• Belle journée à toutes et à tous,

    Poursuivons notre série des anecdotes concernant les "signes" que l'on reçoit

    En voici une concernant les "gribouillis" que l'on dessine inconsciemment lorsque l'on est occupé.

    Bon jeudi

    Une simple plume

    Une simple plume

       Pendant une réunion qui demande un minimum d’attention ou au téléphone, je me surprends bien souvent en train de griffonner n’importe quoi sur n’importe quel support. Si j’ai un crayon à portée de main - lorsque je ne le mâchouille pas - je gribouille sur une feuille de papier qui se trouve sur mon bureau….et si je me trouve à la plage en train de discuter, je peux tout aussi bien dessiner sur le sable avec le premier coquillage qui me tombe sous la main. Le résultat est complètement incohérent…et insignifiant. Du moins, c’est ce que je pensais avant une petite anecdote très récente!

    Bien sûr, je vais la raconter dans ces lignes, mais je reconnais qu’avant de me mettre à l’écriture du texte, j’ai fait quelques recherches sur Internet pour comprendre et trouver une explication à ce qui m’est arrivé (comme vous le savez déjà, je veux toujours une signification pour tout, même le plus étrange !)

     Je voulais donc en premier lieu, savoir si le fait de faire ces gribouillis, informes pour la plupart, était significative de quelque chose...et j’ai lu ceci : « Le fait de nous concentrer en gribouillant permet à notre cerveau d'évacuer d'autres pensées qui viendraient interférer dans la communication téléphonique. Bien plus qu'une simple distraction, le gribouillis permet de se détendre et de se relaxer ».

     Oui, Ok ça me semble évident, mais encore ?

    J’ai continué ma lecture et ce qui m’a paru très intéressant, c’est que le dessin représenté peut apporter des renseignements sur la personnalité de celui qui « dessine ». Si par exemple, on représente des fleurs, c’est notre côté romantique que l’on dévoile, un arbre, c’est l’image de soi et de son vécu que l’on fait ressortir...etc, etc 

    Là où cela devient intéressant, c’est le contenu, le dessin représenté.

    En un mot, le gribouillis est le miroir du subconscient. Il est vrai que l’on ne sait pas toujours pourquoi on dessine telle ou telle chose puisque l’on est en général très absorbé par ce qui est dit à la réunion ou au téléphone...

    Je me suis alors souvenu que durant mon adolescence, mes gribouillis étaient essentiellement le symbole de l’infini, symbole de la féminité, harmonie des énergies...Tiens, tiens !! J’ai aussi représenté des tas de fleurs...Tiens donc !!

    Mais revenons à nos moutons et à cette petite anecdote assez étonnante.

    Il y a quelques jours, je téléphonais à...à qui déjà ??? Je ne me souviens même plus ! (mon frère ?, l’une de mes filles ? mon fils ? une amie ?) Peu importe, ce dont je me souviens, c’est que j’étais hyper concentrée et que je dessinais quelque chose sur un papier que j’ai abandonné sur mon bureau sans même jeter un coup d’œil sur ce que j’avais représenté...

    Autant dire que j’avais complètement occulté ce dessin lorsque je suis sortie le lendemain pour faire quelques pas dans le quartier. Je marche beaucoup et j’aime observer tout ce qui se présente à moi. En cette saison, j’apprécie de voir chaque jour les transformations et les coloris changeants des arbres, les levers et couchers du soleil aux chaudes couleurs et même les formes des nuages qui filent rapidement dans le ciel....des tas de petits riens en l’air ou sur le sol.

    C’est justement en fixant le sol que mon regard s’est attardé ce jour-là sur une simple plume...mais si jolie et si fine que je l’ai ramassée. En arrivant à la maison je l’avais encore à la main lorsque je suis « tombée » sur le dessin que j’avais griffonné la veille....une plume !! Et pas n’importe quelle plume ! La même ! Même taille, même gabarit (voir photo)...incroyable...Sûr ! Me suis-je dit à cet instant, c’est un « Signe »... Oui, mais signe de quoi ???

