• Belle journée à toutes et à tous,

    Avez-vous déjà tenté cette expérience appelée "ouija" ? Étrange non?

    Comment l'avez-vous vécue?

    Pour ma part, il est évident que je me suis laissée tenter par l'expérience, mais j'avoue ne pas en avoir un excellent souvenir...Et pourtant...c'est assez bluffant.

    Esprit ...es-tu là?

    Esprit es-tu là ?

     

    • Esprit es-tu là ? Si tu es là, manifeste-toi, dis-nous quel est ton nom ?

    Cette petite phrase, bien ancrée dans ma tête (et pour cause !) vous dit-elle quelque chose ?  Vous avez, vous aussi tenté cette expérience de médiumnité avec un verre et les lettres de l’alphabet (appelé également Ouija )? Certains d’entre vous peut-être....pour les autres, faites gaffe quand même, ou tentez cette aventure avec de vrais médiums.

    Si je parle aujourd’hui de cette « science occulte » que certains testent par curiosité la plupart du temps, c’est que j’ai fait moi aussi ma petite curieuse il y a déjà fort longtemps.

    Très intéressée par tout ce qui touche de près ou de loin les phénomènes étranges, médiumnité, arts divinatoires...durant mon adolescence tardive (une trentaine d’années environ !), j’écoutais d’une oreille attentive ce que l’on me racontait à ce propos.

    Un jour, lors d’une visite chez l’une de mes tantes, je fus bien surprise de découvrir chez elle le même intérêt sur le sujet. Elle venait de voir l’une de ses amies qui lui proposait de faire une expérience « étonnante » quelques jours plus tard.

     Il s’agissait de communiquer avec les « esprits » avec une méthode infaillible. Pour cela, il fallait attendre la tombée du jour. Et ce qui était intéressant c’est que cela nécessitait très peu de matériel : Juste un verre et les lettres de l’alphabet que l’on se procure facilement dans un jeu de scrabble.

    Curieuses, pour ne pas dire un peu incrédules, ma sœur et moi demandons à cette tante de nous inviter à cette une soirée « spiritisme » qu’elle organisait avec son amie...Elle accepta sans problèmes puisqu’il est préférable d’être plusieurs pour se lancer dans ce genre d’expérience. Rendez-vous est donc pris quelques jours plus tard.

    Le jour J, c’est avec légère émotion (pour ne pas dire appréhension) que nous nous installons ma sœur et moi, autour de la table du salon en compagnie de deux de nos tantes et l’amie en question.

    Ma tante sort son jeu de scrabble pour retirer toutes les lettres de l’alphabet que nous disposons méticuleusement en rond, dans l’ordre. Elle insère dans le cercle deux morceaux de papier sur lesquels sont écrits les mots « oui » et « non »...et un troisième qu’elle pose sur la table.

    • A quoi il sert, celui-là ? demande ma sœur
    • J’ai dessiné une croix pour chasser les mauvais esprits, répond-elle tranquillement en déposant un petit verre à liqueur renversé au centre du cercle.

     Je la soupçonne d’avoir déjà « appelé les esprits », ce qui se confirme lorsque son amie débute la séance en demandant aux esprits de se manifester.

    • Maintenant, chacun doit poser un doigt sur le verre le plus légèrement possible.

    Il y a si peu de place sur le fond du mini-verre que nous ne pouvons que l’effleurer, en effet. L’une d’entre nous (à tour de rôle) se contentera d’inscrire les lettres vers lesquelles le verre se dirigera.

    Eh oui, à peine la fameuse phrase : « Esprit es-tu là... » prononcée, que le verre se met à bouger...dans tous les sens.... Il fait deux ou trois fois le tour du cercle...puis s’arrête sur une lettre, il poursuit et s’arrête à nouveau devant une deuxième lettre...puis il semble s’affoler et nous avons bien du mal à  maintenir notre doigt à sa place. Nous avons à peine le temps de voir les lettres devant lesquelles il s’arrête.

