• Bonjour tout le monde,

    Ces dernières semaines, je vous ai raconté quelques histoires des Trollissons. Des aventures qui se déroulent dans notre petit "havre de paix " à la Chapelle sur Erdre...mais je vois que je suis aussi "désordre" que nos amis puisque je ne vous ai pas encore raconté (sauf à quelques-uns) ma rencontre avec ces petits êtres.

    Voici donc comment ça s'est passé (les histoires racontées sont dans le premier livre...mais que contient le second...ça! je vous le dirai la prochaine fois;

    Bon début de semaine à tous

    Le secret...

    Les trollissons

    -         Quel désordre là-dedans ! C’est un vrai raz-de-marée dans votre cabane! Ce n’est pas très gentil de leur part ! ils auraient quand même pu ranger !

    -         Mais de qui parles-tu Mamy ?

    -         Eh bien des Trollissons voyons....

    -         Les quoi ?

    -         Les trollissons ! vous savez, ces petits êtres étranges qui ont squatté votre cabane cet hiver …Je ne vous en ai jamais parlé ?

    -         Noonnn…

    -         Ah bon ? Alors installez-vous près de moi sur cette banquette. Je vais vous raconter comment je les ai rencontrés.

    Les enfants ouvrent de grands yeux ! Qui sont ces trollissons dont parle Mamy ? Vraiment, elle les a vus ? Ils s’assoient de chaque côté d’elle, sur le petit canapé d’osier recouvert de coussins pour écouter son histoire. Mamy semble bien sérieuse et les enfants savent que ce qu’elle dit, c’est la stricte vérité....elle sourit en apercevant les deux petites têtes tournées vers elle, et commence :

    -         Je crois que c’était en plein mois de février, une nuit où la lune était si ronde et si grosse qu’elle illuminait la chambre même à travers les persiennes....je me suis réveillée parce que je n’arrivais pas à dormir…allez savoir pourquoi ?  et je me suis levée pour aller boire un grand verre d’eau.

    Tout doucement, je suis descendue sans faire de bruit pour ne pas réveiller les poissons qui dorment dans l’aquarium, et j’ai ouvert la porte de la cuisine. J’ai attendu un peu parce que, au fond de moi, j’espérais bien revoir Zozotte pattes de mouche... j’imaginais qu’elle était là en train de grignoter mes cracottes...Mais non ! Elle est bel et bien partie...je ne crois pas qu’elle reviendra ! C’est dommage, je l’aimais bien ! Je ne sais pas ce qu’elle est devenue !...

    Mais revenons à notre histoire ! J’ai donc pris mon grand verre d’eau tout en regardant machinalement par la fenêtre les nuages qui filaient à toute allure, un peu étonnée de voir que la lune éclairait le jardin comme en plein jour...et c’est là que je les ai vus !!! Les trollissons !

    -         C’est quoi des trollissons Mamy ?

    -         Mais je vous l’ai dit, ce sont des petits êtres très rigolos, moitié trolls, moitié polissons...je pense qu’ils avaient remarqué la lumière dans la maison parce qu’ils rampaient dans le jardin en direction de votre cabane pour passer inaperçus.

    -Ils sont entrés un par un...j’en ai compté au moins dix ! Ils étaient chargés de gros sacs qui semblaient très lourds… vous me connaissez, je n’avais qu’une envie : voir ce qu’ils contenaient ces gros sacs !

    Comme je suis très curieuse, je suis donc sortie discrètement dans le jardin et je me suis glissée à genoux, près de la fenêtre. J’ai regardé à l’intérieur de la pièce et je les ai surpris autour de votre petite table en train de manger des escargots vivants !

    -         Beurk !!

    -         Ensuite, ils ont tout poussé dans le fond de la cabane, et ils se sont allongés par terre et sur le canapé pour dormir...

    -         Sur ce canapé là !

    -         Oui, la preuve...vous voyez cette tâche-là ! eh bien, c’est de la bave d’escargot.

    -         Beurk... Tu crois qu’ils vont revenir ?

