• Belle journée à toutes et à tous,

    Je viens de terminer de lire "kilomètre zéro" de Maud Ankaoua ...un livre qui "fait du bien" !! Je schématise, mais lorsqu'elle  explique que seuls deux sentiments existent : la Peur ou l'Amour, je repense à cette anecdote que j'ai déjà racontée...Elle illustre parfaitement ce que je viens de lire...

    Mais avant de la publier à nouveau, une question:

    Et vous? Que feriez-vous si on braquait une arme sur vous???

    Braquage !!

     

    Braquage !

     

    Les grands sages affirment  que « lorsque l’on n’a pas peur, il ne peut rien nous arriver », et je crois bien qu’ils ont raison ! Pourtant, il n’est pas toujours facile de se maîtriser.

    En effet, si par le plus grand des hasards, je me retrouvais face à un lion, ou pire, une vipère, je suis sûre que je prendrai mes jambes à mon cou sans me poser de questions.  Je ne m’imagine pas non plus faire un saut à l’élastique ou marcher sur un câble à 100 mètres de hauteur… juste pour vérifier l’exactitude de ce « dicton », et pourtant, certains le font !!...et il ne leur arrive rien de spécial !

    Sans aller jusque-là, les plus trouillards d’entre nous ont même peur d’une araignée ! Pff, n’importe quoi ! Vous avez déjà vu une araignée ? C’est tout petit !

    Bref...tout ça pour en venir à une histoire extraordinaire que j’ai lue dans la presse alors qu’elle venait de se dérouler à deux pas de chez moi.  Cette anecdote  qui illustre assez bien cette affirmation sur la peur date d’une bonne vingtaine d’années, mais je l’ai toujours en tête tellement elle est riche en « enseignement ».

    Plantons d’abord le décor : la poste de la  Contrie à Nantes. Cette poste, je l’ai vue se construire depuis la fenêtre de ma chambre. Nous habitions avec nos parents dans une très grande maison qui dominait une grande partie la ville de Nantes. Au loin, nous distinguions  l’église Sainte Thérèse qui se détachait sur le ciel immense, imposante dans sa magnifique robe de briques rouges au milieu de toutes les maisons et monuments. A l’avant, des espaces verts et des arbres, (très vite remplacés par le quartier des Dervallières), et de l’autre côté du boulevard, un pigeonnier de pierres sur son piédestal accueillait encore de nombreux oiseaux.  Quelle vue superbe ! Je ne me lassais pas de l’admirer !

    Même la vieille bâtisse toute délabrée située de l’autre côté de la rue présentait un certain charme avec les herbes folles qui peuplaient un semblant de jardin.

    Les années passant, les squatters qui avaient élu domicile dans cette vieille masure ont été priés de quitter les lieux pour permettre la construction d’un bureau de poste. Nous n’avions qu’à traverser la rue pour poster notre courrier (on écrivait encore à l’époque !).

    Ce que j’aimais par-dessus tout, c’est que de ma fenêtre, j’apercevais beaucoup de monde défiler dans cette nouvelle poste. L’animation était assurée dans ce quartier que j’affectionnais particulièrement. Je me souviens même d’une année où l’hiver était si rude que le sol luisait sous une épaisse couche de glace. Les trois-quarts des personnes qui se rendaient à la poste n’arrivaient pas à conserver leur équilibre dans cette descente et  se retrouvaient automatiquement sur les fesses... Quelle rigolade !...Mais revenons à nos moutons !

    Ces souvenirs étaient bien présents lorsque quelques années plus tard, je lisais ce fameux article sur le journal. Il y avait longtemps que « notre » maison avait été remplacée, et que, une fois mariée et maman de quatre enfants,  je vivais (comme par hasard) dans une autre jolie maison à moins d’un kilomètre de cet endroit.

     « Braquage à la poste de la Contrie » titrait le journaliste, avant de raconter cette histoire incroyable qui venait de se passer à ma porte !