    Eh oui ! Je n’allais pas passer à côté d’un truc aussi gros ! J’ai donc poursuivi mes investigations sur Internet et j’ai juste découvert que la plume symbolisait la communication...le message.

    Bon, pourquoi pas !

    Je restais un peu « sur ma faim » comme on dit...jusqu’au soir où je recevais des nouvelles d’une personne que je n’avais pas revue depuis bien longtemps ! Rien d’extraordinaire sûrement…sauf que tandis que j’écris ce texte, une amie m’envoie sur Messenger ….un adorable petit angelot ! Un messager!

    Étrange, non ?

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Coucou les petits loulous,

    C'est mercredi aujourd'hui, alors comme promis, la page du blog est pour vous.

    Aujourd'hui, une chanson bien connue à découvrir en remplissant les trous de cette lettre que je vous adresse.

    Belle journée et

    bizatousssssssss

    Quelle chanson?

    Coucou les loulous,

    Alors ? Dites-moi, comment s’est passée cette nouvelle rentrée scolaire ?

    Y en a- t –il parmi vous …………..ne sont  pas heureux d’avoir repris le chemin de l’école ?

    Personne,  j’en suis sûre, vous êtes trop content de retrouver vos copains ! Il y ………trop longtemps que vous ne les avez pas vus. 

    Par contre, dur dur de se lever le matin, et je sais que certains d’entre vous ont …….bien du mal à se réveiller et sortir du lit les premiers jour de …………..première semaine.

    Je me trompe ? Où ai-je pris cette ………………saugrenue ? Me direz-vous.

    Eh eh, pas ………….la guêpe, j’ai été jeune bien  avant vous. Bon je sais, c’était il y a fort longtemps, mais quand même.

    Mon petit doigt m’a dit aussi que certains d’entre vous avaient déjà eu ………..petit mot dans leur cahier à cause de leur retard ! Mais je ne suis pas une moucharde et je ne citerai pas de nom, ni le ………..où c’est arrivé.  Et je sais aussi qu’il est inutile de chercher ou ………………une excuse. Ça ne marche pas. Alors pas de réveil qui a oublié de sonner, pas de bus en retard, pas de « je croyais qu’on était mercredi » et que …………était fermée !  Non non non.

    Les profs ne sont pas dupes. Ils en ont vu d’autres eux aussi.

    Alors maintenant, il ne vous reste plus qu’à remplir les trous de ce texte et à trouver la première phrase d’une chanson bien connue des écoliers. Quel est son titre ???

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Bonjour tout le monde,

    Félicitations à Nono, Maëlle et les autres....Vous avez retrouvé tous (ou presque) les mots cachés dans ces deux textes " Rentrée des classes" et "Harmonie" ...

    j'avoue que j'ai refait moi-même l'exercice et qu'il m'en manquait quelques-uns (j'avais oublié mes propres cachettes !)

    Voici donc les solutions de ces deux textes....

    Demain, un petit jeu pour les enfants (et les grands) ...eh oui!  C'est mercredi.

    Belle journée

     

    Rentrée-harmonie: solution

    Rentrée des classes

      C’est le jour J

    • Allez, tout le monde debout ! Ce n’est plus le moment de dormir !!  On se lève, on s’habille, on déjeune, on se brosse les dents, on se coiffe, on prend ses petites affaires et hop ! on file à l’école.

    Maman s’est précipité dans la chambre, et ce n’est plus à pas feutrés, mais  avec grand fracas qu’elle est venue dans la chambre des enfants pour ouvrir les rideaux afin de laisser entrer un peu de lumière.

    • J’ai dit « debout ». Les vacances sont terminées. Il faut aller en classe, heureusement que je suis là pour vous réveiller !

    Dans toutes les maisons, les chaumières et les appartements, c’était  le même branle-bas de combat, et dès six heures du matin on a pu voir toutes les lumières du lotissement s’allumer en même temps (ce n’est pas la peine de relire dix fois, il n’y a rien de caché dans cette phrase !)

    C’est fou le temps qu’on passe à se préparer en ce jour de rentrée!!

    Tout en prenant son petit déjeuner très copieux, Ewenn calcula tristement le nombre de jours qui le séparait des prochaines vacances.