    -         Oh non, je ne pense pas...ils viennent squatter les cabanes des enfants seulement l’hiver lorsqu’il fait froid, mais pas au printemps...ils ont trop peur de vous rencontrer.

    -         Ouf !! …Mais dis-donc…il y avait quoi dans les grands sacs ?

    -         Je vois que tu as bien écouté. Eh bien, le soir-même, aucun des trollissons ne l’a ouvert ce sac, mais le lendemain, très tôt, avant que le soleil ne se lève, j’ai tiré un peu le rideau de la fenêtre pour les voir repartir sans être vue. J’ai attendu, attendu….la porte s’est enfin ouverte tout doucement, et comme la veille, ils ont rampé pour s’enfuir…En apercevant leurs sacs beaucoup plus légers, j’ai bien compris qu’ils avaient laissé quelque chose dans la cabane…Je suis allée vite fait pour jeter un œil à l’intérieur, mais en voyant tout ce bazar…j’ai fermé la porte et je suis retournée à la maison.

    -          oh dis Mamy, tu veux bien nous aider à ranger le désordre qu’ils ont fait les trollissons ??? Peut-être que l’on va trouver ce qu’ils ont caché à l’intérieur !

         Et voilà ! C’est comme ça que pendant plus d’une bonne heure, les enfants ont aidé Mamy à ranger leur cabane...Oups ! Je veux dire plutôt que c’est Mamy qui leur a donné un bon coup de main...

    Ils ont commencé par tout sortir dehors, la petite table, la banquette en osier recouverte de coussins, le petit meuble rempli de vaisselle en plastique, l’étagère où l’on dispose plein de livres à la belle saison, le petit « coin marchande »...et tout le reste, en prenant soin de faire un grand tri parmi les objets abîmés ou cassés (et oui, les trollissons  ça casse tout !)

    Une fois vidée, la maison parait beaucoup plus grande...et plus jolie. Mamy ôte même rideaux des fenêtres pour les laver...ce qu’elle accomplit dans la foulée pendant que les enfants s’occupent de la vaisselle. Dans le jardin, la grande bassine remplie d’assiettes, de verres et de couverts déborde de mousse, ce qui amuse énormément Lounis et Alexandre qui en profitent pour faire une grande bataille de mousse en se poursuivant sur la pelouse et en riant aux éclats.

      C’est à ce moment que Noah et Gabriel, tout juste réveillés après une longue sieste, arrivent pour participer eux aussi au nettoyage, au rangement....et à la bataille de mousse. Ewenn ne tarde pas à se joindre à eux:

    -         Je peux venir aussi ? j’ai envie de faire une petite pause. J ‘ai presque terminé mes devoirs ! Il ne me reste plus que ma leçon d’espagnol, je l’apprendrai avec maman à la maison.

    -         Plus on est de fous, plus on rit ! plaisante Mamy...Allez ! au boulot, on remet tout en place.

    En  essayant de rentrer l’étagère, Lounis se prend les pieds dans une latte de bois du plancher. Il s’étale de tout son long au beau milieu de la cabane en poussant un grand cri...mamy lâche les rideaux qu’elle est en train d’étendre sur le fil à linge pour voir s’il ne s’est pas blessé. En fait, tout le monde se précipite à l’intérieur de la cabane :

    -         Oh regardez ! s’exclame Lounis en se relevant...Il y a un grand trou sous le plancher ! C’est moi qui ai fait ça ?

    -         Oh non ! je ne crois pas. La latte était mal fixée...ou plutôt...je pense que ce sont les trollissons qui l’ont détachée pour cacher le contenu de leurs grands sacs à l’intérieur du trou.

    -         -Mamy, mamy ! qu’est-ce qu’ il y a dans le trou ? C’est quoi le secret des trollissons ?

    Tous les regards se dirigent vers l’ouverture de la cachette...Ewenn attrape la lampe de poche accrochée derrière la porte et éclaire l’intérieur...

    -         Waouh !!! mais c’est quoi ça ?