    • Il s’est arrêté devant les lettres M- A- R- I et E
    • Marie ? C’est toi maman ? demande l’une de mes tantes
    • Tu as un message pour nous ?

    A ce moment de l’expérience le verre se déplace à une telle vitesse que la personne qui prend des notes n’a pas de temps à perdre. Nous, nous n’y voyons plus rien. Elle annonce :

    • Elle a dit : Jean heureux (Jean est le prénom de mon père)
    • Pourquoi heureux ? Demandons-nous
    • Parce qu’il va mourir...
    • Tu dis n’importe quoi, tu veux nous faire peur...ce n’est pas drôle.
    • Si… riez... « affirme » encore ma grand-mère.

    Ensemble, nous retirons notre doigt et laissons le « jeu » en plan. On arrête, c’est nul !! En attendant… ça calme ! Et nous reprenons nos cliques et nos claques sans faire de commentaires...D’ailleurs, nous ne reparlerons plus jamais de cette séance...sauf quelques semaines plus tard, lorsque, après les obsèques de ma mère (qui ont eu lieu huit jours après celles de mon père !!) nous avons été pris, bien malgré nous, d’un terrible fou-rire nerveux (anecdote déjà racontée)

    C’est vrai, ce n’était pas très drôle...nous étions tellement inexpérimentées que nous n’avons pas su « diriger » la conversation pour en comprendre le sens...mais …je pense à ce que m’a dit ma fille il n’y a pas si longtemps…, à savoir que je suis « entourée d’entités »...Peut-être ont-elles besoin de communiquer après tout ?

    Euh….et si …????

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Coucou les petits loulous,

    Angélino est un charmant petit ange qui a bien envie d'aller jouer avec de nouveaux amis sur terre....Il descend donc de son nuage, mais ne sait plus comment revenir...A vous de l'aider et de découvrir les moyens de locomotion cités dans le texte...

    Nouvelle histoire-jeu pour laquelle vous pouvez, bien sûr, vous faire aider...

    Belle journée et

    Bizatousssssssssss

    Angélino

    Angelino

     

       Allongé à plat ventre sur son moelleux nuage, les mains croisées sous son menton, Angélino est bien songeur. Sans un mot, tôt ce matin, il est en train d’observer les enfants qui profitent de leurs vacances d’été sur terre. Il les envie un peu et aimerait bien se joindre à leurs jeux, à la plage, dans les jardins ou en montagne. Il se sent un peu en rade au pays des anges et un peu seul sur sa douce couette cotonneuse ondulant et gondolant au rythme du vent.

    Sa maman le regarde, attendrie : Son petit ange, immobile est trop touchant.

    Il aperçoit soudain son ami Démonito, qui lui, n’a pas hésité une seconde à descendre sur terre. Il sort d’un chapiteau, entouré d’un groupe de jeunes hilares qui poussent cet artiste vers la sortie...les cris fusent et ils se dirigent tous vers un immense terrain de football (Pour ceux qui ne le connaissent pas, Démonito est un charmant petit diable repenti qui veut faire le bien autour de lui autant qu’il lui est possible). Les équipes sont formées et Démonito entre dans les buts car il n’a pas envie de courir. Le petit démon-goal, fier de jouer avec ses nouveaux amis, s’exclame soudain :

    • Chacun son rôle ! Hervé est absent et il nous manque un gardien de but pour l’équipe adverse !
    • Coucou! J’arrive !!! s’écrie Angélino en se laissant porter par son nuage.

    Il se laisse ensuite glisser sur un arc en ciel, cet immense toboggan multicolore qui vient d’illuminer tout l’horizon. Il saute ensuite sur le dos d’un magnifique cormoran noir véloce, qui déploie ses ailes avec diligence et vole jusqu’au centre du terrain. Un beau voyage pour rejoindre le groupe d’enfants ébloui par ce nouveau venu, attendu comme le « Messi »!

