• Belle journée à toutes et à tous,

    Je racontais avant hier quelques anecdotes où il était question de "sensations étranges" dans certains endroits...comme si les "murs se souvenaient " d'épisodes plus ou moins heureux ou d'événements tragiques survenus dans ces lieux...

    Voici peut-être une explication à ces phénomènes ...Texte de Nolwenn

    "Ames errantes"

    Monde non visible...

    Aujourd’hui, plus que jamais, le monde non visible pour l’humain est au cœur du sujet de beaucoup de personnes. Cela intrigue, déstabilise et parfois donne des frissons.
    Le terme entité, fantôme, âme ne sont pas bien compris, et souvent,  tout se mélange dans notre esprit.

    Qu’est-ce qu’une entité ? Qu’est-ce qu’un passeur d’âmes ?
    L’humain est fait au minimum de matière (= corps physique) et d’énergie (= l’âme).
    Le corps aura une naissance et une mort, l’âme quant à elle, n’aura pas de naissance, ni de mort. Ce n’est pas parce que vous ne la voyiez pas, qu’elle n’existe pas !
    Le corps physique est l’outil ou le véhicule dont l’âme a besoin pour être sur cette terre et y faire son expérience.
     
    Quand le corps physique meurt, qu’en est-il de l’âme ?
    Plusieurs choix possibles :
    La première, c’est que cette âme reprend le chemin de la maison (source), et continue son évolution sous une forme vibratoire, et non plus physique.
    La deuxième possibilité, c’est que cette âme n’arrive pas à retourner vers la source, et reste fixée sur le plan terrestre, mais seulement en mode vibratoire. A ce stade-là, on dira que cette âme est une entité qui erre sur un plan qui n’est plus le sien.
     
    Les entités ou âmes qui errent sur le plan terrestre, le sont à cause de très fortes émotions de colère, d’attachement à la matière ou à d’autres  êtres vivants ...Elles  n’ont pas pu se résigner à se détacher de leur ancienne vie.
     
    De ce fait, ces entités continuent à hanter les lieux qu'elles fréquentaient durant leurs vies et peuvent également s'attacher ou s’accrocher sur des personnes vivantes. Elles seront attirées par des énergies quasi  identiques, des énergies dites de basses fréquences. (Endroit idéal pour les entités : hôpital, habitations, zones de catastrophe…)
    Dans un lieu occupé par des entités parasites, l'atmosphère sera lourde et très chargée. 
    Sur une personne, cela peut contribuer à des problèmes de santé (physique ou psychologique), car sur le plan énergétique, la souffrance de l'âme errante se mélange à la vôtre.
    Une entité trop attachée au monde matériel ou sentimental, demande, pour s’y maintenir, de l’énergie. Elle la trouve dans les pierres, les objets, les moyens de transmission tels que le téléphone, la télévision, internet (les mails), les photos numériques et chez les êtres fragilisés.
    Une âme peut errer pendant un bon nombre d'années sans trouver sa voie !

    Comment ressentir la présence d'une entité?

    J'ai une courte expérience de ce phénomène mais qui augmente de semaine en semaine.
    On dit que plus vous augmentez votre fréquence vibratoire plus les entités s'accrochent à vous. Mais pas d'inquiétude on peut les faire disparaître en les renvoyant vers la source.

    Il m'est donc arrivé une sensation étrange et familière il n’y a pas si longtemps. Je passais ma main sans arrêt dans la journée au niveau de mon cou comme si un cheveu me chatouillait... Étrange, il n'y a pas de cheveu, disais-je à chaque fois que j'enlevais ce soi-disant cheveu. Mais chaque jour qui passait, cette gêne revenait. 
    De retour à la maison, je demande à mon compagnon  (passeur d’âmes) de vérifier à cet endroit. Bingo, il vérifie selon ses procédés et il s’avère que oui… j'avais bien une entité qui s'était accrochée. Il l'a donc aidée à partir.

    Un autre jour, plus impressionnant, je lisais tranquillement dans le lit. Absorbée par ma lecture, je ne voyais pas ce qui se passait autour de moi... du moins je le croyais. (Et là, je sais vous allez me trouver bien perchée !)
    Je poursuis : tout à coup, je perçois (sans lever les yeux)  une lumière blanche à côté du rideau, comme un faisceau vertical. Mon compagnon rentre dans la chambre et lui dis distraitement d'enlever l'entité à côté du rideau, là…Surpris de me voir absorbée par ma lecture et de ressentir une entité à distance, il me demande de lui répéter. Je lui répète donc d'enlever l'entité blanche que je distingue à côté du rideau.
    C'est la 1ère fois qu’ une entité se présentait à moi aussi nettement. Il vérifie donc comme la première fois… et effectivement il me confirma sa présence.

    N'ayons pas peur de ces entités, elles ne nous veulent aucun mal. Depuis que je l'ai compris, je les ressens de plus en plus.
    Donnons leur simplement RDV quand nous sommes dispo pour ne pas être envahi.

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  • Coucou les petits loulous,

    Voici une toute nouvelle histoire rien que pour vous...d'ailleurs il n'y a que vous qui pouvez la comprendre ...et puis, peut-être quelques "grandes personnes" qui ont un peu oublié de grandir.

    Les vacances sont proches maintenant et je vous prépare "un cahier de vacances"  à ma façon...avec des jeux, des dessins, des jeux...

    Belle journée et

    Bizatoussssssssssss

    Abracad'arbre

    Abracad’arbre

    • Ah ah ah atchoum !
    • Il y a quelqu’un ?

    Je croyais être seule sur ce chemin, mais apparemment, non… je tourne la tête, regarde à droite, à gauche, devant, derrière. Rien ! Oups ! J’aurai pourtant bien cru entendre ce bruit si caractéristique d’un rhume….je poursuis donc ma balade, la tête dans les nuages…C’est tellement agréable de prendre l’air, marcher dans la nature, respirer les parfums qui se mélangent  et d’écouter les oiseaux chanter.

    • Ah ah ah atchoum !

    Là, je n’ai pas rêvé ! Vous avez entendu vous aussi ? Il y a bien  quelqu’un qui vient d’éternuer.

    Du coup, je suis inquiète et pas plus rassurée que cela ...Personne à l’horizon. Je pense à mille scénarios possibles : On veut me faire une farce ? Non ! Quelqu’un me suit pour …pour quoi au juste ? M’enlever ?  Rien que d’imaginer cette éventualité, je suis morte de rire…et je ne me prive pas !! J’éclate d’un rire nerveux, tout en regardant partout autour de moi …mais  sans succès…Personne ! Je n’y  comprends vraiment rien !

    J’aperçois alors ce très vieil arbre qui me fascine toujours lorsque je passe à côté de lui. Ce vieux châtaignier abimé au fil des siècles présente un énorme trou dans son  tronc. C’est cela, quelqu’un se cache à l’intérieur !  Je m’avance prudemment et je passe la tête à l’intérieur …Rien ! Étrange ! J’aurai pourtant juré que les éclats de voix  venaient de là.

    • Il y a quelqu’un…quelqu’un…quin quin ? (Je m’aperçois que ma voix fait écho ...Il sonne vraiment creux cet arbre…) Quel âge il a déjà ? Huit cents ans ! Rien d’étonnant alors…Quel vieux machin tout pourri !
    • Arrête de hurler ! Tu me casses les oreilles… Ah ah ah atchoum !
    • Mais… qui a parlé ? Là, j’ai carrément la trouille. Aurais-je des hallucinations ?
    • MOI
    • Qui moi ?
    • Moi, le vieux machin tout pourri!

    Je n’en crois pas mes oreilles…Un arbre qui parle. Je le regarde avec plus d’attention, et je m’aperçois qu’en effet, il ressemble à un humain, avec ses deux grands yeux, son nez et son bras qui lui recouvre la bouche. Un peu gênée, je bafouille et lui demande un peu n’importe quoi :

    Abracad'arbre

    • Euh…Que t’arrive-t-il ? Tu es enrhumé ?
    • Non, je suis allergique au pollen !

    J’éclate de rire.

    • Rien que ça ? Allergique au pollen....n’importe quoi ! Et pourquoi pas aux poils des chiens ?
    • Tu ne crois pas si bien dire...En fait, je ne supporte plus que ces cabots qui viennent marquer leur territoire sur moi...Qu’est-ce-que c’est que ces manières ?

    Je ris de plus belle, ce qui ne semble pas froisser « mon » châtaignier dont les yeux semblent briller d’un nouvel éclat (peut-être l’effet du soleil)

    • J’ai fait exprès d’éternuer pour attirer ton attention...Si tu savais comme ton rire me fait plaisir, me dit-il alors, jamais je n’avais encore réussi à faire rire quelqu’un...et d’ailleurs personne ne s’arrête pour discuter avec moi. Les gens passent ou s’étonnent de voir encore un vieil arbre planté là. L’autre jour, un homme âgé lui aussi (peut-être autant que moi !) a simplement dit en passant : «  On devrait l’abattre cet arbre...il devient dangereux »...ça m’a rendu triste.
    • Je comprends, ai-je répondu machinalement.

