• Bonjour tout le monde,

    Des homonymes dans la page 15 de notre cahier de vacances

    Quel bouleau !!! il va falloir corriger toutes ces phrases où des homonymes ont pris la place de certains mots ! : trente maux à retrouver....

    Oups ! Le jeu a déjà commencé .... Il fallait lire : boulot et mots

    Solution du jeu de la page 14 : Il fallait trouver (mais tout le monde a réussi, bravo !!!) : Il ne faut jamais remettre au lendemain ce que l'on peut faire le jour même!

    homonymes - page 15

    Homophones

    Les homophones sont des homonymes qui se prononcent de la même façon, mais qui ont une orthographe différente.

    Voici donc quelques phrases dans laquelle certains mots ont été remplacés par un « homonyme » …

    A vous de les retrouver :

    1 – La mère était démontée alors j’ai mouillé mon bateau dans le porc de Saint-Malo. J’ai jeté l’encre et pourtant, je n’étais pas seiche.

    2 - J’ai piqué un phare quand ma tente m’a dit que j’avais le thym verdâtre et que je devais souffrir de mots de ventre. Elle a pris mon pou et m’a dit que je n’avais pas de peau.

    3- Quelle grasse a cette jolie danseuse qui évolue dans le lac des signes ! Ce magnifique balai de Tchaïkovski me tire toujours une larme à la faim, surtout lorsque l’animal tombe sur le flan.

    4 – Il avait le hockey alors il s’est caché dans un coing pour avoir la paie.

    5 –Par ce taon-là, c’est stupide  de s’énerver…. le thon monte et les voies raisonnent.

    6- Pendant qu’elle joue du corps,  je vais me maître à lyre,

    7- Il a mis un peu de lac sur ses cheveux pour fer joli…mais qu’il est drôle avec ses trois poêles au menton !

    8 – C’est vraiment ballot d’être allergique au boulot et d’avoir des chênes aux pieds !!

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  • Coucou les petits loulous,

    Le trollisson "Mempamal" raconte à son tour une histoire, une belle histoire cette fois-ci....

    Elle s'est déroulée sur les bords de l'Erdre, cette magnifique rivière, du temps où il était encore possible de naviguer en canoé (oups! oui, oui, c'est provisoire!!! c'est juste un petit clin d’œil aux mordus d'aviron et de canoé!!)

    Belle journée et

    Bizatoussssssssssss

    petit héron blessé

    Petit héron blessé

    Histoire du Trollisson « Mempamal »

       Silencieux dans son canoé, Alexandre pagaie paisiblement  le long de l’Erdre. Il aime le calme et le bien-être de cet instant, et quel bonheur de se laisser bercer par la brise et le clapotis de l’eau ! Il observe les berges bordées de frênes et d’aulnes dont les racines apparentes cachent des colonies de canetons et autres oiseaux. Peut-être va-t-il aujourd’hui encore apercevoir une famille de poules d’eau sortir de sa cachette. Il semble rêver lorsque soudain, il est interpellé par un cri rauque qui vient probablement d’un animal blessé. Il s’approche au plus près du bord en évitant les branches et aperçoit, à moitié caché dans les roseaux, un jeune héron dont les ailes sont visiblement brisées.

    • Oh ! Tu es blessé gentil héron ? Tu dois avoir très mal. Qui t’a fait ça ?
    • J’étais tranquillement perché sur une branche basse de cet arbuste lorsqu’un hors-bord a déboulé à toute vitesse sur la rivière. Dans son sillage, de grosses vagues se sont formées, emportant tout sur leur passage. J’ai été littéralement  projeté sur ces énormes racines. J’ai eu très peur et j’ai essayé de me dégager… mais je me suis abimé les ailes. Oh oui, tu as raison, j’ai très mal.