    • Ne reste pas là ! Tu seras notre gardien, c’est ce que nous avions prévu ! Lui dit Mercedes, une jolie brunette.
    • Ça va être un peu la galère, je n’ai jamais joué au foot !!
    • Y’a pas de lézard ! Tu sauras bien y faire, il te suffit d’arrêter le ballon lorsqu’il arrive dans la cage parce qu’il ne faut pas que les petits démons gagnent !

    La partie s’annonce difficile. Démonito met trop de puissance dans ses passes, ce qui affole son équipe. En tant qu’ami, on fait mieux ! Il joue beaucoup trop  perso !! Ses coéquipiers, beaucoup moins robustes, trainent au milieu du terrain, complètement essoufflés.

    Évidemment, ce sont les anges qui, bien qu’ils trottinaient tranquillement gagnent, sous un déluge d’applaudissements.

    Angélino a passé un très bon moment avec ses nouveaux amis. Mais il est temps de reprendre le chemin du retour.

    • Dis-moi, Mercedes, vois-tu revenir le gentil cormoran qui m’a amené ici ? Demande l’angelot à sa nouvelle amie.
    • Oui, il est là-bas, totalement épuisé …Il ne faut pas compter sur lui pour retourner sur ton nuage. Mais il y a une solution. Ton taxi est dans l’un des trente moyens de locomotion cités. Il te suffit de les retrouver et d’en choisir un.
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Belle journée à toutes et à tous,

    Les vacances se terminent bientôt et tous les enseignants se préparent déjà à recevoir leurs élèves, petits et grands...mais dans quelles conditions cette année???

    Depuis deux ans, ils galèrent, il faut bien l'avouer, et je ne peux que leur envoyer un message de courage...

    Voici mon "coup de cœur" pour eux...écrit pendant le confinement

    Bon courage à tous ceux qui viennent de reprendre le travail.

    Dans la bonne humeur

    Dans la bonne humeur

     «  Il est temps de se lever

    Et de prendre son petit-déjeuner

    L’école est toujours fermée

    Les maîtresses ont tout préparé !

    Faut aller se connecter

    Ouvrir les mails, pas la télé.... »

    Cette parodie du « Coach » de Soprano ne manquait pas de faire sourire les enfants lorsqu’ils ouvraient leur ordinateur lors du premier confinement. En effet, pour commencer la journée dans la bonne humeur et pour dédramatiser la situation, de nombreux enseignants leur envoyaient ce « petit encouragement ». Quoi de mieux en effet qu’un éclat de rire pour stimuler les enfants qui avaient bien du mal à se mettre au travail, seuls ou avec des parents souvent un peu démunis. Il faut reconnaitre que « faire classe » à la maison n’est pas chose aisée lorsque l’on est soi-même en télétravail !

    Oui,  on s’en souviendra tous de cette année 2020 et des « confinements », pourtant nécessaires pour essayer de vaincre ce virus qui se balade tranquillement dans le monde entier.

    Le premier nous a tous surpris, indignés, laissés démunis, et pour certains « anéantis »...Bien sûr, pour ceux qui restaient à la maison, souvent, malheureusement, en ayant perdu leur emploi, les solutions ne manquaient pas pour passer le temps ou continuer quelques activités (sport à la télé, téléphone pour communiquer avec l’entourage, cuisine, couture, lecture...)

    Mais, Pour les enfants, et les parents en télétravail, il s’agissait de faire « l’école à la maison » Pas facile, facile !

    Et pourtant, il faut bien avouer que cela s’est relativement bien passé ! Et pour cause ...j’ai en effet eu l’occasion d’apporter mon aide à mes petits « loulous », et ce qui m’a le plus étonnée, c’est de constater avec quelle conscience professionnelle et quelle précision, les « maîtresses » préparaient leur journée. Un travail de titan ! Chaque jour, la page de « devoirs » qui apparaissait sur l’écran était présentée d’une façon attrayante et simplement. Connaissant ce travail pour avoir moi-même enseigné, je reconnais que rien n’a été laissé au hasard, et que ces journées de préparation devaient demander un travail considérable.