    Mamy plonge la main à l’intérieur de la cachette…et en ressort deux gros livres reliés de cuir rouge et bleu ornés de belles lettres d’argent…

    Ensemble, Ewenn, Lounis et Alexandre déchiffrent lentement :

    -         « Les belles histoires des Trollissons »

    Mamy ouvre l’un des livres et les enfants n’en croient pas leurs yeux : de merveilleuses illustrations ornent des textes écrits à la plume avec de l’encre rouge et or.

    -         C’est beau ! mais c’est quoi cette écriture ?

    -         Ça s’appelle de la calligraphie, c’est une écriture très ancienne…et très belle, et je crois que je serai encore capable de vous lire ces histoires si vous le souhaitez les enfants…mais pas aujourd’hui. On n’a pas terminé notre rangement.

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  • Bonjour tout le monde,

    Histoire-jeu : destinations de rêves...

    Il y en a plus de quarante à retrouver dans ce texte...Une idée sans doute pour les vacances à venir.

    Et solution de l'histoire de la semaine dernière

    Bon dimanche à tous

    Ile paradisiaque

    Vers une ile paradisiaque

       Ouf ! Enfin dans l’avion !

    Je pensais que cette dernière réunion d’informations avant notre départ n’allait jamais se terminer ! Et cette circulation ! On n’arrivait même pas à sortir du « périph ». Sans parler de ce balisage incompréhensible pour arriver jusqu’ici…du grand n’importe quoi ! Et voilà qu’à présent, nous sommes presque collés les uns des autres, bord à bord à quelques centimètres près…

    • Et cette pluie ! Un vrai déluge ! Ajoute Dick. Ce n’est pas cette marquise, encombrée de malles diverses, à qui on a prêté un parapluie, qui va s’en plaindre ! Elle est sèche, elle!
    • Oh ! Les ronchons, vous arrêtez de gémir ! Lance soudain Maurice. Qu’est-ce-que vous êtes capricieux ! On se dirige quand même vers une très belle île, vous devriez être contents ! Et Dick, attache plutôt ta ceinture au lieu de râler.
    • Eh ben dis-donc, ton gars n’est pas commode Martine ! Mais il a raison, si Sylvain, son père, était venu lui aussi, il dirait la même chose. Il est du même acabit.

    L’avion s’élance alors sur la piste -  ses roues balaient hardiment le sol - avant de prendre son envol dans un vacarme infernal…ça y est, on commence à prendre de l’altitude, j’avale ma salive pour éviter les bourdonnements…J’aperçois déjà les crêtes rocheuses des montagnes que l’on survole, puis on s’enfonce doucement dans une épaisse  couche ouateuse de nuages, aussi molle et noble qu’une crème chantilly.

    Le calme semble être revenu mais ça se corse lorsque nous entrons dans une zone de turbulences. Martine nie qu’elle a les boules, mais elle tremble comme une feuille à chaque soubresaut de l’appareil. Son voisin, un hongrois je pense, emmailloté comme un bambin dans un pull en jersey d’une laine aussi belle que douce, se tord de rire. Il faut dire qu’elle a si peur qu’elle bat des cils à en faire sauter ses lentilles !

    • C’est la fête à ET dans cet avion ! Se moque-t-il !
    • Ouais ! sans blague ! Ricane Harry, son copain.

    Un peu excédée, Martine, elle, bredouille qu’elle n’a pas peur, qu’elle attend simplement que ça re-daigne se stabiliser pour tranquilliser sa petite chienne Fidji, toute seule en soute !!

    • Mais bien sûr ! vous êtes du genre toujours sans torts, hein ?
    • Ma pauvre Martine, ajouté-je comme pour la disculper…Il ne faudrait pas que tu prennes l’avion trop souvent, tes nerfs y flancheraient.

    L’avion - tandis que chacun passe son temps à se chambrer- arrive enfin à destination. Quelques voyageurs, là-bas, amassent déjà leurs effets personnels pour descendre de l’appareil.

    Vers quelle île avons-nous fait escale ? Il y en a tout de même quarante et une dans ce texte…A vous de choisir celle que vous préférez…

    Pour ma part, c’est la toute première dans ce texte….

    J’allais oublier : c’est ça, Oui, bises à tous.