    petit héron blessé

    Alexandre aimerait bien l’aider, mais quoi faire ? Il réfléchit et un souvenir lui revient subitement en  mémoire. C’était il y a quelques mois alors qu’il se promenait dans la petite forêt à quelques centaines de mètres d’ici. Près d’une mare à moitié croupie et envahie par des lentilles d’eau, il avait rencontré un très vieil homme qui l’avait impressionné. Enveloppé d’une longue pèlerine grise et  appuyé sur un bâton, il l’avait interpellé pour lui raconter une histoire étrange. Il avait soi-disant rencontré une licorne. Alexandre n’y avait pas cru forcément, mais il l’avait quand même écouté attentivement. Le pèlerin lui avait certifié qu’il l’avait vue au-dessus de l’étang, à moitié cachée  par  des noisetiers sauvages. Il lui avait révélé que cette jolie licorne blanche ne se montrait que très rarement simplement parce qu’elle était un peu trouillarde.  Pour se cacher elle prenait l’apparence des troncs d’arbres qui gisent au fond de l’eau. Alexandre avait demandé au vieil homme ce que pouvait faire une licorne dans un tel endroit mais il lui avait juste répondu qu’elle était là pour protéger la rivière et tous les animaux qui y vivent.

    petit héron blessé

    • Ne bouge surtout pas, dit-il alors au héron je sais qui peut t’aider. Je pars à sa recherche.
    • Gros malin ! Tu crois vraiment que je vais m’envoler ?
    • Ah oui, c’est vrai...heu...pardon...Je reviens très vite.

    Il plonge aussitôt sa rame vers la droite et l’active rapidement pour faire demi-tour. Il retourne vers le petit port où son papa et son frère attendent le canoé pour glisser sur la rivière à leur tour.

    Alexandre n’a aucun mal à retrouver la licorne. Elle est là, à l’endroit décrit par le vieil homme. Elle semble même l’attendre. Elle sort de l’eau, magnifique dans sa robe blanche et sa corne en spirale. Lorsqu’il lui fait part de la mésaventure du jeune héron, elle l’invite naturellement  à monter sur son dos pour aller le rejoindre. Elle s’élève alors dans les airs, légère comme une plume. Rien de plus facile ensuite pour elle que de soigner l’animal et réparer ses ailes grâce à ses pouvoirs magiques.

    Au retour de son père et de son frère, Alexandre est perdu dans ses pensées. Sûr, il n’oubliera jamais ce qu’il vient de vivre : L’immense privilège de voir une vraie licorne, l’approcher, s’élancer dans le ciel avec elle, pouvoir sentir la douceur de son pelage et poser sa tête contre son cou.

    petit héron blessé

    • Regarde Papa comme il est beau ce héron qui s’envole là-bas ! dit-il simplement, gardant pour lui son secret …comme un cadeau.

     

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  • Belle journée à toutes et à tous,

    Je fais fort cette année et je crois que je tiens un bon rythme avec une page de notre cahier de vacances, une histoire "insolite" et une histoire pour enfant...

    Aujourd'hui donc, place à l'insolite avec ces "fameuses" anecdotes sur  les guêpes qui prouvent que l'on échappe pas à son destin...

    Et un petit plus ...A partir d'aujourd'hui, avec chaque histoire "étrange" une petite astuce pour nous simplifier la vie (en rapport ou non avec l'histoire racontée)

    Astuce du jour:

    Comment échapper aux guêpes et autres insectes ?

    Il suffit de placer à proximité de l'endroit où l'on se trouve un petit récipient (en terre ou en verre) avec du café moulu à l'intérieur que l'on fait brûler à la manière d'un bâton d'encens.

    Idéal pour les repas en plein air ...plus aucune guêpe et mouche au-dessus de la table...succès garanti!!!

    Pas folle ....

    On n’échappe pas à son « destin » !

     

           Fatalité, hasard, chance ou malchance, providence ....quel que soit le mot que l’on attribue au « destin », il est parfois difficile de lui échapper !

    C’est assez mystérieux, étrange, mais parfois certains événements, petits et grands, s’amusent  à nous compliquer la vie ou la rendre plus simple...selon l’humeur de « je ne sais quoi » !