    • Finalement, je n’ai pas envie de terminer mon bol de lait. Il est caillé, se plaignit-il.

    De son côté, son cousin Marc rayonnait. Il avait tellement hâte de retrouver ses copains qu’il se livrait à une danse complètement stupide, la chemise ouverte et les cheveux gominés, un peu du style « homme des cavernes ». Il essayait d’incarner son héros favori, le grand marqueur de buts, lorsqu’il s’agite sur les terrains de foot après avoir envoyé son ballon dans la cage.

    Noah, blanc comme un linge, le nez retroussé, tentait désespérément de l’imiter, mais le cœur n’y était pas. La rentrée avait dû le rendre malade.

    A peine sortis de leurs maisons, tous les loulous se précipitèrent en courant vers leurs établissements respectifs, sans tenir compte de la circulation :

    • Règle numéro 1 : Regarder à droite et à gauche avant de traverser la route, crie la gendarmette scotchée devant l’école.

    Les enfants s’agglutinent près d’elle devant la porte, sans trop l’écouter. Les conversations vont bon train, allant des kermesses de fin d’année aux nouveaux instituteurs, en passant par les bonnes notes qu’ils rapportent heureusement à la maison en fin de trimestre.

     Ils attendent la sonnerie avec impatience, jetant un œil distrait au toit d’ardoises luisantes surplombant la cour recouverte des feuilles qui s’échappent déjà des grands marronniers.

    La cloche retentit enfin. Ernest habile au démarrage, est le premier à pénétrer dans la cour, suivi de toute la meute d’élèves.

    Avant de partir à votre tour, n’avez-vous rien oublié ? Jetez un coup d’œil sur le texte et faites le bilan de tout ce que vous devez apporter à l’école pour travailler…il y a, si mes comptes sont bons, vingt-six objets.

    Et c’est sans parler de ce petit malin qui a ajouté dans son cartable de quoi jouer à la récréation…A vous de découvrir ce « jeu »...un vingt-septième objet à découvrir.

     

    Rentrée-harmonie: solution


    Quelle harmonie !

     

       Je me suis réveillée si tard ce matin que je devrais vaquer à mes occupations plutôt que de me vautrer sur ce banc joliment recouvert de coussins...Bien sûr, mais, comme des millions de personnes, j’ai les yeux rivés sur la télé pour essayer d’apercevoir la reine Élisabeth II faire une halte au balcon. A l’heure qu’il est, personne ne sait encore si sa santé le lui permettra. Elle a tellement lutté contre la maladie depuis plusieurs semaines que c’est clair, on croise les doigts pour qu’elle soit suffisamment vaillante pour participer à son propre jubilé.

     Tout le monde attend, bourré d’espoir. Pour les anglais, c’est sacré ! Celle qu’ils vénèrent tant doit être là ! Pour cette femme pas de répit, à noter qu’elle le veut bien…sans doute par devoir, mais certainement pas par orgueil !!

    Certains engagent des paris sur sa présence ou sur la couleur de sa robe et de son traditionnel chapeau... Moi-même, j’ai parié vingt-cinq balles avec ma fille que non seulement elle fera une apparition, mais qu’elle sera vêtue d’une tenue orange avec une écharpe blanche.

    En attendant, je m’amuse en assistant au défilé des milliers de soldats qui, loin d’être abattus, battent le pavé en mesure. Une  bien  belle harmonie car aucun faux pas ne peut être accepté. Ils sont en parfait accord et on les voit évoluer tels des soldats de plomb. Esclaves simplement d’une rigueur exemplaire, ils forment, tout en se déplaçant lentement au pas et en rangs serrés, des figures géométriques : des lignes, des carrés et même des triangles. Ce « Corps » ne musarde pas ! Tout est parfaitement orchestré...rien ne cloche...Aucun parmi eux ne se trompe étant donné les milliers d’heures de répétitions qu’ils ont dû endurer.

    A côté de moi, assise sur une grosse caisse, Mara casse des noisettes qu’elle grignote en attendant... Pendant ce temps sa fille est en train de siffler une menthe à l’eau dans une timbale en plastique, tout en feuilletant son album préféré : la belle au bois dormant.

