• Bonjour tout le monde,

    Dans la page 14 de notre cahier de vacances, le texte comporte quelques "trous" qu'il faut remplir pour trouver une "maxime" très connue .

    Également, solution du jeu de la page 13

    Belle journée à tous

    Texte à trous - page 14

    Courage !!

     

    ……… fait hyper chaud aujourd’hui ! Cela fait déjà un bon moment que la canicule s’est installée confortablement sur notre pays. On vit au ralenti et rien……. nous incite à bouger. Pourtant, j’ai des tas de choses à faire. Il..…..absolument que je fasse mon repassage, mais par cette chaleur ! Impossible ! J’essaierai demain matin. Je dois aussi aller porter un paquet à la poste, mais ........je n’y parviendrai avant la fermeture si j’attends une température plus clémente.

    Tiens en parlant de fermeture, ça me fait penser que je dois également ........ une fermeture éclair ......... jean de mon loulou, eh bien, ça attendra cela aussi.

    Pourtant, il y a quelques jours, j’étais hyper motivée et j’ai réussi à abattre une tonne de boulot, mais dès le ........., avec la température qui s’est mise à grimper, je n’avais plus aucun courage, et depuis, je traine ma misère. Tout ira mieux dans quelques jours, enfin, je l’espère, c’est ..........    .......... la météo annonce en tout cas.

    Vivement donc les jours prochains que .......... y voit plus clair ! On ne .......... tout de même pas rester à rien ........... trop longtemps.

    Bon, demain, je m’y mets sérieusement, je vais commencer par .......jardin au lever du ..........Il fera plus frais. Et puis, si l’après-midi la température est trop élevée, eh bien je ferai la .........chose qu’aujourd’hui, c’est à dire un peu de chaise longue.

    Voilà, avec tout ça, il fait si chaud que certains mots se sont effacés dans ce texte (quinze au total) il suffit de les retrouver pour découvrir la « maxime » que j’aurai dû appliquer ces jours-ci.

     

    Oh !  T’as ri !

    Voilà ! C’est l’histoire de Colin, un loup de mer, un marin quoi !....dont l’épouse, Anne, a régné dans un château sur un piton rocheux,  dans un lieu que j’ignore, autour de la France. Normal, c’est une petite reine, une reinette quoi ! Lui, c’est un Grand-Duc, chevalier de surcroit. D’un certain âge, mais encore beau. Il a une bonne hygiène de vie, n’a pas de canne ni de tiques, a le dos fin, le nez rond, des pouces sains, une longue chevelure avec une raie au milieu…et un cou ! l’œuvre  signée d’un artiste d’un don certain, qui l’a peint sans nul doute.

    C’est un homme serein qui ne râle jamais, un gros nounours. Rien ne l’effraie, il n’a jamais le bourdon ni le cafard, sourit tout le temps et ne fouine pas dans les affaires des autres... ça vaut de l’or et c’est rare !

    Alors il faut que vous me disiez pourquoi il se cache à l’eau dans la Loire, sans prendre son élan ni son temps ! ... ça sert à quoi ? Il pourrait se noyer..

    • C’est assez dit-il, je caille...je sors, je mets le turbo  et je me sèche sur le sol pendant que vous toppez  les cinquante  bestioles cachées…
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  • Coucou les petits loulous,

    Je vous ai raconté l'autre jour l'histoire de la fée du lac d'argent, l'histoire d'un trollisson qui faisait référence à l'histoire du Trollisson "Mempapeur"....Une histoire terrriiiible...Eh bien la voici...

    Belle journée et

    Bizatoussssssssssssssssss

    La sorcière de la Chapelle

    La sorcière de la Chapelle

     

    • Salut ! je suis le Trollisson « Mempapeur » et je vais vous raconter l’histoire de mes ancêtres.

    « C’est une histoire terrrriiiible qui s’est déroulée il y a très très longtemps, dans un temps lointain où les châteaux étaient encore habités par des rois, des reines et des princesses magnifiques.

