paquet abandonné près de la cheminée. Elle le prit et le déballa. Elle découvrit alors un magnifique coffret tout incrusté de minuscules pierres. Elle l’ouvrit et une grande lumière en sortit, laissant entrevoir un adorable pendentif représentant deux oisillons en or perchés sur une branche. Elle le prit dans le creux de sa main et vit alors qu’un message les accompagnait. Dessus était écrit :

    -         «  Ces petits oiseaux veilleront sur toi comme ils l’ont fait pour moi…Avec eux, je savais que rien ne pouvait m’arriver parce qu’ils m’aidaient à croire en ma chance…Ta mamy qui t’aime très très fort »

    -         « C’est le facteur qui a apporté ce paquet tout à l’heure » lui dit alors  sa maman qui la regardait, intriguée.

    -         « Comme ils sont beaux ! »

    -         « Oui. Ta mamy aimait beaucoup ce bijou, et c’est vrai qu’elle avait toujours la baraka. Je crois qu’elle est très fière de toi pour te l’offrir. Tu le mérites vraiment »

    Depuis ce jour, tout semble aller « comme sur des roulettes »  pour Jecépa. Elle sait que la chance est toujours là. Elle est donc moins distraite et fait attention où elle marche.  Et bien sûr, plus personne ne se moque d’elle. En classe, lorsqu’un exercice est difficile, c’est elle qui demande à aller au tableau, elle en a l’habitude et sait à présent comment résoudre les problèmes.

    Pour sa maman, la chance n’a rien à voir avec le cadeau de sa mamy…elle pense que c’est parce que Jecépa y croit très fort que la chance fait à présent partie de sa vie….

    N’empêche, c’était un super cadeau, ce petit bijou !

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  • Belle journée à tous sarcastic,

    C'est au tour de Mélissa de nous faire voyager très loin d'ici...

    A noter que cette histoire se déroule bien avant que Tartalapraline ne revienne sur les côtes bretonnes, capturant des enfants dans un terrain de camping !! (voir Annie!)

    Mélissa

    Mélissa

    -        -   Maki, maki, maki !!!

     Assise sur le sable à l’ombre du grand cocotier, Mélissa appelle son ami Timy. Elle n’a pas besoin de lever la tête en direction des longues feuilles du palmier pour savoir que le petit lémurien au pelage roux et blanc est à proximité. Elle sait bien qu’il la regarde fixement avec ses grands yeux un peu moqueurs, caché dans l’ombre.

    -          - Allez, viens Timy ! j’ai besoin de toi.

    Petite poupée café au lait avec de grands yeux noirs malicieux et une chevelure frisée qui lui encadre un visage tout rond, Mélissa, affiche, du haut de ses cinq ans, un caractère bien affirmé.

    Le petit lémurien saute sur son épaule en enroulant sa longue queue autour de son cou. Elle le regarde avec douceur et lui souffle à l’oreille :

    -          - Il faut absolument que tu m’accompagnes sur la plage de Nosy Sokatra. Princesse Sofia m’a confié une mission ultra secrète, urgente et importante.

    -         -  Et quelle est donc cette mission ultra secrète, urgente et importante ? lui demande Timy, toujours très curieux.

    -         -   Princesse Sofia m’a révélé en rêve que plusieurs enfants qui vivent sur cette île ont disparu la semaine dernière…J’ai tout de suite compris qu’il s’agissait de l’affreuse Tartalapraline. Il parait qu’un certain Louwenn, un petit vazaha, a réussi à la faire déguerpir du territoire français  pour l’envoyer chez nous… à Madagascar !  Il ne pouvait pas l’expédier ailleurs ? sur la lune où à Pétaouchnok !

    -          -  Et toi ? tu veux qu’elle retourne en France ? c’est ça ?

    -           -  C’est ça !

    -         -    Et comment comptes-tu te rendre à Nosy Sokatra ?  interroge Timy en jetant un coup d’œil en direction de la plage…et au loin, vers la minuscule île que l’on distingue à peine.