    • Ils sont un peu gonflés d’exiger autant de discipline à ces pauvres soldats ! me dit ma fille
    • Et encore tu n’as pas tout vu ! Regarde la beauté des chevaux qui défilent avec tant d’élégance pour la Reine. Là-bas, son fils accompagné de la princesse Anne et de William montent de magnifiques pur-sang. Loin d’arriver en trombe au niveau du palais, ils avancent au pas, accompagnés par toute une batterie de musiciens.

    Soudain, les caméras se braquent sur le balcon du palais de Buckingham. La reine vient d’arriver, sans chanceler ni grelotter, magistrale et superbe dans son manteau bleu assorti à son chapeau entouré de roses en soie blanches.

    • Flute alors ! J’ai perdu mon pari...mais qu’elle est belle !!!
    • Oui, et ce n’est pas du pipeau! Elle ne fait pas son âge. Qui pourrait imaginer qu’elle est si fatiguée !....Elle ne semble ni affaiblie, ni alanguie, ta reine..après sa vie au long cours, elle est encore bien courageuse et semble si forte ! On devrait donner une amende aux linottes qui disent le contraire !

    En contrebas, se massent des milliers de personnes venues acclamer leur reine. Magnifique, accompagnée de presque toute sa famille, elle discute avec ses petits-enfants debouts sur une cale basse, et l’on ne peut que constater cette tendresse qui les unit. Elle suit du regard le survol aérien de la Royal Air Force, et là, un immense sourire se dessine sur son visage. Élisabeth,  dans un éclat, rit nettement.

    Et maintenant, n’entendez-vous pas la musique qui emplit l’atmosphère ? En effet, trente-huit instruments de musique se sont cachés dans ce texte…mais où ???

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Coucou les petits loulous,

    Je n'oublie pas les plus jeunes d'entre vous, alors voici une histoire (presque vraie ) avec  plein d'images

    Belle journée et

    Bizatousssssssssss

    Si on lisait

    Si on lisait ?

    • Il fait drôlement chaud aujourd’hui ? Qu’est-ce-que vous faites les filles ? Demande Bilou le Hibou à Gigi la Grenouille et sa copine Lili la Tortue.
    • On a pris un livre dans la bibliothèque et on va le lire à l’ombre des aloès, répond Gigi
    • Quelle belle idée ! Je peux vous accompagner ?
    • Bien sûr lui dit Lili en prenant tout son temps

    Si on lisait

    Et voilà nos trois amis confortablement installés dans le petit parterre que je bichonne depuis des mois…Je les observe du coin de l’œil.

    • Qu’est-ce- que tu lis ? Demande la grenouille
    • Oh ! un polar qui effraie un peu, mais c’est assez chouette ! Répond le hibou, et toi ?
    • Coa ? Ah oui, un conte de fée…une petite rainette qui veut rencontrer son prince charmant…elle est allée au bal…il était tard... et…
    • Pas… si …vi…te, la coupe la tortue en détachant chaque syllabe !! Je ne veux pas connaitre la fin. Je lirai ton livre quand j’aurai terminé le mien.

    Si on lisait

    La grenouille et le hibou éclatent de rire.

    • Et bien ! On a le temps d’en lire plusieurs, tu en es toujours à la première page... De quoi il parle ton roman ?
    • Oh ! Ce n’est pas un roman, c’est l’ autobiographie de Lulu, ma copine…C’est assez long !
    • Ah bon ?
    • Oui, elle a eu une vie très trépidante !
    • Ah ?
    • Il parait qu’elle a fait une course mémorable avec un lièvre…
    • Et ???
    • Elle a ga…gné !!

    Mort de rire le hibou reprend sa lecture à l’ombre d’un aloès géant

    Si on lisait

    • Tu ne devrais pas te moquer Hibou ! Retourne ton livre si tu veux vraiment le lire ! Tu n’es pas une chauve-souris que je sache !

    Du coup, c’est la grenouille qui se tord de rire et qui tombe à la renverse dans une énorme flaque d’eau, ce qui cause évidemment l’hilarité générale.