    Tout semblait calme dans le bureau de poste ce matin-là, lorsque soudain, un individu cagoulé  avait poussé violemment la porte pour s’introduire bruyamment dans les locaux. Il s’était  présenté au guichet avec une arme à la main.  Sans perdre de temps  il ordonnait aux employés de lui « donner rapidement la caisse » en les menaçant de son revolver….Comme dans un film ! A ce moment précis…on ne sait pas ce qui s’est passé dans la tête de l’une des femmes présentes face à lui qui, en apercevant l’arme du malfaiteur pointée sur elle s’est mise à éclater de rire…un rire nerveux certainement, mais un rire si contagieux qu’il a entrainé tout son entourage dans un fou rire gigantesque.

    Du coup, le semblant de panique qui avait dû durer quelques instants changeait de camp. Surpris,  pour ne pas dire ébahi…et probablement vexé, blessé dans son amour propre, l’homme armé a été complètement déstabilisé. Il a aussitôt pris ses cliques et ses claques pour se sauver aussi vite qu’il était arrivé … devant une dizaine de personnes de plus en plus hilares !

    Sans commentaires !!

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  • Belle journée à toutes et à tous,

    C'est le printemps ! La nature s'éveille...Les oiseaux chantent, les arbres s'habillent de jolies feuilles vert tendre, les fleurs osent montrer leur bout du nez...et mon "orchidée" fleurit"...elle est magnifique !

    Bon d'accord, aujourd'hui, il fait un peu frais et les températures ne vont pas remonter tout de suite...Ce n'est pas grave parce que nous devons tous rester à la maison (ça nous évitera au moins d'attraper un rhume!!!).

    Profitons-en pour rire un peu...ça détend !!

    En regardant mon "orchidée" qui fleurit, je repense à cette histoire.....

    L'orchidée

    L’orchidée

     

    C’est l’été. Nous profitons de cette période pour passer quelques jours de vacances à la mer avec les loulous. Rien de tel que le camping ! Ça permet de renouer avec la nature, les grands espaces, la simplicité, la liberté quoi....

    On n’en oublie pas pour autant son « chez-soi », et pour nourrir les poissons rouges prendre soin des plantes et du jardin, ma fille passe régulièrement à la maison. Un matin, elle me téléphone, hilare :

    • Tu ne devineras jamais ce qu’il m’est arrivé. Je suis vraiment tête en l’air.
    • Raconte !
    • Depuis que vous êtes en vacances, je suis déjà venue chez vous cinq fois...et tu ne vas pas me croire, je viens tout juste de m’apercevoir qu’à chaque fois j’arrosais ta plante en plastique !

    Et là, elle ponctue par un grand éclat de rire.

    • Ma plante en plastique ? Mais je n’ai pas de plante en plastique ! Quelle horreur ! Tu sais très bien que je déteste les fleurs artificielles !
    • Mais si ! Dans la véranda, à côté de tes aloès...une orchidée blanche !
    • Mon orchidée ? Tu rigoles ! Elle n’est pas en plastique !
    • Oh que si !!!

    Je tombe des nues ! Cette orchidée, ça fait plus de deux mois que j’en prends soin, que je la bichonne, et bien sûr que je l’arrose également…Je ne comprends pas ! Je me revois l’acheter avec mon mari chez Leclerc, la déposer dans le charriot avec précaution pour ne pas abimer la fleur,  la placer à l’avant de la voiture entre mes pieds pour ne pas renverser la terre qui l’entoure, lui trouver un endroit bien ensoleillé dans la véranda et surtout admirer sa fleur dès que je passe à côté d’elle…elle n’est pas en plastique !!

    Je veux en avoir le cœur net, et la première chose que je fais en arrivant à la maison après mon séjour à la mer, c’est d’aller voir cette plante…Je reste baba ! Aucun doute, elle est bel et bien artificielle. Pire elle n’est même pas jolie et ne ressemble en rien à une véritable orchidée. La terre qui l’entoure et que j’arrosais régulièrement n’est qu’un monticule de plastique difforme et moche (d’ailleurs comment n’ai-je jamais remarqué que l’eau devait couler à côté !!!).