    Voici un petit exemple que je trouve assez amusant parce que « répétitif » et pas bien « méchant »...mais il prouve bien que « quoique l’on fasse », on ne peut pas se soustraire à ce qui doit nous « arriver » :

    Une chose est sûre, j’ai la phobie des guêpes...Dès que j’en vois une, je me transforme en statue ou je m’enfuis en courant...je ne suis jamais rassurée lorsque l’on est à table à l’extérieur et qu’elles volent au-dessus d’un melon...bref ! Je les guette, les surveille et me tiens à distance…avec une raquette à mouches à proximité !

    Je pense que c’est parce que j’ai de très mauvais souvenirs avec ces bestioles :

    La première fois, je n’étais qu’une enfant. En enfilant mon pyjama, l’une d’elle –qui avait élu domicile dans la jambe de mon pantalon- s’en est pris à ma cuisse sans me demander mon avis.

    Une deuxième fois, j’étais enceinte et encore plus craintive. Je me suis bataillé avec une autre d’entre elles qui me poursuivait d’un bout à l’autre d’un terrain. J’avais beau m’enfuir en courant, elle était toujours au –dessus de ma tête. J’étais carrément en crise de panique. Je me suis dit alors, que plus jamais elles ne me causeraient de soucis.

    Pourtant, il y a quelques années, tandis que nous roulions sur une route en Corse, fenêtre ouverte, je ne sais pas par quel miracle, l’une d’entre elle s’est glissée dans l’habitacle pour me piquer « sauvagement » à l’épaule....je n’en avais pas encore vu une de la saison...

    C’est un peu comme l’histoire de la Chauve-souris de Jean-Marie Bigard... Il y en avait une, elle est passée par la fenêtre en pleine route ...juste pour me piquer !!

    L’histoire se poursuit l’an dernier...Durant tout l’été, j’ai réussi à

     échapper à ces vilaines bêtes...jusqu’au jour où, en allant faire une petite brasse dans la mer, l’une d’entre elles a également voulu prendre un bain en même temps que moi (jamais je n’avais encore vu de guêpes au-dessus de l’eau !) juste pour s’agripper à mon bras et planter son dard dans le gras...pire, elle ne voulait plus repartir ! Il a fallu la pousser !!! (Encore l’histoire de la Chauve-souris !)

    Allez, cette année, après un mois de juillet très chaud...en plein air ! On s’est récemment fait cette drôle de réflexion : «  c’est bizarre, cette année, on n’a vu aucune guêpe !!! » ...effectivement, mais à vrai dire, elles ne m’ont pas réellement manqué !!

    De retour à la maison, quelques courses s’imposent...j’en profite pour aller « prendre le frais » à Distri-Center qui poursuit ses soldes estivales...En essayant une paire de chaussures, j’entends un drôle de bzzz bzzz...Derrière moi, .et aussitôt une forte douleur sur mon bras...la bourrique ! Pas de guêpe cette année, mais une dans un magasin...et bien sûr elle est pour moi ! Je ne l’ai pas gênée le moins du monde, elle est venue directement ...juste pour me piquer et rester encore une fois sur mon bras...collée ! Bizarre non ?...encore la Chauve-souris ! Une chance sur 1000 (ou plus) que l’une des rares guêpes du quartier entre dans ce magasin...une autre chance sur 1000 (ou plus) qu’elle vienne justement là où je suis ...et une autre chance sur 1000 (ou plus) qu’elle décide de me piquer alors que je ne lui ai rien fait !!  Bref, le plus drôle reste encore la réaction de la vendeuse, qui, constatant mon agitation me regarde un peu étonnée. Je lui dis :

    • je viens de me faire piquer par une guêpe !
    • Une guêpe ???? Ah bon !

    Et elle retourne tranquillement vaquer à ses occupations...

    Bizarre cette phobie !

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  • Bonjour tout le monde,

    Dans la page 14 de notre cahier de vacances, le texte comporte quelques "trous" qu'il faut remplir pour trouver une "maxime" très connue .

    Également, solution du jeu de la page 13

    Belle journée à tous

    Texte à trous - page 14

    Courage !!