    Solution du jeu de la semaine dernière

    Recette de cuisine

       Bonjour tout le monde,

    Aujourd’hui, j’ai besoin de votre aide à tous pour me lancer dans la cuisine. J’avoue que je n’y ai vraiment jamais pensé avant parce que ce n’est pas mon point fort.

     J’ai déjà fait six boulettes depuis ce matin. J’ai commencé par faire cramer cette casserole que je récure ici même. Sûr, avec ça, je perds six points au grand concours de Top Chef ! Je suis du genre « cheffe nouille »!

    Bon, ce n’est pas tout, maintenant qu’Annette et Fannie sont arrivées et que vous êtes tous là, vous allez pouvoir jouer avec moi aux cuistots en herbe !

    J’ai trouvé une recette très simple dans le livre « recettes gourmandes » chez les Montgolfiers. Sans mentir, ce livre est génial ! N’est-ce-pas Noah ? Je sais que tu y as participé en classe avec le groupe des korrigans quand tu étais plus jeune.

    • Oui, je me souviens. J’avais fait un gâteau avec Martin. Tout le monde y a gouté mais moi je n’en ai pas pris car il était un peu raté.

    Allez, c’est parti ! Camomille  et Maëlle, auriez-vous la gentillesse d’allumer le four thermostat 6 pendant que j’écume un peu la mousse de la confiture. Nous la dégusterons avec notre dessert « feuilletés de pommes au citron ». J’ai choisi pour le préparer, la recette d’un grand chef étoilé... Il parait que sa rillette au muscadet a fait sa renommée.

    Qui veut lire la recette ? Je crois que Basile lit couramment à présent. Peux-tu nous dire par quoi nous devons commencer ?

    • «  Dans un saladier, malaxer le beurre jusqu’à obtenir une pâte bien crémeuse »

    Super ! Pour ça François tu peux t’y coller ? Je vois que tu as très envie de travailler !

    Bon, je continue. Il faut maintenant égoutter les olives et les hacher. Elles sont dans le petit seau jaune. Qui veut couper le chorizo en petits morceaux ?

    Ail, ail, ail ! Tu n’as pas fait attention Fannie et tu viens de tacher ton joli boléro marin. Il faut le nettoyer tout de suite avec de l’eau savonneuse en dépassant d’ une large marge au lainage pour bien ôter  cette vilaine marque de chorizo.

    Allez, on se dépêche, l’heure tourne. Le beurre a mis du temps à ramollir. Il est devenu mou tard dans la matinée. Qui veut le mélanger avec les œufs ?

    C’est bien ce qu’Anne elle a fait, le mélange est super...J’y pense, Lounis, c’est quoi cette histoire de lestes ragondins qui ont failli sauter sur vous tout à l’heure sur le chemin de l’école?

    • Oh rien ! Ils étaient tranquilles sur une souche dans la mare et ils se sont précipités vers Vénus et moi. On a eu très peur.

    Allez revenons à nos moutons. Pendant que je sers Paulette qui m’a demandé un verre d’eau,  qui veut ajouter l’huile, la farine, la levure et l’eau pour obtenir une pâte homogène mais lisse. Après, on mettra les olives, le chorizo et on va assaisonner avant de verser la pâte dans le moule. On le mettra alors dans le four pendant quarante-cinq minutes.

    • D’accord, mais avec quoi on assaisonne?
    • Eh bien, vous avez à votre disposition trente herbes aromatiques et épices. A vous de choisir.
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  • Bonjour tout le monde,

    Coup de cœur : trop honnête ??

    Un petit coup de chapeau aujourd'hui à tous ces gens qui ne se posent pas de questions et pour qui l'honnêteté est primordiale...et les jeunes ne sont pas les derniers !!

    Pourquoi ne voit-on que ce qui va mal???

    Belle journée à tous

    collision

    Collision

    « Ah ben elle va marcher beaucoup moins bien, forcément… »

    Vous vous souvenez de cette réplique de Bourvil dans le « Corniaud » ?…C’était à mourir de rire….quand on regarde le film, c’est vrai qu’une telle situation est très drôle, mais quand cela arrive dans la vie courante, ça l’est un peu moins évidemment. Mathis lui, ne riait pas du tout le jour où, malencontreusement, il est rentré dans une voiture sur un parking. Quand il a vu le pare choc défoncé, il s’est trouvé tout penaud ! A vingt-quatre ans, ça fait mal !