    Oui, effectivement, c’est risible ! Mais ce qui m’étonne dans tout ça, c’est que j’ai pu réellement croire (mon mari aussi d’ailleurs lorsqu’on l’a achetée) qu’elle était bien réelle…et que ma fille aussi. Comment cette fleur artificielle a-t-elle pu tous nous duper ?

    Je pense qu’on ne voit que ce que l’on veut bien voir et que l’on peut même faire croire à son entourage une réalité qui n’existe pas, simplement par la force de la pensée. A cogiter !

     

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  • Belle journée à toutes et à tous,

    En attendant le prochain "coup de cœur" (très bientôt), voici une petite anecdote qui m'a été confiée il y a bien longtemps par mon frère...Je la trouve particulièrement amusante...Un peu de rire de fait pas de mal en ce moment.

    Bon mercredi à tous

    Au feu....

     

    Au feu les pompiers !!

     

    « Au feu les pompiers,

    La maison qui brûle

    ...au feu les pompiers... »

       Cette anecdote surprenante est pourtant bien réelle. Elle  est arrivé il y a quelques dizaines d’années à un ami de mon frère qui habitait à quelques maisons de la sienne, dans un joli village tout près d’Herbignac. En écrivant ces mots, je m’aperçois que « Joli village » est un mot bien faible pour qualifier cet ensemble de chaumières aux murs de pierres ou glissent paresseusement des rosiers grimpants ou des glycines. Recouvertes d’un toit de roseaux comme on en rencontre un peu partout en Brière, elles sont entourées de massifs d’hortensias roses ou bleus comme leurs voisines bretonnes.

    J’en reviens à mon histoire. Pierre est à la retraite depuis peu, mais son engagement comme volontaire chez les pompiers est toujours d’actualité. Il peut donc être appelé à tout moment, de jour comme de nuit, et ne s’éloigne jamais très loin de son domicile.

    Ce jour-là, il  a décidé de s’occuper de son jardin. Il commence par ôter les mauvaises herbes qu’il entasse au centre d’un carré de terre pour les faire brûler. Tout va bien, il fait beau et ne pense à rien d’autre qu’à ce petit moment de bonheur tout simple.  Soudain, il est surpris par le bruit strident de la sirène qui appelle tous les pompiers à la caserne. Apparemment, il s’agit d’un feu.

    Il rentre rapidement dans sa maison, prévient son épouse en enfilant son bel uniforme, se précipite au-dehors, monte dans sa voiture et arrive à la caserne en deux temps, trois mouvements. Il ne pose pas de questions et rejoint ses collègues dans le camion qui démarre aussitôt.

    Ses collègues lui expliquent rapidement la situation. Ils ont reçu un coup de téléphone alarmant d’un villageois qui vient de voir des flammes chez son voisin. Le feu risque de s’étendre au-delà de sa propriété. Ils se rendent donc dans ce village où le feu est en train de menacer ces charmantes demeures...Les toits de chaume, ça craint !!

    En chemin, Pierre s’interroge. Il vient de prendre la même route pour se rendre à la caserne et il n’a vu le feu nulle part....plus le camion roule, plus il se rapproche de son propre village....Bizarre, il doit s’agir d’un village plus éloigné. Il  pense qu’il aurait pu s’y rendre sans passer par la caserne.

    Finalement, le camion s’arrête....juste devant sa maison ! Le feu n’était autre que celui qu’il avait lui-même allumé pour brûler ses mauvaises herbes !!!

    Oups !!!

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  • Belle journée à toutes et à tous,

    Pour commencer la journée, un petit sourire....Histoire vraie, eh oui!!

    Les amoureux....

    Les amoureux qui s’bécotent...

       « Les amoureux qui s'bécotent sur les bancs publics
    Bancs publics, bancs publics
    En s'foutant pas mal du regard oblique des passants honnêtes.... »

    Vous vous souvenez de cette chanson de Brassens ?  Moi aussi... et lorsque j’y pense, je me revois sur ce parking de Auchan (autrefois Record) à Saint-Herblain.

    Je n’y étais pas seule, j’accompagnais ma mère (toujours elle !) pour l’aider à faire ses courses pour la semaine. A deux, c’est mieux ! La corvée devenait un plaisir, et surtout on en profitait pour discuter et refaire le monde.

    Mais commençons par le début. Ma mère gare sa voiture sur le parking, prend un chariot et ensemble on le remplit : pack d’eau, de lait, conserves, produits frais....enfin tout ce qu’elle a écrit sur sa liste... jusque-là, tout va bien.

    Pendant qu’elle transvase le contenu de son chariot dans son coffre, je m’installe dans la voiture (vilaine fille... comme la plupart des ados, je la laisse faire sans lui donner de coup de main ! pas bien) et en profite machinalement pour jeter un coup d’œil dans la boite à gants...ou je ne vois rien d’extraordinaire.

    Enfin, tout est chargé. Ma mère remet le chariot en place et s’installe sur son siège.

    Elle aperçoit dans la voiture qui lui fait face un couple d’amoureux enlacé. Fidèle à elle-même et toujours en quête d’une blague à faire, elle leur fait un appel de phare pour les déstabiliser. Surpris, ils nous adressent un regard qui en dit long sur leur agacement…et du coup, c’est moi qui suis le plus gênée. Un peu embarrassée, je pousse la main de ma mère :

    -          - Ça ne va pas ? arrête !

    Sans se démonter, elle sourit, mais s’agite sur son siège avant de démarrer. Pourtant je n’ai qu’une envie : déguerpir !

    -          - Mon coussin...je n’ai plus mon coussin, s’exclame-t-elle. On m’a piqué mon petit coussin. Quelle idée ? Je ne suis pas à l’aise comme ça.

    Il est vrai qu’à l’époque, on ne ferme pas les voitures quand on fait ses courses. Il n’y a aucun risque…Personne ne songe à les subtiliser !! (surtout pas celle de ma mère !!!)

    -          - Ce n’est pas grave ! allez démarre

    Ma mère s’apprête à mettre le contact avec sa clé et s’aperçoit que la voiture n’en a pas besoin. Elle est équipée d’un starter manuel...elle reste quelques secondes avec ses clés en suspension, me regarde… Quelque chose cloche ! ça lui fait enfin « tilt » dans la tête !

    -          - Mais… ce n’est pas ma voiture !!!

    Je regarde à mon tour autour de moi...oui en effet ! Il n’y avait effectivement pas de boite à gants dans la voiture de ma mère...et puis elle n’était sûrement pas aussi confortable !!

    On descend...Ce n’est pas la même marque non plus, et surtout pas la même couleur !

    On se dépêche....on reprend un chariot, décharge le coffre ....sous le regard moqueur des deux amoureux, hilares ! Du coup, c’est nous qui sommes déstabilisées....

    Tête baissée on cherche la voiture « pourrie » de ma mère… avant que le propriétaire ne rapplique !! Ce serait le comble !

    Grand moment de solitude !

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  • Belle journée à toutes et à tous,

     "De grands moments de solitude"...je ne parle pas des événements actuels qui nous touchent profondément....tous, mais du début d'une série d'histoires "vraies" pour apporter ma contribution dans des moments de détente...Nous avons tous besoin de sourire, voire de rire dans cette période un peu "spéciale"

    Alors place à la bonne humeur....Et si vous avez des anecdotes, n'hésitez pas à me les soumettre, c'est ainsi que l'on pourra combattre, à notre façon, cette saloperie de virus!!

    De "grands moments de solitude"

    De grands moments de solitude !