     

    ……… fait hyper chaud aujourd’hui ! Cela fait déjà un bon moment que la canicule s’est installée confortablement sur notre pays. On vit au ralenti et rien……. nous incite à bouger. Pourtant, j’ai des tas de choses à faire. Il..…..absolument que je fasse mon repassage, mais par cette chaleur ! Impossible ! J’essaierai demain matin. Je dois aussi aller porter un paquet à la poste, mais ........je n’y parviendrai avant la fermeture si j’attends une température plus clémente.

    Tiens en parlant de fermeture, ça me fait penser que je dois également ........ une fermeture éclair ......... jean de mon loulou, eh bien, ça attendra cela aussi.

    Pourtant, il y a quelques jours, j’étais hyper motivée et j’ai réussi à abattre une tonne de boulot, mais dès le ........., avec la température qui s’est mise à grimper, je n’avais plus aucun courage, et depuis, je traine ma misère. Tout ira mieux dans quelques jours, enfin, je l’espère, c’est ..........    .......... la météo annonce en tout cas.

    Vivement donc les jours prochains que .......... y voit plus clair ! On ne .......... tout de même pas rester à rien ........... trop longtemps.

    Bon, demain, je m’y mets sérieusement, je vais commencer par .......jardin au lever du ..........Il fera plus frais. Et puis, si l’après-midi la température est trop élevée, eh bien je ferai la .........chose qu’aujourd’hui, c’est à dire un peu de chaise longue.

    Voilà, avec tout ça, il fait si chaud que certains mots se sont effacés dans ce texte (quinze au total) il suffit de les retrouver pour découvrir la « maxime » que j’aurai dû appliquer ces jours-ci.

     

    Oh !  T’as ri !

    Voilà ! C’est l’histoire de Colin, un loup de mer, un marin quoi !....dont l’épouse, Anne, a régné dans un château sur un piton rocheux,  dans un lieu que j’ignore, autour de la France. Normal, c’est une petite reine, une reinette quoi ! Lui, c’est un Grand-Duc, chevalier de surcroit. D’un certain âge, mais encore beau. Il a une bonne hygiène de vie, n’a pas de canne ni de tiques, a le dos fin, le nez rond, des pouces sains, une longue chevelure avec une raie au milieu…et un cou ! l’œuvre  signée d’un artiste d’un don certain, qui l’a peint sans nul doute.

    C’est un homme serein qui ne râle jamais, un gros nounours. Rien ne l’effraie, il n’a jamais le bourdon ni le cafard, sourit tout le temps et ne fouine pas dans les affaires des autres... ça vaut de l’or et c’est rare !

    Alors il faut que vous me disiez pourquoi il se cache à l’eau dans la Loire, sans prendre son élan ni son temps ! ... ça sert à quoi ? Il pourrait se noyer..

    • C’est assez dit-il, je caille...je sors, je mets le turbo  et je me sèche sur le sol pendant que vous toppez  les cinquante  bestioles cachées…
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  • Coucou les petits loulous,

    Je vous ai raconté l'autre jour l'histoire de la fée du lac d'argent, l'histoire d'un trollisson qui faisait référence à l'histoire du Trollisson "Mempapeur"....Une histoire terrriiiible...Eh bien la voici...

    Belle journée et

    Bizatoussssssssssssssssss

    La sorcière de la Chapelle

    La sorcière de la Chapelle

     

    • Salut ! je suis le Trollisson « Mempapeur » et je vais vous raconter l’histoire de mes ancêtres.

    « C’est une histoire terrrriiiible qui s’est déroulée il y a très très longtemps, dans un temps lointain où les châteaux étaient encore habités par des rois, des reines et des princesses magnifiques.

    Comme vous le savez, près de chaque château, les pigeons et oiseaux de passage trouvaient refuge dans un immense pigeonnier qui leur était réservé. Les pigeons-voyageurs qui y logeaient permettaient aux belles princesses d’envoyer des messages à leur prince charmant et aux princes charmants d’envoyer de longues lettres à leurs bien-aimées. Souvent, ils se donnaient rendez-vous dans une adorable petite chaumière située au fond du parc, à l’abri de tous les regards indiscrets....puis, les temps ont changé, les princes charmants ont cessé d’exister et ces maisonnettes ont été désertées. C’est à ce moment précis que se déroule l’histoire de mes ancêtres.