    Si on lisait

    La séance lecture est terminée ! Décidément, nos amies les bêtes ne sont pas des lectrices assidues !!!

    A mon tour, j’attrape le livre que j’avais posé sur mes genoux pour les observer et reprends le cours de ma lecture. 

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Bonjour tout le monde,

    La voilà ! La nouvelle histoire-jeu avec quarante six plats à déguster sans modération...De quoi vous mettre l'eau à la bouche...

    Et ne me dites pas que vous n'avez pas d'idée de menu pour ce midi ou ce soir !

    Là vous en avez bien pour une bonne semaine !!!

    La solution dimanche prochain (avec une nouvelle histoire-jeu du même acabit )

    Bon dimanche à toutes et à tous

    Qu'est-ce-qu'on mange?

    Qu’est-ce-qu’on mange ce soir ?

     

       Je suis sûre que vous l’avez déjà entendu cette petite phrase glaçante ! Ça fâche illico n’est-ce-pas ? Vous qui n’aviez qu’une envie en rentrant du boulot : sauter dans vos chaussons… hop !  Elle arrive, insidieuse de la bouche et de vos enfants et de votre conjoint ! Vous êtes soufflée, sous le choc…Vous ne  vous attendiez  pas hélas à ce qu’on vous annonce que la popote est prête, que vous pouvez enfin voir le bout d’un jour épuisant et vous mettre les deux pieds sous la table !!!

    Non bien sûr ! Mais tout de même, il est tard…tard tous les soirs lorsque vous arrivez, et il n’y a personne qui cherche à vous faire plaisir ! Et mince ! Et pourtant, ce n’est pas terrible de préparer un petit quelque chose !

    En disant cela, je pense à ma copine Charlotte ! Son mari Christian, un pote âgé, toujours prévenant, l’accueille chaque soir avec le sourire et lui propose même de feuilleter un magasine au fond du canapé pendant qu’il prépare le repas !

    Comment ça « Il a quelque chose à se faire pardonner ! » Je vous entends, vous le soupçonnez de je ne sais quoi, mais non !

    Et non, ce n’est pas une farce ! 

    « Ça la déstabilise ??? » Mais non pas du tout ! Qu’allez-vous imaginer?

    C’est ça ! Le couple parfait en somme !

    Bon, je sais, ce cas saoulait mes copines, un peu jalouses, je pense. Ça les fait bisquer ! D’ailleurs, ça énerve toujours quand je parle d’eux, car bonne à raconter les histoires des autres, j’en oublie que c’est différent ailleurs.

     Et d’ailleurs, je devrais peut-être me mettre aux fourneaux…mon fils Paul entasser ses briques dans un coin de la pièce et se tortille, à croire qu’il a faim. Pour le moment, il essaie de faire tenir une balle au sommet de sa tour :

    • J’admire ta patience, lui dis-je, ta boule est en déséquilibre…elle va tomber !
    • Je sais, les galets tiennent mieux, mais je n’en ai pas ici.

    Je pars en trottinant dans la cuisine. Dans ma précipitation, je glisse et je me gaufre par terre…j’entends un crac, les tulipes tombent avec leur vase sur le sol, et je me coupe avec un morceau de verre. La boulette ! C’est bien ma chance, la coupure et ma main endolorie vont m’handicaper pour préparer le repas.

    Je cherche une  idée simple de menu pour ce soir…Ce n’est pas le moment de flancher ! Je jette un coup d’œil sur l’ardoise ou j’ai noté quelques recettes faciles à la craie pour avoir des idées les jours sans.

    • Tu as le teint blanc, qu’est-il arrivé ? me lance mon mari en croquant une pomme. Il revient tout juste d’un stage inévitable d’une semaine.
    • Oh rien ! Je n’ai pas la frite. Ma coupure gratte un peu et j’ai le dos bousillé après ma chute. Je veux bien un petit massage tiens…la crème chauffante est dans la pharmacie.
    • OK, mais dis-moi : qu’est-ce-qu’on mange ce soir ?
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    1 commentaire