    Et comme si cela ne suffisait pas, les enseignants prenaient le temps d’appeler chacun de leurs élèves pour faire le « point » avec eux sur leur travail, mais aussi sur leurs difficultés par rapport à la situation. De leurs domiciles, ils n’ont jamais été si proches d’eux pour leur apporter leur soutien.

    Deuxième confinement : l’école a repris dans de nouvelles conditions. J’ai eu l’occasion de rencontrer une institutrice qui m’a confié avoir moins de difficultés, d’être moins fatiguée…mais dans son regard, j’ai lu une certaine « tristesse». J’ai essayé de m’imaginer à sa place et je me suis vue de nombreuses années en arrière face à mes chères têtes blondes. J’aimais tellement voir leurs mimiques, leurs sourires et entendre leurs chants et  leurs rires cristallins…Comment les deviner à présent derrière ces masques !!

    Courage à toutes et à tous…et félicitations pour tout ce travail que vous faites au quotidien !

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Coucou les petits loulous,

    Après-demain la nouvelle histoire-jeu promise.

    En attendant, voici le conte que m'a raconté un gentil héron alors que je me promenais sur les bords de l'Erdre

    Encore une semaine de vacances....Profitez-en bien

    Belle journée et

    Bizatousssssssssssss

    Le héron blessé

    Petit héron blessé

       Silencieux dans son canoé, Alexandre pagaie paisiblement  le long de l’Erdre. Il aime le calme et le bien-être de cet instant, et quel bonheur de se laisser bercer par la brise et le clapotis de l’eau ! Il observe les berges bordées de frênes et d’aulnes dont les racines apparentes cachent des colonies de canetons et autres oiseaux. Peut-être va-t-il aujourd’hui encore apercevoir une famille de poules d’eau sortir de sa cachette. Il semble rêver lorsque soudain, il est interpellé par un cri rauque qui vient probablement d’un animal blessé. Il s’approche au plus près du bord en évitant les branches et aperçoit, à moitié caché dans les roseaux, un jeune héron dont les ailes sont visiblement brisées.

    • Oh ! Tu es blessé gentil héron ? Tu dois avoir très mal. Qui t’a fait ça ?
    • J’étais tranquillement perché sur une branche basse de cet arbuste lorsqu’un hors-bord a déboulé à toute vitesse sur la rivière. Dans son sillage, de grosses vagues se sont formées, emportant tout sur leur passage. J’ai été littéralement  projeté sur ces énormes racines. J’ai eu très peur et j’ai essayé de me dégager… mais je me suis abimé les ailes. Oh oui, tu as raison, j’ai très mal.

    Le héron blessé

    Alexandre aimerait bien l’aider, mais quoi faire ? Il réfléchit et un souvenir lui revient subitement en  mémoire. C’était il y a quelques mois alors qu’il se promenait dans la petite forêt à quelques centaines de mètres d’ici. Près d’une mare à moitié croupie et envahie par des lentilles d’eau, il avait rencontré un très vieil homme qui l’avait impressionné. Enveloppé d’une longue pèlerine grise et  appuyé sur un bâton, il l’avait interpellé pour lui raconter une histoire étrange. Il avait soi-disant rencontré une licorne. Alexandre n’y avait pas cru forcément, mais il l’avait quand même écouté attentivement. Le pèlerin lui avait certifié qu’il l’avait vue au-dessus de l’étang, à moitié cachée  par  des noisetiers sauvages. Il lui avait révélé que cette jolie licorne blanche ne se montrait que très rarement simplement parce qu’elle était un peu trouillarde.  Pour se cacher elle prenait l’apparence des troncs d’arbres qui gisent au fond de l’eau. Alexandre avait demandé au vieil homme ce que pouvait faire une licorne dans un tel endroit mais il lui avait juste répondu qu’elle était là pour protéger la rivière et tous les animaux qui y vivent.