    La sorcière de la Chapelle

      Voyant cette bâtisse abandonnée, la sorcière de la Chapelle, jalouse de la beauté de la princesse Eva, décida de s’y installer pour mieux l’espionner. Elle l’observait lorsqu’elle se promenait sur les bords de l’Erdre, elle enrageait lorsqu’elle pagayait dans son canoé et devenait verte de colère lorsqu’elle montait à cheval. Qu’est-ce-qu’ elle était belle !! Beaucoup trop jolie à son goût ! Elle enviait sa beauté, sa grâce et la vie agréable qu’elle menait. Et puis, toujours aimable et souriante, elle s’attirait toutes les sympathies, ce qui ne manquait pas d’énerver la sorcière Malelunée ! Elle décida donc de fabriquer une potion magique pour la rendre laide ou pire encore une poudre magique pour la transformer en statue...

    La sorcière de la Chapelle

    C’est précisément dans cette période,  lors d’un hiver extrêmement rigoureux et glacial que la compagnie des Trollissons à laquelle appartenait mes arrières-arrières-arrières grands-parents eurent la bonne idée (ou plutôt la mauvaise idée) de squatter ce joli cabanon sur les bords de l’Erdre. La porte était ouverte, alors bien sûr, ils entrèrent sans se poser de question...Ils ont eu tort, parce que Malelunée, qui venait de sortir avec sa poudre magique dans l’espoir d’apercevoir la princesse Eva, les a vus entrer.

    • Tiens tiens tiens ! des trollissons ! dans MA maison !...eh bien, ils ne perdent rien pour attendre ces brigands!

    Une idée horrible lui a traversé l’esprit et elle est allée vite fait se cacher dans le tronc d’un énorme chêne non loin de là...Elle a attendu jusqu’au petit matin que les Trollissons sortent de la maisonnette avec leurs gros sacs sur le dos....elle a attendu, attendu...patiemment ! Elle savait qu’ils viendraient au pied de cet arbre pour regarder le soleil se lever et chanter pour fêter cette nouvelle journée...c’était leur habitude !

    La sorcière de la Chapelle

    Et c’est exactement ce qui se passa. Ils firent une grande ronde au pied du grand chêne et leurs voix s’élevèrent et se mêlèrent dans une étrange mélodie qui réveilla tous les oiseaux. Malelunée attendait avec tellement d’impatience ce moment qu’elle se précipita pour lancer sa poudre magique dans leur direction, les transformant instantanément en statues de bois. Mais, dans son élan, quelques fines particules de sa préparation se sont répandues autour d’elle, l’emprisonnant elle aussi dans le chêne...Oui, oui, c’est ça...elle ne peut plus sortir, mais elle est toujours là ! Et si jamais un passant s’attarde au pied du gros chêne, elle est encore capable de le transformer en statue de bois.

    La sorcière de la Chapelle

    Si je peux aujourd’hui vous conter cette histoire, c’est tout simplement grâce à mes arrières-arrières-arrières grands-parents qui étaient restés dans la cabane pour faire un peu de rangement. Ils ont été épargnés et ont assisté, impuissants à la scène. Ils  n’ont malheureusement rien pu faire pour délivrer leurs amis, mais ils se sont empressés de prévenir la princesse Eva afin qu’elle n’approche plus jamais de cet endroit maléfique, et que plus personne ne succombe au maléfice de cette horrible sorcière. Quand elle a su ce que lui préparait Malelunée, Eva est allée rejoindre son beau prince qui vivait loin de là, en Espagne.

    Les statues sont toujours là, au même endroit pour avertir les passants de la présence de la sorcière...Celle-ci attend désespérément dans le creux de son chêne qu’un Trollisson passe par là, le matin très tôt à l’heure où la rivière se couvre de reflets argentés.

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