       Des grands moments de solitude, comme on les appelle, on en a tous eu un jour où l’autre. Ces moments où l’on a eu envie d’être à l’autre bout du monde pour cacher notre embarras et qui font rire notre entourage. Bien sûr, passé ce cap, on en rit volontiers...dix, quinze ans plus tard ! En voici quelques-uns. Le premier concerne une collègue enseignante, le second ma mère (spécialiste du genre !) et le troisième, encore elle, mais avec moi cette fois (il faut bien que je participe un peu !).

    1-    1 - Dans les classes de maternelles, les enfants sont un peu surexcités à l’approche des vacances. Ma collègue a eu une journée difficile à cause du petit Sébastien particulièrement agité depuis le matin.  Peu attentionné, Il enchaine carrément les « bêtises ». Ce n’est pourtant pas son habitude, alors elle en fait part à sa maman à la sortie de l’école. Celle-ci lui explique qu’en effet, elle a remarqué que son enfant  est un peu perturbé en ce moment, que cela va passer, qu’il n’y a pas besoin de s’inquiéter. Elle oublie simplement d’expliquer pourquoi. En la voyant hésiter, mon amie se montre particulièrement compréhensive et lui assure, après avoir eu un « déclic » et jeté un coup d’œil en direction de son ventre :

    -          - Oh ! je vois, la future naissance l’inquiète certainement un peu. Il sera sûrement plus calme après.

    La maman la regarde incrédule avant de répondre, étonnée ?

    -          - Mais de quelle naissance parlez-vous ????

    Oups !!

    2-    2- L’entrevue avec le banquier se passe on ne peut mieux. Tandis que mon père attend tranquillement dans la voiture, ma mère assiste seule au rendez-vous. C’est d’ailleurs elle qui s’occupe de toutes les démarches. Elle sait trouver les mots justes, ne s’énerve pas à la moindre contrariété. Aujourd’hui, elle est plutôt satisfaite puisqu’il lui accorde le prêt dont ils ont besoin pour effectuer des travaux à la maison.

    Elle sort de la banque toute contente, monte dans la voiture et tout en s’installant confortablement, commence à faire le point avec mon père. Elle est néanmoins un peu surprise qu’il ne lui réponde pas...Elle tourne la tête dans sa direction et comprend tout de suite la cause de ce silence : il est dans la voiture juste derrière…  à se demander ce que fait sa femme avec ce parfait inconnu. ...Grand moment de solitude !

    3-    3- Ma mère et moi, c’est toute une histoire. J’adore me promener avec elle, faire les courses, me balader ou simplement papoter...On pourrait passer des heures à refaire le monde ensemble. Ces petits moments sont très précieux.

    Justement aujourd’hui, nous allons toutes les deux au centre-ville, dans sa petite voiture (pourrie, mais qui roule...on n’est pas très regardant à cette époque !). Soudain, appels de phares de la voiture qui nous suit. Deux mecs hilares à l’intérieur :

    -          - Qu’est-ce qu’ils ont ? s’étonne ma mère, je roule normalement.

    Ils continuent leurs appels sans discontinuer pendant un bon kilomètre

    -          - Ils exagèrent, poursuit-elle. Sûr, ils sont en train de nous « draguer »... Mais ils sont fous ! ils n’ont pas à nous dépasser là...

    En effet, ils s’arrêtent à notre hauteur, abaissent leurs vitres et nous lancent :

    -          - Vous ne vous êtes pas encore aperçu  que votre pneu est crevé !

    Grand, grand moment de solitude !!!

    4-    4- Allez, une petite dernière pour la route !!! C’est le cas de le dire.

    A savoir qu’il y a une bonne trentaine d’années, les gens roulaient parfois dans des états plus que moyens !!! (Heureusement, on a un peu changé nos habitudes !)

    Deux amis prennent la route après une soirée bien arrosée. L’un conduit, l’autre veille sur lui pour l’aider. Le second n’arrête pas de lui recommander de tenir sa droite :

    -          - Roule à droite, bon sang, tu es complètement sur la gauche.

    -          - Je sais

    -          - Alors, qu’est-ce-que tu attends ! 

              - Mais…. c’est toi qui es au volant !!!!

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