    Le héron blessé

    • Ne bouge surtout pas, dit-il alors au héron je sais qui peut t’aider. Je pars à sa recherche.
    • Gros malin ! Tu crois vraiment que je vais m’envoler ?
    • Ah oui, c’est vrai...heu...pardon...Je reviens très vite.

    Il plonge aussitôt sa rame vers la droite et l’active rapidement pour faire demi-tour. Il retourne vers le petit port où son papa et son frère attendent le canoé pour glisser sur la rivière à leur tour.

    Alexandre n’a aucun mal à retrouver la licorne. Elle est là, à l’endroit décrit par le vieil homme. Elle semble même l’attendre. Elle sort de l’eau, magnifique dans sa robe blanche et sa corne en spirale. Lorsqu’il lui fait part la mésaventure du jeune héron, elle l’invite naturellement  à monter sur son dos pour aller le rejoindre. Elle s’élève alors dans les airs, légère comme une plume. Rien de plus facile ensuite pour elle que de soigner l’animal et réparer ses ailes grâce à ses pouvoirs magiques.

    Au retour de son père et de son frère, Alexandre est perdu dans ses pensées. Sûr, il n’oubliera jamais ce qu’il vient de vivre : L’immense privilège de voir une vraie licorne, l’approcher, s’élancer dans le ciel avec elle, pouvoir sentir la douceur de son pelage et poser sa tête contre son cou.

    • Regarde Papa comme il est beau ce héron qui s’envole là-bas ! dit-il simplement, gardant pour lui son secret …comme un cadeau.

    Le héron blessé

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Bonjour tout le monde,

    "Allô Papa Tango Charly
    Allô Papa Tango Charly
    Répondez, nous vous cherchons
    Allô Papa Tango Charly
    Allô Papa Tango Charly
    Vous vous dirigez plein sud
    Vers le triangle des Bermudes..."
     
    Vous vous souvenez de cette chanson de Mort Shuman?
    Eh bien elle vous aidera sûrement pour déchiffrer l'énigme proposée aujourd'hui par Jimmy
    A propos : Le dimanche, c'est votre jour, alors n'hésitez pas à me proposer vous aussi vos textes et écrits de toutes sortes (pour enfants, jeux, énigmes, blagounettes et autres)
    Belle journée à tous.

     
    Les lettres de l'alphabet

    - Abdel t'a dit où nous allions?

    - Non, mais j'ai eu écho qu'il serait question d'aller faire un golf avec Roméo et Juliette. Si Erald est en état de conduire après sa nuit passée au Foxtrot à danser le tango en s'enfilant whisky sur whisky comme un yankee, il ira les prendre à l'hôtel; sinon c'est Papa qui s'en chargera. Avec Mike, nous devrions être neuf.

    - Toi, moi, Papa, Erald, Abdel, Mike, Roméo et Juliette, ça fait huit, c'est qui l'autre?

    - Bravo! Tu sais compter. Il s'appelle Victor. Tu l'as déjà rencontré à la soirée de samedi, c'est celui qui était en uniforme de pompier et qui n'arrêtait pas de jouer avec sa lime à ongles. Il vient du Québec.

    - C'est génial, fallait me le dire plus tôt. J'adore ce type, il mériterait l'oscar de l'humour au festival d'Indianapolis!

    - Arrête ton char, lis nous donc le compte rendu de ce que nous venons de nous dire. J'ai l'impression que nous avons énoncé toutes les lettres de l'alphabet.

    - Ah, non, tu fais erreur, il en manque trois; mais le lecteur va certainement trouver lesquelles...

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire