• Belle journée à toutes et à tous,

    Voici une histoire étonnante et pourtant véridique...

    Face à un tel braquage, comment auriez-vous réagi, vous???

    Bon week-end à tous

    Braquage

    Braquage !

     

    Les grands sages affirment  que « lorsque l’on n’a pas peur, il ne peut rien nous arriver », et je crois bien qu’ils ont raison ! Pourtant, il n’est pas toujours facile de se maîtriser.

    En effet, si par le plus grand des hasards, je me retrouvais face à un lion, ou pire, une vipère, je suis sûre que je prendrai mes jambes à mon cou sans me poser de questions.  Je ne m’imagine pas non plus faire un saut à l’élastique ou marcher sur un câble à 100 mètres de hauteur… juste pour vérifier l’exactitude de ce « dicton », et pourtant, certains le font !!...et il ne leur arrive rien de spécial !

    Sans aller jusque-là, les plus trouillards d’entre nous ont même peur d’une araignée ! Pff, n’importe quoi ! Vous avez déjà vu une araignée ? C’est tout petit !

    Bref...tout ça pour en venir à une histoire extraordinaire que j’ai lue dans la presse alors qu’elle venait de se dérouler à deux pas de chez moi.  Cette anecdote  qui illustre assez bien cette affirmation sur la peur date d’une bonne trentaine d’années, mais je l’ai toujours en tête tellement elle est riche en « enseignement ».

    Plantons d’abord le décor : la poste de la  Contrie à Nantes. Cette poste, je l’ai vue se construire depuis la fenêtre de ma chambre. Nous habitions avec nos parents dans une très grande maison qui dominait une grande partie la ville de Nantes. Au loin, nous distinguions  l’église Sainte Thérèse qui se détachait sur le ciel immense, imposante dans sa magnifique robe de briques rouges au milieu de toutes les maisons et monuments. A l’avant, des espaces verts et des arbres, (très vite remplacés par le quartier des Dervallières), et de l’autre côté du boulevard, un pigeonnier de pierres sur son piédestal accueillait encore de nombreux oiseaux.  Quelle vue superbe ! Je ne me lassais pas de l’admirer !

    Même la vieille bâtisse toute délabrée située de l’autre côté de la rue présentait un certain charme avec les herbes folles qui peuplaient un semblant de jardin.

    Les années passant, les squatters qui avaient élu domicile dans cette vieille masure ont été priés de quitter les lieux pour permettre la construction d’un bureau de poste. Nous n’avions qu’à traverser la rue pour poster notre courrier (on écrivait encore à l’époque !).

    Ce que j’aimais par-dessus tout, c’est que de ma fenêtre, j’apercevais beaucoup de monde défiler pour se rendre dans cette nouvelle poste. L’animation était assurée dans ce quartier que j’affectionnais particulièrement. Je me souviens même d’une année où l’hiver était si rude que le sol luisait sous une épaisse couche de glace. Les trois-quarts des personnes qui se rendaient à la poste n’arrivaient pas à conserver leur équilibre dans cette descente et  se retrouvaient automatiquement sur les fesses... Quelle rigolade !...Mais revenons à nos moutons !

    Ces souvenirs étaient bien présents lorsque quelques années plus tard, je lisais ce fameux article sur le journal. Il y avait longtemps que « notre » maison avait été remplacée, et que, une fois mariée et maman de quatre enfants,  je vivais (comme par hasard) dans une autre jolie maison à moins d’un kilomètre de cet endroit.

     « Braquage à la poste de la Contrie » titrait le journaliste, avant de raconter cette histoire incroyable qui venait de se passer à ma porte !

    Tout semblait calme dans le bureau de poste ce matin-là, lorsque soudain, un individu cagoulé  avait poussé violemment la porte pour s’introduire bruyamment dans les locaux. Il s’était  présenté au guichet avec une arme à la main.  Sans perdre de temps  il ordonnait aux employés de lui « donner rapidement la caisse » en les menaçant de son revolver….Comme dans un film ! A ce moment précis…on ne sait pas ce qui s’est passé dans la tête de l’une des femmes présentes face à lui,  qui, en apercevant l’arme du malfaiteur pointée sur elle s’est mise à éclater de rire…un rire nerveux certainement, mais un rire si contagieux qu’il a entrainé tout son entourage dans un fou rire gigantesque.

    Du coup, le semblant de panique qui avait dû durer quelques instants changeait de camp. Surpris,  pour ne pas dire ébahi…et probablement vexé, blessé dans son amour propre, l’homme armé a été complètement déstabilisé. Il a aussitôt pris ses cliques et ses claques pour se sauver aussi vite qu’il était arrivé … devant une dizaine de personnes de plus en plus hilares !

    Sans commentaires !!!

     

     

     

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  • Bonjour tout le monde,

    Nous voici donc à la cinquième page de notre cahier de vacances...

    Félicitations à tous pour la page 4 avec les anagrammes...Vous êtes nombreux à avoir tout trouvé !!!

    Aujourd'hui, il vous faudra un petit peu plus de concentration pour trouver les 38 habitations cachées dans ce texte....

    Pour ma part, j'ai déjà choisi celle que j'aimerai habiter pendant les vacances....

    Allez ! Je ne vais pas baragouiner plus longtemps....

    A vos méninges !!!

    Page 5 : habitations

    Mon « chez moi »

     

      Quand je serai grand, je ferai du sport, de la lutte pour être baraqué...comme papa !

    Je serai aubergiste parce que j’aime bien faire la cuisine, peut-être aussi parce que j’apprécie les bons petits plats. Ma maman m’appelle son « petit glouton ».

    Je ferai mon marché avec un grand cabas, non, un petit chariot, comme maman !

    J’ai aussi envie d’être entouré d’animaux…J’aurai un animal sauvage – un tigre du Bengale au visage doux, ou un puma noir -  mais aussi un cheval, un chien et un chat totalement blanc, pas un chat laid comme celui de tante Gertrude qui louche (pas tante Gertrude...le chat). En fait, son chat, il n’est pas laid à proprement parler, c’est juste qu’il a un œil bleu et un œil vert, et c’est très perturbant... et très drôle quand on pense que Gertrude est l’ophtalmo du quartier. Les enfants ont peur d’elle (pas de son chat !) à cause de sa voix un peu rauque et caverneuse...

    Bref ! Quand je serai grand, j’aurai mon « chez moi ». Ce sera très grand avec plein de pièces secrètes qui ferment à clef et des chambres avec de sublimes meubles et des mobiles au milieu, pour recevoir tous mes copains. Il y aura aussi un immense jardin avec plein de massifs d’azalées et de rhododendrons, et des arbres avec des branches assez grosses pour se mettre à l’abri quand il pleut ou pour donner de l’ombre quand il fait trop chaud, mi air frais, mi soleil, c’est l’idéal.

    J’habiterai sur la berge rieuse d’une rivière, à la montagne, ou près d’un lac. Tiens, près du lac Léman, un lac typique des contes de fées... en haut d’une côte à Genève...Et puis non, tiens, je serai mieux au bord de la mer pour faire de la voile sur un beau bateau bicoque avec un pavillon de pirates, mais dans une grande ville avec un port pour mon voilier.

    En fait, quand je serai grand, je resterai peut-être à Vannes, car à Vannes, il y a la mer, le port, c’est très beau...et surtout il y a mes potes Elvis et Lounis.

     Pourtant, j’aime le calme et on me dit souvent que je vis comme un ermite âgé ! Tout simplement parce que j’ai du mal à décrocher de ma tablette !!! C’est complètement illogique et grotesque ! Je laisse dire et demeure impassable !

    Ce qui est drôle, c’est que quand je sors de ma chambre, on me reproche souvent d’être un vrai moulin à paroles ! Il faut savoir !

    Quand je serai grand, à peine niché dans mon « chez moi » je ferai ce que je veux et pas question d’être casanier...j’organiserai des fêtes avec mes copains, on dansera des tangos, des flamencos et des mazurkas (oui, je sais, c’est un peu vieux jeu, mais j’aime ça...alors !)

    Mais ce sera quoi mon logement ? Allons, j’ai regardé sur google mais je n’ai pas encore d’idée précise....

    Pourtant dans ce texte, il y en a trente-huit différents...je n’ai que l’embarras du choix !!

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  • Salut les p'tits loups !

    Il fait chaud hein??? Alors voici une petite histoire rafraichissante avec un peu de pluie...et notre ami l'escargot gris (tiens ! ça va faire plaisir à Jimmy je pense....je crois qu'il aime bien les escargots)

    Et demain, la page 5 de notre cahier de vacances avec une histoire-jeu et des habitations à découvrir...

    Belle journée et

    Bizatousssssssssssssss

    Jour de pluie

    Jour de pluie...

        Il pleut...

    Tout le monde rentre dans sa maison pour se mettre à l’abri...tout le monde sauf Gri-gri l’escargot gris, qui lui, sort de la sienne, une magnifique coquille nacrée qu’il porte sur son dos. Il glisse lentement vers le potager et s’attaque à une belle salade verte. Elle est si tendre et si croquante qu’il la grignote goulument sans s’apercevoir que quelqu’un s’approche. C’est le jardinier qui, comme par hasard choisit la même salade pour son déjeuner.

    Voilà notre petit escargot qui s’envole dans les airs caché dans les feuilles frisées.

    • Whaouh ! c’est haut !

     Il s’accroche tant bien que mal, mais il a un peu le vertige. Il est ensuite bousculé, secoué, brusqué comme il ne l’a jamais été ! C’est Gustave, notre jardinier qui jette les feuilles de salade dans l’évier rempli d’eau froide. Il les remue pour ôter toutes les petites salissures qu’elles contiennent. Il tombe dans le fond du bac et se cogne au risque de briser sa belle maison :

    • Aie, aie, aie...ouille !

    Heureusement, Gustave ne l’a pas vu et tire la chainette pour vider l’eau.  Il se retrouve alors seul dans un tourbillon qui l’entraine dans un long tuyau sombre. Il a peur. Il a froid. Il y a bien longtemps qu’il s’est réfugié tout au fond de sa coquille et qu’il tremble comme une feuille justement.

    Il n’est pourtant pas au bout de ses surprises, ni de ses émotions ! Il est ballotté à une vitesse vertigineuse dans cette cascade qui n’en finit pas. Puis, le calme revient, mais une odeur insoutenable lui chatouille les narines. Il nage malgré lui dans une nappe d’eau crasseuse et malodorante...Il ne le sait pas, mais il voyage dans les égouts qui récoltent les eaux usées du village.

    Il fait ensuite un très très long voyage, toujours enfermé au fond de sa maisonnette. Soudain, il est éjecté...dans la mer ! Il sent alors un parfum où se mêlent le sel, l’iode et le goémon... et se décide à sortir sa tête. Il se pose tranquillement sur un rocher

    • Ouf ! enfin tranquille !

    C’est alors qu’il aperçoit, tout près de lui, un petit animal qui lui ressemble étrangement.

    • Qui es-tu ? lui demande-t-il
    • Je suis Bauno, le petit bigorneau...Et toi, que fais-tu là ?
    • Oh c’est une longue histoire.

    Et voilà notre Gri-gri qui n’en finit pas de raconter son épopée à son nouvel ami. Ils se jettent ensuite sur une algue savoureuse qu’ils dégustent de bon cœur pour apaiser leur fringale. Sur leur rocher, ils s’amusent à regarder des crevettes et des minuscules poissons qui jouent à défier des anémones aux longs bras multicolores, prêtes à les attraper pour les croquer. Ils suivent du regard les petits crabes qui jouent à cache-cache sous les galets et dans les cavités étroites de la roche, et tentent une petite escalade pour atteindre le sommet du rocher qui surplombe la mer afin de prendre un peu l’air.

    • Nous n’aurons plus qu’à attendre la marée basse si tu veux reprendre le chemin de la terre ferme, lui dit Bauno..Oups ! tu ne seras pas arrivé sur le sable avant la marée haute...je crois qu’il est préférable que tu attendes une vague...elle te conduira directement sur le sable.

    Et c’est ce que fait notre petit escargot à la coquille nacrée. Il ne veut pas attendre que la mer se retire et se laisse emporter par un gros rouleau qui l’enveloppe et le déroule sur le sable mouillé. Il repart alors tranquillement, s’éloigne de la plage et dans quelques jours, il retrouvera un magnifique jardin potager en haut de la falaise...Cette fois, il choisira un énorme chou aux larges feuilles vert foncé pour s’y enfouir et dormir un long, long moment

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  • MDR

    Bonjour tout le monde,

    Toujours véridiques, voici quelques anecdotes "drôles" histoires de commencer la journée dans la bonne humeur...Un peu comme cette histoire d'orchidée en plastique...

    Vous vous souvenez sans doute vous aussi d'anecdotes qui ont déridé vos zygomatiques...alors n'hésitez pas à nous en faire part (en commentaires  par exemple)

    En attendant, en voici quelques unes

    Belle journée à tous

    MDR

    Oups !!!

             Inattention, distraction, étourderie, négligence…On a tous connu cela un jour ou l’autre. Qui n’a jamais recherché ses lunettes dans tous les coins de la maison pour s’apercevoir qu’elles sont sur le bout de son nez ? Qui n’a jamais pris le tram dans le sens opposé à sa destination ?...et vous est-il déjà arrivé de sortir de chez vous en pantoufles …ou en pyjama ?

    Non, non, cela n’arrive pas qu’en rêve ! Et je suis à peu près sûre qu’il n’y a pas que moi qui l’ai fait…

    Cela peut être agaçant, drôle…ou pas du tout. Je ne relaterai ici que certains « Oups » qui ont eu le mérite de me faire beaucoup rire…parfois longtemps après.

      Commençons par quelques « étourderies » qui pourraient être fort « gênantes », voire « dangereuses »,  et là, je pense aux bricoleurs du dimanche et ceux qui se lancent dans quelques réparations qu’ils maîtrisent…mais qu’ils effectuent à la hâte.

    Alors attention ! On ne rigole pas avec l’électricité comme les deux premiers exemples (qui se terminent heureusement bien !) ...

    1 – la petite chaufferette

    Mon arrière-grand-mère, une maîtresse-femme, ne faisait confiance qu’à mon père pour toutes les réparations de la maison. Un jour, il vient lui rendre visite. Elle profite donc de l’occasion pour l’interpeler :

    • Tu veux bien me réparer ma petite chaufferette ? Lui demande-t-elle. Elle ne fonctionne plus, et il commence à faire froid.

    Mon père regarde l’appareil, mais ne voit rien d’alarmant. Elle semble en parfait état.

    • Donne-moi le fil électrique pour que je la branche. Je verrai mieux le problème.
    • Non ! Tu n’as pas besoin de la brancher, je te dis qu’il y a quelque chose à l’intérieur qui doit être cassé.

    Mon père insiste et elle lui apporte enfin de quoi brancher sa chaufferette. Il comprend vite d’où vient la panne. Le fil électrique avait dû casser et mon arrière-grand-mère n’avait rien trouvé de mieux que de prendre les deux bouts et de faire un nœud pour les raccorder !!!!

    2- Lampe de chevet

    Mon mari veut allonger le fil de la lampe de chevet de mon fils (toujours trop courts ces fils !!)...mais non, il ne fait pas un nœud dans la rallonge !! Il prend juste un fil plus long, et pour connaitre la longueur nécessaire pour aller de la prise jusqu’à la tablette, il branche le nouveau fil électrique et l’amène jusqu’à la lampe. Là, il prend son opinel et coupe à bonne distance !!!! Oups !!! Heureusement  que le manche est en bois...par contre, la lame explose !!

    3- départ immédiat

    Sur l’ile de la Réunion, ma nièce est sur le point d’accoucher. En Métropole, mon frère prend un billet d’avion pour être présent lorsque le bébé pointera le bout de son nez. A l’aéroport, toutes les paperasses prennent un temps fou. Il faut enregistrer les bagages, attendre,  passer les contrôles, attendre, aller dans la salle d’embarquement, attendre encore et enfin, passer devant une hôtesse de l’air qui regarde son billet et lui indique le siège qui lui est réservé. Ouf ! Tout va bien ! L’avion s’apprête à décoller :

    • Toute l’équipe vous souhaite la bienvenue sur ce vol en direction de Saint-Domingue...annonce le pilote tandis que l’avion avance tranquillement sur la piste...
    • Mais, je ne vais pas à Saint-Domingue ! s’écrie mon frère en direction de l’hôtesse qui vérifie les ceintures...

    Branle-bas de combat ! On arrête l’avion pour débarquer mon frère qui a fait toutes ses démarches sans que personne ne s’aperçoive de cette erreur ! Le pire, c’est que le siège portant son numéro était le seul vacant !

    Il est arrivé à la Réunion en temps et en heure pour accueillir son petit-fils.

    4- Ah ! Ces sacrés lunettes !

    Jamais où il faudrait qu’elles soient.

    • Mes lunettes ont disparu ! Annonce mon jeune frère en arrivant à la maison
    • Comment est-ce possible ?
    • Avant le cours de sport, je les ai posées sur une voiture...et quand je suis revenu, la voiture était partie !!!

    5- gel coiffant

    • Tu as changé mon gel pour les cheveux ? Demande mon père à ma mère. Il est infect, il colle et je n’arrive pas à me coiffer. Qu’est-ce- que c’est que cette m... ?

    Ma mère éclate de rire, suivie de près par ma sœur et moi lorsque l’on s’aperçoit que mon père a pris la crème dépilatoire qui était dans l’armoire de toilette...

    Allez, c’est tout pour aujourd’hui !

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  • Bonjour tout le monde,

    Voici déjà la quatrième page de notre cahier de vacances avec une histoire "à trous".

    Il s'agit de remplir les trous par l'anagramme du mot "en rouge" de la même phrase. Parfois il y a deux anagrammes du même mot à découvrir...

    Voici des exemples  pour les plus jeunes : J'ai relu .... histoire (j'ai relu leur histoire)

                                                                               j'ai très mal au rein droit, mais ce n'est....( j'ai très mal au rein droit, mais ce n'est rien)

    A vous de jouer...22 mots à trouver...

    Belle journée

    illustration : dessin de Noah (dommage, personne n'a eu le temps de le colorier - page 2)

    Page 4 - anagrammes

    Des anagrammes...

     

    Voici Léon, un champion de natation. Ses parents l’ont prénommé ainsi tout simplement parce qu’il est né le jour de …. (Léon étant l’anagramme de ….)

     

    Avec courage, notre champion nage vers le large tel un ... venu du ciel.

     

    Il se dirige courageusement vers le phare, il se laisse bercer par le son mélodieux que son amie joue sur sa  ...

     

    Marie, c’est le nom de son amie. Elle est aussi « la »....du charmant village où ils vivent tous les deux. Elle est si gentille, si jolie et si avenante qu’il est impossible de ne pas l’....

     

    Lorsqu’il la rencontrée, il a tout de suite été attiré par son regard. Et puis par sa gentillesse, si bien qu’il a immédiatement voulu …son amitié pour toujours.

     

    C’est simple, la première fois qu’il l’a vue, il l’a prise pour une de ces reines qui vivent au fond de l’eau, une ….en quelque sorte.

     

    Elle lui faisait visiter ce phare ou elle était venue  rendre visite à son...., le gardien. Elle aime ce lieu et vient pour y jouer de la musique presque tous les jours.

     

    Aujourd’hui, il va la chercher et ensemble ils vogueront sur l’océan dans le ….de son amie.

     

    Ils iront jusqu’à l’Ile toute proche pour pique-niquer. Une grande amitié les ....tous les deux.

     

    Lorsqu’il arrive près du phare, il aperçoit le chien de son amie qui sort de sa ….

     

    Il est sorti pour  observer ce pêcheur qui est en train de plier ses gaules. Dans son seau on ne voit que des …..Elles recouvrent sans doute ses poissons.

     

    Est-il bredouille ? En tous cas, il ne semble pas trop pressé de rentrer au ….

     

    Il remonte l’ancre de son bateau et jette un coup d’œil sur l’…de son smartphone avant de mettre les gaz. La  mer est calme et offre de magnifiques reflets de ...L’éclat du soleil se reflète sur la mer tel un long filament semblable à un….

     

    Lorsque Léon pose les pieds sur la jetée, Marie lui tend une serviette grenat et ....

     

    C’est l’une de ces serviettes rêches avec lesquelles il est difficile de se ..., mais il ne dit rien pour ne pas la froisser.

     

    Il l’enroule autour de son ...tout en se demandant s’il ne serait pas plus judicieux de l’inviter au resto.

     

    Finalement, ils partent vers l’île avec l’espoir d’une magnifique journée. Ils éclatent de rire lorsque Léon renverse le panier et que les ....se mettent à rouler dans le bateau.

     

    Tandis que Léon rame, Marie s’....de son appareil photo  pour  figer sur une image  la ... de cet instant.

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