    Et sans même me rendre compte que je faisais la causette à un arbre, nous avons continué à parler pendant des heures....Mais bien sûr, ce que nous avons raconté ne regarde que nous... Si vous rencontrez un jour ce très vieux châtaignier, n’hésitez pas à passer un petit moment avec lui...vous le rendrez heureux et vous verrez que ce n’est pas si désagréable que ça.

    Ah ! J’oubliais...Ce vieux châtaignier  « vit » près d’une magnifique rivière ...en haut d’une côte...tout près de chez moi. Vous le trouverez facilement.

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  • Belle journée à toutes et à tous,

    "Les murs se souviennent" ...Ce titre évoque -t-il quelque chose pour vous?

    Pour moi, oui,... je n'ai jamais vraiment compris pourquoi certains endroits me laissaient une impression de bien-être tandis que  d'autres me filaient la chair de poule....Voici quelques exemples...et après-demain un semblant d'explication avec le texte de Nolwenn (reçu il y a déjà un bon moment...)

    Peut-être avez-vous, vous aussi remarqué ce "phénomène étrange"....

    Photo : Un endroit où je me sens "en paix"....

    Les murs se souviennent

    Les murs se souviennent

     

           C’est étrange ! Il y a des endroits où l’on se sent merveilleusement bien et d’autres où l’on ressent un certain malaise. Pour qui, pour quoi ? La plupart du temps, on n’en a pas la moindre idée...Pourtant, il y a certainement des raisons. Pour me l’expliquer, j’ai recherché dans mes souvenirs les endroits que j’ai le plus appréciés et certains qui m’ont profondément troublée.

    Je me suis donc projetée dans mon enfance, lorsque je passais un ou deux mois  de vacances chez mes grands-parents paternels. Non seulement j’y étais heureuse, mais aussi sereine, vivante... Ce petit village à la campagne me convenait parfaitement. Je m’y sentais en « osmose » avec la nature et je savourais chaque instant : les virées en vélo, les balades jusqu’au petit pont entouré de noisetiers, les jeux sur la rue avec les copines, la chasse aux escargots dans le petit jardin...mais aussi la « prière du soir » à six heures précises dans l’église du village, avec tous mes amis...Rien qu’en me remémorant ces moments, je me sens envahie d’une immense tendresse, d’un calme profond. Je crois que l’atmosphère paisible de l’endroit, sa simplicité, la personnalité et la douceur de mon grand-père, l’affection de ma grand-mère ont fait de sorte que je me sente en toute confiance en ce lieu.

    De même, certains endroits nous procurent une certaine gêne, des angoisses. Ce sont souvent des lieux où une tension bien réelle relie les personnes qui le fréquentent. C’est une sensation que j’ai ressentie parfois bien avant d’apprendre ce qu’il s’y passait.

    Il y a aussi des lieux plus étranges :

    Un petit bond dans le temps, et je me revois à la porte du lycée où je vais passer mes dernières années de scolarité...Je suis en compagnie de ma mère et j’ai envie de fuir. Je suis oppressée, au bord du malaise :

    • Je vais y être malheureuse, dis-je à ma mère. Je ne pourrai jamais m’habituer à cet établissement.
    • Mais si, tu verras, tout va bien se passer.

    Il n’empêche que ce trouble ne m’a jamais lâchée, et chaque fois que passais la porte de ce lycée, je ressentais un pincement au niveau de la poitrine…isolée sûrement volontairement, je ne m’y suis jamais fait d’amies, et je ne me souviens même plus de mes professeurs (alors que je n’ai pas oublié les précédents dans les autres établissements !)

    A l’époque, il n’y avait pas internet, mais aujourd’hui si...alors évidemment, j’ai fait ma petite curieuse...et voilà ce que j’ai appris : « Pendant la seconde guerre mondiale, le lycée Guist’hau reste ouvert. En 1940, une partie des bâtiments, l’aile gauche, en entrant dans le lycée, est occupée par l’armée allemande Ce lycée comptait dans ses murs des élèves juives…Nous avons retrouvé 27 noms d’élèves juifs, dont nous avons relevé, plus ou moins précisément, l’itinéraire. Cinq ont été déportés et assassinés à Auschwitz »

    Il semblerait que les murs se souviennent des événements qui se sont déroulés dans ces lieux...et c’est peut-être ça que je ressentais inconsciemment !

    Cela me rappelle une autre anecdote tout aussi étrange. Lorsque ma sœur est devenue propriétaire de sa maison, elle ne s’y trouvait pas aussi bien qu’elle le souhaitait. Elle lui plaisait bien sûr, mais quelque chose la rebutait sans qu’elle sache vraiment quoi. Un jour, elle se surprend à observer le sol de son garage, et quelques taches sur le béton lui font penser à des traces de sang. Elle m’en parle et je lui affirme qu’elle « se fait des films », elle a une de ces imagination ! N’empêche que quelques semaines plus tard, elle apprend par une voisine qu’un homicide a été commis dans cette maison, dans CE garage… il y a bien des années …jamais elle ne s’habituera à cette idée !

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  • Bonjour tout le monde,

    Une fois n'est pas coutume, voici une "histoire-'rôti" comme la nomme Jimmy....C'est-à-dire une histoire sans queue ni tête, mais bien ficelée quand même.

    Il s'agit pourtant d'une histoire absolument véridique (photos à l'appui!!!)

    Belle journée à toutes et à tous

    le crapaud et l'escargot

     

    Le crapaud et l’escargot géant

     

    Si j’étais née sous le nom de Jean de la Fontaine , j’aurai écrit une bien jolie fable après ma délicieuse rencontre de ce matin...du genre «  le crapaud qui voulait se faire aussi gros que l’escargot » ! Mais hélas, je ne m’appelle pas Jean et encore moins de la Fontaine, alors je vais me contenter de raconter ce que j’ai surpris dans mon jardin...ce que j’ai vu et entendu...ou cru entendre.

    Planqué derrière le panier de basket, monsieur crapaud attend la nuit pour sortir se dégourdir les pattes. Manque de chance, le jardinier passe par là et déplace sa cachette pour laisser pousser l’herbe qui a disparu sous son poids. Crapaud se sent mal ! Il est en plein milieu du jardin et se sent tout nu, tout seul, isolé dans cette grande étendue. Il a un peu peur, froid ...et faim. Il mangerait bien quelques insectes ou une petite limace pour se remplir l’estomac. Tiens ! Justement, voilà un escargot qui se dirige vers lui.

    • Oups ! Fait le crapaud…j’ai des hallucinations, le soleil tape trop fort ! Il semble immense cet escargot !
    • Oups ! Fait l’escargot, le soleil me joue des tours…j’ai cru voir un crapaud…mais pas de danger, il est ridiculement minuscule !

    L’un et l’autre conservent  cependant une certaine distance en espérant y voir plus clair. De mon côté, j’attends calmement, sans bouger,  que l’un d’entre eux se décide enfin  à se déplacer, impatiente de savoir ce qu’il va se passer. Qui aura le dessus ? Le crapaud outrageusement petit ? L’escargot anormalement géant ?

    le crapaud et l'escargot

    L’escargot qui sait à présent qu’il ne se fera surement pas dévorer par ce lilliputien, prend de l’assurance, il sort ses cornes et s’approche au plus près de l’animal quasiment insignifiant :

    • ôtes-toi de mon chemin crapaud pustuleux... tu as beau être grassouillet, tu n’en es pas moins pataud et je ne donnerai pas cher de ta peau si un chat passe par là !

    Un peu sonné par ce discours pour le moins méprisant, le crapaud n’ose pas bouger d’un pouce,  et laisse l’animal baveux passer devant lui sans broncher....Un jour, il a entendu sa maman lui dire que le « plus intelligent était celui qui ne disait rien » Il sait que le jardinier est dans le coin puisqu’il l’a privé de sa cachette...Il sait aussi qu’il ne le laissera pas poursuivre impunément son chemin...mais voilà...il ne l’avertit pas et c’est tant pis pour lui...Il prend son élan et se contente de sauter  au-dessus de l’escargot pour aller à la recherche d’une nouvelle proie plus à sa portée. Non mais dès fois !!! Pour qui se prend-il cet animal nuisible, même pas capable de sauter !!! (quoiqu’en disent certains !)

    Voilà, c’est tout...je n’ai rien vu ni entendu de plus...pas de morale non plus à cette histoire...à quoi bon !!!

    Juste quelques photos pour prouver que cette histoire est absolument « véridique ».

    le crapaud et l'escargot

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  • Bonjour tout le monde,

    "Parler pour ne rien dire" "Brasser de l'air" ..."Peigner la girafe"...En voilà de drôles d'expressions...Tout ça pour dire que ce que l'on fait ou dit parfois n'a aucun sens...et pourquoi pas !!