    -           -  C’est très simple ! Sokinetta  va nous porter sur son dos, et quand nous serons arrivés, il faudra prévenir tous tes amis de la forêt pour qu’ils nous aident à déloger la sorcière.

    -           -  Sokinetta, la tortue ? On n’est pas arrivés !!!

    Pendant la traversée, Timy, un peu inquiet, questionne son amie sur le plan qu’elle compte mettre en place pour accomplir sa mission :

    -           -  Eh bien, je vais d’abord délivrer les enfants de l’emprise de la sorcière…avec ton aide bien sûr ! et celle de tes amis…et ensuite…ensuite…eh bien, je trouverai bien une idée. Tu me connais !

    -        -     Oooh oui !!!

    Qui a dit que les tortues avancent lentement ? Peut-être lorsqu’elles se promènent sur la terre ferme, mais dans l’eau, je peux vous assurer que Florent Manaudou peut toujours s’accrocher ! 

    C’est donc en un temps record que Sokinetta, Timy et Mélissa accostent sur le  rivage de Nosy Sokatra et s’enfoncent rapidement dans la forêt ou  baobabs majestueux, katrafay et arbres du voyageur côtoient palmiers, lianes et orchidées sauvages.

    Pendant que Timy regroupe tous ses amis lémuriens, boas, couleuvres et papillons multicolores, Mélissa part à la recherche de la cachette de Tartalapraline.

    Elle avise un petit cabanon minable, construit de guingois avec des bois disparates, sans fenêtre, non loin de la grève. Elle s’approche et son petit nez tout rond ne la trompe pas : ça sent la vanille…ça, c’est normal ! Le chocolat…normal aussi !! Mais à cela s’ajoutent des arômes de miel, de confiture de fraise et de caramel. Ici, ce sont des parfums de jasmin, ylang-ylang et frangipanier qui devraient taquiner les narines de  Mélissa. Elle n’est pas dupe ! Tartalapraline est réfugiée derrière ces vieilles planches pourries. Elle s’écrie :

    -           -  Ohé ! il y a quelqu’un ?  

    Comme personne ne lui répond, elle ajoute tout bas:

    -          -   J’aimerais bien goûter à ce délicieux potage que vous préparez!

    Aussitôt, une dame très laide, vêtue d’une longue robe en madras toute sale et d’un châle noir, se présente devant elle. Le visage à moitié recouvert par ses cheveux filasse, elle tord sa bouche dans laquelle n’apparait qu’une seule dent… et d’une voix un peu trop mielleuse, l’invite presque gentiment à venir s’asseoir à sa table pour lui offrir un grand bol de sa  pitance. Mélissa sait qu’elle finira par la retenir prisonnière comme les autres pour la manger quand elle sera bien dodue. Elle est malgré tout un peu effrayée. Elle appelle :

    -          -   Maki, maki, maki !!!

    Timy et ses amis s’agrippent tous aux lianes et se projettent à l’intérieur de la bicoque où ils ne tardent pas à trouver les enfants, enfermés dans le sous-sol…Ils attrapent la clé que la sorcière tient serrée dans ses mains crochues, pour les délivrer. Ils sont si nombreux qu’elle ne peut rien faire.

    Survient ensuite une nuée de papillons aux magnifiques teintes rouges, vertes et jaunes qui voltige tout autour de Tartalapraline…complètement étourdie par tous ces insectes qui volent sous ses yeux,  elle tombe sur le sol… nez à nez avec une armée de boas et de couleuvres qui rampent lentement vers elle.

    Elle a une trouille bleue des serpents !!!!…Elle se relève d’un bond et court à toute allure vers la plage.

    C’est là que Sokinetta et ses amies l’attendent patiemment pour l’escorter jusqu’au beau milieu de l’océan atlantique où elles décident de l’abandonner pour retourner dans l’océan indien…

            ******

    ….Tartalapraline a dû nager des jours et des jours avant de retrouver les côtes bretonnes….

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