    Comme vous le savez, près de chaque château, les pigeons et oiseaux de passage trouvaient refuge dans un immense pigeonnier qui leur était réservé. Les pigeons-voyageurs qui y logeaient permettaient aux belles princesses d’envoyer des messages à leur prince charmant et aux princes charmants d’envoyer de longues lettres à leurs bien-aimées. Souvent, ils se donnaient rendez-vous dans une adorable petite chaumière située au fond du parc, à l’abri de tous les regards indiscrets....puis, les temps ont changé, les princes charmants ont cessé d’exister et ces maisonnettes ont été désertées. C’est à ce moment précis que se déroule l’histoire de mes ancêtres.

    La sorcière de la Chapelle

      Voyant cette bâtisse abandonnée, la sorcière de la Chapelle, jalouse de la beauté de la princesse Eva, décida de s’y installer pour mieux l’espionner. Elle l’observait lorsqu’elle se promenait sur les bords de l’Erdre, elle enrageait lorsqu’elle pagayait dans son canoé et devenait verte de colère lorsqu’elle montait à cheval. Qu’est-ce-qu’ elle était belle !! Beaucoup trop jolie à son goût ! Elle enviait sa beauté, sa grâce et la vie agréable qu’elle menait. Et puis, toujours aimable et souriante, elle s’attirait toutes les sympathies, ce qui ne manquait pas d’énerver la sorcière Malelunée ! Elle décida donc de fabriquer une potion magique pour la rendre laide ou pire encore une poudre magique pour la transformer en statue...

    La sorcière de la Chapelle

    C’est précisément dans cette période,  lors d’un hiver extrêmement rigoureux et glacial que la compagnie des Trollissons à laquelle appartenait mes arrières-arrières-arrières grands-parents eurent la bonne idée (ou plutôt la mauvaise idée) de squatter ce joli cabanon sur les bords de l’Erdre. La porte était ouverte, alors bien sûr, ils entrèrent sans se poser de question...Ils ont eu tort, parce que Malelunée, qui venait de sortir avec sa poudre magique dans l’espoir d’apercevoir la princesse Eva, les a vus entrer.

    • Tiens tiens tiens ! des trollissons ! dans MA maison !...eh bien, ils ne perdent rien pour attendre ces brigands!

    Une idée horrible lui a traversé l’esprit et elle est allée vite fait se cacher dans le tronc d’un énorme chêne non loin de là...Elle a attendu jusqu’au petit matin que les Trollissons sortent de la maisonnette avec leurs gros sacs sur le dos....elle a attendu, attendu...patiemment ! Elle savait qu’ils viendraient au pied de cet arbre pour regarder le soleil se lever et chanter pour fêter cette nouvelle journée...c’était leur habitude !

    La sorcière de la Chapelle

    Et c’est exactement ce qui se passa. Ils firent une grande ronde au pied du grand chêne et leurs voix s’élevèrent et se mêlèrent dans une étrange mélodie qui réveilla tous les oiseaux. Malelunée attendait avec tellement d’impatience ce moment qu’elle se précipita pour lancer sa poudre magique dans leur direction, les transformant instantanément en statues de bois. Mais, dans son élan, quelques fines particules de sa préparation se sont répandues autour d’elle, l’emprisonnant elle aussi dans le chêne...Oui, oui, c’est ça...elle ne peut plus sortir, mais elle est toujours là ! Et si jamais un passant s’attarde au pied du gros chêne, elle est encore capable de le transformer en statue de bois.

    La sorcière de la Chapelle

    Si je peux aujourd’hui vous conter cette histoire, c’est tout simplement grâce à mes arrières-arrières-arrières grands-parents qui étaient restés dans la cabane pour faire un peu de rangement. Ils ont été épargnés et ont assisté, impuissants à la scène. Ils  n’ont malheureusement rien pu faire pour délivrer leurs amis, mais ils se sont empressés de prévenir la princesse Eva afin qu’elle n’approche plus jamais de cet endroit maléfique, et que plus personne ne succombe au maléfice de cette horrible sorcière. Quand elle a su ce que lui préparait Malelunée, Eva est allée rejoindre son beau prince qui vivait loin de là, en Espagne.

    Les statues sont toujours là, au même endroit pour avertir les passants de la présence de la sorcière...Celle-ci attend désespérément dans le creux de son chêne qu’un Trollisson passe par là, le matin très tôt à l’heure où la rivière se couvre de reflets argentés.

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  • Belle journée à toutes et à tous,

    Depuis l'histoire qui va suivre, je fais régulièrement le petit exercice cité à la fin...Je ne désespère pas...Il faut sans doute plus de temps que je ne l'imaginais ....

    Promis, j'écris une histoire lorsque cela se réalisera !!!

    Bon mardi à tous

    Loi d'attraction

    La loi d’attraction

     

       Depuis le matin, je n’arrêtai pas d’y penser ! Enfin, je n’avais pas encore réussi à chasser de mon esprit ce pendentif perdu quatre jours plus tôt.  Il y a comme ça des objets auxquels on est attaché comme à des doudous. Je précise que cette magnifique pierre bleue cerclée d’argent m’avait été offerte par ma mère le jour de mes dix-huit ans. Je la trouvais si jolie qu’elle n’avait pratiquement jamais quitté mon cou pendant plus de cinquante ans !!

    Si j’étais « légèrement » obsédée par sa disparition, j’avais une excuse, non ?

    J’aurais pourtant dû m’en douter, car à plusieurs reprises, elle s’était échappée de la chaine qui la supportait, mais comme je m’en apercevais aussitôt, je n’y faisais pas cas.

    Aussi, lorsque nous sommes allés faire notre balade hebdomadaire avec notre voisine, je ne m’attendais pas à le perdre ce médaillon. C’est en arrivant à la maison que ma chaine a glissé au beau milieu du salon. Lorsque je l’ai vue, sans le pendentif, je me suis simplement dit qu’il avait dû tomber à côté, sous le canapé ou à proximité...mais rien. Je suis allée devant la maison, puis j’ai refait les derniers cinq cents mètres en scrutant le sol...mais rien. Pendant quatre jours, j’ai refait ce bout de chemin (il ne pouvait tout de même pas s’être échappé avant !!)...mais rien !

    Autant chercher une aiguille dans une botte de foin ! Avec toutes ces feuilles ! Et ça tombe encore ! Et puis, il est possible que je l’ai perdu plus tôt dans notre circuit, après tout. La chaine serait juste restée accrochée à mon pull...Alors là ! Galère ! Nous avons fait 7, 40 kms en privilégiant les petits chemins, sous-bois et sentiers à moitié boueux le long de l’Erdre (voir plan !). J’ai autant de chance de le retrouver que de gagner le gros lot au loto ! Mon seul espoir : Que quelqu’un le retrouve et le porte aux objets trouvés !! (Hum !)… Enfin qu’il ait été retrouvé le jour même, parce que quatre jours après... et en automne !!!

    Bref, pour tenter de tourner la page et de « libérer » mes pensées de cette pierre que décidément je ne retrouverai pas, j’ai décidé ce matin-là de rappeler sur mon blog l’histoire des bijoux qui disparaissaient les uns après les autres sans raison (le 12 novembre). Puis, pour l’illustrer je passe un long moment à rechercher dans mes archives, des photos de cette magnifique pierre bleue. Trop facile, je la portais toujours. Il suffit juste de dégoter une photo avec ma tronche. Moins facile (c’est toujours moi qui prends les photos !).  Enfin, j’en trouve deux ou trois et j’isole le pendentif en ouvrant les photos avec « Paint ». Ça me fait drôle de le revoir et je suis heureuse de l’avoir porté si longtemps...quoique, avec un petit « pincement » quand même....mon doudou !!

    Enfin délivrée, je file au bourg de la Chapelle pour poster une lettre. Bien sûr,  comme il s’agissait du début du chemin que j’avais pris quatre jours plus tôt, je regarde quand même sur le sol (on ne sait jamais).

    Je remonte la rue, emprunte un petit chemin, puis un autre,  longe les trottoirs jusqu’au centre en prenant soin de rester sur le côté droit. Ils ont été nettoyés !! S’il restait une once de chance, elle s’évanouit aussitôt...mais je le savais, ce n’est pas une surprise.

    Au retour, je recommence quand même l’expérience en me disant qu’il ne me restera plus que six kilomètres sur les bords de l’Erdre à explorer ! N’importe quoi !

    Mes yeux ne quittent pas le sol et j’imagine ma pierre dans chaque touffe d’herbe, entre les cailloux, sur une feuille sèche. Je la « vois » nettement comme si elle y était !  C’est incroyable ! Je la connais tellement « par cœur » que son image est nette sous mes yeux....comme si je venais de la poser. C’est vraiment étrange d’imaginer un objet qui n’existe pas au point de le « Visualiser » réellement et parfaitement!

    J’en suis là de mes réflexions lorsque je m’arrête au milieu du chemin des Réages. Je me dis au fond de moi que je ne peux pas l’avoir perdue, elle est toujours là ! Je baisse les yeux et laisse échapper un « Oh !!! » incrédule. Devant moi, juste devant mes pieds, « Mon Pendentif »  est cette fois bien réel ! Je reste quelques instants interloquée...C’est exactement comme l’histoire des « petits oiseaux » que j’avais retrouvés dans l’immensité d’un terrain de foot lorsque j’étais enfant. Je m’étais jetée en plein milieu, n’importe où, en pleurs, et je les avais retrouvés là, sous une larme !!

    • C’est la loi d’attraction, ma p’tite mère, me lance ma fille lorsque je lui raconte cette anecdote. Tu l’as tellement visualisée que tu ne pouvais que la retrouver ! Tout ce que tu souhaites et que tu visualises se réalise.
    • Super ! Alors, je vais de ce pas visualiser un chèque de 500 000 euros !
    • Pourquoi te limites-tu ?
    • Oh, pour commencer, ce sera déjà pas mal pour acheter une petite maison familiale à Piriac, tu ne crois pas !

    Alors ! Au boulot !

    Loi d'attraction

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  • Coucou les petits loulous,

    Vous êtes toujours en vacances ? Avec Papa et Maman ou avec Papy et Mamy ? Peu importe, si vous faites du camping au bord de la mer...faites quand même attention...je me souviens d'une année ou une méchante sorcière a voulu s'attaquer à des enfants...et de quelle manière !!!

    Si vous voulez connaitre le début de l'histoire  de Tartalapraline, vous la trouverez dans la rubrique "histoires pour enfants" ( à gauche de l'écran, version PC)

    Belle journée et

    Bizatousssssssssss

    L'arbre à bonbons

    L'arbre à bonbons

    Mais où sont passés les enfants ?

    Depuis ce matin, à tour de rôle, les parents et grands-parents arrivent à l’accueil les uns après les autres, complètement essoufflés, et surtout terriblement inquiets, voire en pleine crise de panique. Ils ont fouillé le terrain de camping de fond en comble, les tentes, les caravanes, les camping-cars, les sanitaires et la bibliothèque...et rien ! Plus un môme à l’horizon ! Les plus grands ne squattent plus le terrain de jeux pour une partie de ballon ou de pétanque, et plus un bambin sur les jeux de cordes et les toboggans !!

    Mais que se passe-t-il ?

    • Vous êtes allés voir sur la plage ? leur demande Annie, avec toujours ce sourire rassurant qui ne la quitte jamais.
    • Oui, bien sûr ! et dans le bourg de Piriac... au cas où TOUS, sans exception, auraient eu la même idée en même temps, c’est à dire, aller faire un tour de manège ou manger une glace au « Pôle Nord ».

    Annie reste perplexe. C’est quand même étrange que toute la marmaille disparaisse en même temps.

    • Vous êtes sûrs qu’ils ne sont pas en train de vous faire une blague ? Ils se sont cachés à coup sûr !
    • On a cherché partout !!

    Bienveillante, Annie conseille à tous les campeurs de rentrer tranquillement dans les caravanes et d’attendre... elle va mener son enquête et ramener tous les enfants avant ce soir... C’est promis !

    Toujours optimiste, gaie comme un pinson et surtout très proche des enfants, Annie n’est pas du genre à se laisser destabiliser...il y a une solution, et elle va la trouver.

    Elle commence par consulter le tableau des entrées dans le camping depuis hier matin ... au cas où ! Uniquement des campeurs qu’elle connait depuis des années ! ...

    • Tiens, tiens, mais il y a bien cette dame qui est arrivée toute seule hier... et presque sans bagages !! Madame Tarline. C’est vrai que Je l’ai trouvée bizarre avec sa longue robe noire et son drôle de chapeau pointu, noir aussi ...mais si on se méfiait de tous les gens bizarres ! ... Voyons, voyons, elle a absolument tenu à s’installer au C9 bis, cet emplacement isolé...je vais aller voir, mine de rien.

    Au C9 bis, Annie découvre une yourte. Oui oui, une yourte ! Et gigantesque de surcroit ! Tout ça pour une seule personne sans bagages ! Elle est fermée, mais de délicieuses effluves de chocolat chaud, de miel, de cannelle et de confiture de fraise s’en échappent, lui chatouillant agréablement les narines...de plus en plus surprenante cette histoire !

    Annie contourne la yourte et – son instinct ne l’avait pas trompé – l’entrée du petit bois est juste derrière. Le petit bois ! Un endroit quelque peu abandonné depuis que la famille Picotin a rencontré un « dahu » qui rôdait par-là...Annie s’y aventure quand même, et découvre, posé contre un arbre, le vélo de Lounis, et plus loin, celui d’Estéban. Elle avance doucement, traverse un buisson d’épines noires, s’érafle un peu les jambes, mais continue lentement sa progression parmi les sapins, les chênes, les bouleaux et....

    • Oh ! mais qu’est-ce...mais c’est...mais oui ....UN ARBRE A BONBONS !!

     Annie reste scotchée : devant ses yeux, un gigantesque arbre rempli de nougats, sucettes, guimauves, sucres d’orge, fraises tagada, réglisses, berlingots, calissons et caramels au beurre salé de Guérande, s’offre à elle...à portée de mains...Elle avance le bras pour cueillir un chamallow, puis se ravise. Elle vient de s’apercevoir que l’arbre se divise en trois grosses branches distinctes et qu’au centre du tronc, un énorme trou est creusé à la manière d’un puits.

    Annie a tout compris ! C’est encore un tour de Tartalapraline !! madameTarline, c’est elle ! (Tar- talapra-line) voilà, c’est ça !! Elle a pris le début et la fin de son nom ! Heureusement, Annie connait son histoire ! Elle sait qu’elle est revenue de Madagascar et qu’elle attendait le moment propice pour recommencer à attirer les enfants avec ses friandises...pour les « manger » !! Quelle horreur !

    • Je vois, les enfants ont dû passer par là....A coup sûr, ils ont voulu cueillir les sucreries ... et...mais oui, c’est ça ! ils ont été aspirés dans le trou ! mais comment les ressortir !

    Elle ne voit qu’une solution, appeler les pompiers et les gendarmes, leur expliquer la situation, et attendre leur arrivée.

    Les pompiers ne tardent pas. Ils plongent dans la cavité à l’aide de grosses cordes et ressortent...avec les enfants complètement affolés. Ils étaient emprisonnés au fond de cet immense abîme qui communique par un sous-terrain avec la yourte de la sorcière !

    Pendant ce temps, les gendarmes n’ont pas tardé à appréhender Tartalapraline, désormais sous les verrous pour un bon bout de temps....temps pendant lequel Annie s’en donne à cœur joie, accompagnée de tous les loupiots, pour faire la meilleure récolte de tous les temps.

    A titre indicatif : l’arbre à bonbons vient de refleurir !!!!

     

     

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  • Belle journée à toutes et à tous,

    Place à "l'étrange" aujourd'hui avec cette anecdote bien connue de tout mon entourage, mais qui me fait toujours "frémir" lorsque j'y repense..

    Quelqu'un d'autre a-t-il déjà vécu cette "expérience" ???

    Bon mercredi à tous

    visite inattendue

    Visite inattendue

     

    Dans le petit village de Bretagne où il vit depuis déjà quelques années avec ses deux filles, mon frère partage son temps entre sa profession d’enseignant et la rénovation de sa maison. Je dis « maison », mais en  fait, il s’agit plutôt d’une « grange » au toit de chaume assez typique. Elle est relativement grande mais carrément vide. Tout est inventer et créer à l’intérieur. Après des heures et des mois de travaux, le résultat est plutôt sympa : une vaste pièce de vie dominée par une immense cheminée et cuisine attenante au rez-de-chaussée, belle salle de bains en contrebas, et chambres à l’étage. Le style assez rustique apporte un charme fou à cet intérieur chaleureux ou l’on se sent particulièrement bien tout simplement.

      Un soir, après sa journée de travail, mon frère veille un peu plus tard que d’habitude. A l’étage, ses filles dorment tranquillement et il en profite pour terminer ses préparations de classe. Cahiers, livres, polycopies et autres recouvrent la lourde table de chêne qui trône au milieu de la pièce, et tandis qu’il rédige le déroulement des séances de sa journée du lendemain sur son « cahier-journal », il ressent une présence tout près, et un regard posé sur lui, juste derrière son dos. Il n’y prête que peu d’attention, attribuant cette impression à la fatigue accumulée dans la journée...il faut bien admettre que les journées d’un homme qui travaille et élève seul deux enfants sont sensiblement équivalentes à celle d’une maman seule !!!

    Il poursuit ses écritures mais la persistance du regard l’incite à se retourner presque malgré lui.

    Il aperçoit alors un vieil homme, assis sur les marches les plus basses de l’escalier qui le fixe sans rien dire...calme. Il jette un coup d’œil sur la porte d’entrée : non, non, il n’a pas oublié de la fermer. Personne donc n’a pu entrer.

    Le jeune homme se frotte les yeux : «  je dois être bien fatigué » se dit-il « je n’ai pourtant pas abusé des excitants ! » Il n’est pas non plus un adepte des drogues et autres stupéfiants. Il reprend son crayon et continue son travail.

    Intrigué malgré tout, il se retourne une nouvelle fois pour s’assurer qu’il s’agit bien d’une hallucination...et se retrouve une nouvelle fois en présence de cet inconnu, toujours silencieux, vêtu d’un costume croisé, cintré,  et d’un pantalon rayé assortie à la veste. Un chapeau sur la tête, il arbore une grosse moustache en guidon de vélo (30 ans après cette vision, le portrait de cet homme est encore gravée dans la mémoire de mon frère qui peut en faire une description encore plus précise que les quelques mots que je note dans ce récit !)

    Un peu « secoué » je pense, il ne cherche pas à lui adresser la parole et lui tourne le dosavant de se retourner une troisième fois, bien décidé du coup à lui demander des explications...

      Personne, l’homme a disparu !!

    Un peu inquiet sur son état de santé, mon frangin monte se coucher sans demander son reste. Il va sans dire que le sommeil n’arrive pas facilement !!!

       Les jours suivants, il raconte son aventure à ses amis qui ont bien du mal à la prendre au sérieux !! On a facilement tendance à mettre la santé mentale des gens en cause lorsqu’il s’agit de phénomènes qui nous dérangent, ou qui  dépassent un peu !

     Il faut croire que cela ne le décourage pas puisqu’il en parle quelques temps plus tard à l’ancien propriétaire de la maison, un ami lui aussi. Il lui décrit dans les moindres détails  sa « vision » : l’homme qu’il a aperçu sur les marches de l’escalier, son allure, sa tenue vestimentaire très chic, son regard....

    Sans sourciller, cet ami l’écoute attentivement, puis il se lève, quitte la pièce et revient quelques minutes plus tard avec le portrait de son père....Mon frère reconnait alors l’homme dont il vient de faire une description précise !

    Ce grand-père avait vécu pratiquement toute sa vie dans cette maison...peut-être ne l’a-t-il jamais quittée après tout !

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