    Allez, je me lance dans le grand n'importe nawak...et voici ce que cela donne :

    Belle journée à toutes et à tous

    Demain, une nouvelle histoire pour les enfants...

    Page blanche

    Page blanche

     

       Me voilà devant mon ordinateur, et à l’heure qu’il est, je ne sais encore pas ce que je vais écrire sur cette feuille blanche. C’est idiot, depuis le début de l’après-midi, cela fait au moins trois fois que je m’installe devant mon clavier pour écrire. Trois fois que je me relève aussitôt parce que je n’ai pas la moindre idée de ce que je vais coucher sur le papier. Je n’ai qu’une certitude...j’ai envie, très envie d’écrire !!! Allez savoir pourquoi !

    En désespoir de cause, j’ai attrapé un bouquin au pif, parce que par-dessus le marché, je ne savais plus quoi lire, et je suis tombée sur un livre de développement personnel qui me semble génial...j’en ai lu une bonne vingtaine de pages....et une force irrésistible m’a ramenée devant mon ordi... Cela ne doit pas être un hasard !!! …Il n’y a pas de hasard !

    Incroyable !

    Mon livre parle de « routinite » et c’est ce qui m’a ramené à cette feuille blanche...Est-il possible qu’il y ait un message caché? Suis-je moi aussi atteinte de cette maladie du siècle ? Pour le savoir, il faudrait que je lise le livre jusqu’au bout...d’une traite .... Alors pourquoi y a-t-il cette force incompréhensible qui me ramène sans cesse à ma feuille blanche ?

    Sans doute faut-il avant de terminer ma lecture, me lancer ce défi !! Celui d’écrire n’importe quoi...C’est ce que je fais depuis plus d’un quart d’heure, et j’avoue que pour le moment, ça ne me fait rien...quoi que ! Mes doigts s’agitent sur le clavier sans que je les maitrise d’aucune façon et j’ai l’impression de me « vider la tête » en même temps ...Et ça, ça fait un bien inouï !! Un vrai bonheur ! Indescriptible. Essayez !  Vous verrez.

    Tout ça me rappelle une « rédaction » que je devais faire en classe de cinquième. La prof nous avait demandé de raconter notre plus mauvais souvenir, le pire  épisode de notre vie, celui qui nous avait le plus marqué !! Nous avions deux heures pour le rédiger. J’étais bien jeune à l’époque et je n’avais rien vécu de catastrophique...et puis, quand bien même, cela ne la regardait pas. C’est à cause de gens comme elle que nous perdons l’innocence de la jeunesse…Ces personnes « sadiques » qui nous demandent de rechercher au plus profond de nous-mêmes des choses qui nous ont fait mal…A quoi cela peut-il servir ? Je vous le demande…n’aurait-il pas été plus simple de nous demander notre « meilleur souvenir » ??? Histoire d’être heureux une deuxième fois en l’évoquant…Non, ça ne lui est pas venu à l’idée. Elle voulait nous torturer et nous faire revivre notre plus mauvais souvenir !!! Maintenant je sais pourquoi, on passe de l’enfance insouciante à l’âge adulte perturbé …et que l’on met des plombes à se reconstruire et reprendre confiance en soi !!!

    En attendant, un quart d’heure après le début du cours, je n’avais encore aucune idée...une demi-heure, rien ! Une heure, toujours rien ! Je n’allais quand même pas lui rendre une feuille blanche !! Je paniquais complètement ! Et là, l’idée est venue ! Il me restait un quart d’heure pour lui raconter mes angoisses devant cette feuille blanche...C’était tout frais, donc facile !! Résultat des courses, j’ai obtenu une bonne note... sans être obligée de lui raconter ma vie...et toc !!

    Fallait Oser !!!

    Eh bien voilà, je refais la même chose aujourd’hui. Rien à raconter, mais les mots et les phrases s’accumulent malgré tout !! Voilà un texte qui ne ressemble pas à grand-chose, et pourtant (à mon avis !) riche de sens !

    Et si c’était ça le médoc pour se guérir de la routinite : Oser !! Oser écrire n’importe quoi par exemple, juste pour le plaisir

    Oser changer d’activités

    Oser se débarrasser de ses faiblesses...oser affronter ses peurs...et j’en passe !

    Vite, je vais reprendre mon livre pour le savoir !

    Le titre du livre : « ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une ! » ...j’adore cette idée !!!

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