    Que faire ? Ne voyant pas le propriétaire arriver en trombe, il pourrait prendre la poudre d’escampette….comme beaucoup le font malheureusement... et pas forcément  les jeunes conducteurs qui voient leur assurance flamber au moindre accrochage !! Certains entendent cette petite voix un peu doucereuse, mielleuse qui leur souffle : « Allez...personne ne t’a vu ! Files !...Ne restes pas planté là, ça risque de te coûter cher, très très cher...y’a pas mort d’homme après tout »…Ce n’est pas vraiment de leur faute…Si les assurances n’étaient pas si onéreuses ! Et d’ailleurs, cette voiture, est-elle bien garée ???

    (Oui ! Je sais, ce n’est pas bien ! J’essaie juste de comprendre pourquoi on ne retrouve pas toujours son véhicule  dans l’état où on l’a laissé)…Bref, Mathis lui, n’a rien entendu du tout, juste la voix de sa conscience. Il a sorti une carte de son  portefeuille, y a indiqué son numéro de téléphone, et comme il n’y avait personne aux alentours, il n’a pas attendu, mais a déposé sa carte sur le pare-brise, sous les essuie-glaces afin qu’elle ne s’envole pas (Oups ! J’ai compris… C’est çaaaa ! Quelle mauvaise langue je suis! Je disais que certains conducteurs partaient sans demander leur reste ...mais non ! Ils ont laissé un petit mot eux aussi, petit mot mal coincé sous les essuie-glaces …et qui s’est envolé ! Allez, on oublie ce que j’ai dit tout à l’heure !).

    En attendant, Mathis a reçu peu de temps après un coup de téléphone du propriétaire de la voiture et ils ont certainement dû faire un constat....je ne connais pas vraiment la suite de l’histoire, mais je sais juste que si ce geste lui a coûté financièrement, son honnêteté lui a rapporté énormément sur le plan personnel. Il a la « conscience tranquille » et peut être fier de lui et son entourage n’a pas manqué de lui faire savoir...Tout cela, ça n’a pas de prix ! Pouvoir dormir sur ses deux oreilles, ça vaut de l’or !

    Cela semble « normal », mais je tenais malgré tout à donner un petit coup de chapeau à tous ces gens profondément honnêtes, qui, comme Mathis  laissent leur numéro de téléphone quand malencontreusement ils endommagent une voiture....et je sais qu’ils sont heureusement fort nombreux puisque tandis que j’écris ces quelques lignes, mon téléphone sonne : « ...je viens de trouver un numéro de téléphone sur mon pare-brise mais les deux derniers numéros ont été effacés par la pluie...est-ce que par hasard, il s’agit du vôtre ??? »....eh non ! Pas de bol ce coup-ci, mais je suis sûre que cette personne retrouvera l’auteur du petit mot…. En attendant, c’est drôle cette coïncidence,  vous ne trouvez pas ???? Si, si, c’est vrai ! Je n’ai aucun intérêt à inventer ce détail !

     

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  • Belle journée à toutes et à tous,

    Étrange : Signes ou coïncidence

    Il est bien évident que l'on s'attache aux signes surtout lorsque l'on va mal (physiquement ou moralement)...

    Dans ce texte, il y a les signes que l'on reçoit sans vraiment les demander, et ceux que l'on demande par la suite pour en être "convaincu" ....(comme St Thomas)...Édifiant !

    Bon jeudi à tous

    Plumes...

    Symboles des « clins d’œil » que l’on reçoit

       Dur dur de faire face à des problèmes de santé lorsqu’ils surviennent brutalement...sans prévenir...pour nous prendre au dépourvu. C’est ce qui m’est arrivé l’an dernier, et comme j’ai la chance inouïe d’être toujours en bonne santé et en pleine forme, j’ai complètement « paniqué » lorsque, aux urgences, j’ai entendu parler de morphine et de valium...

    Passons sur des détails qui n’ont aucune importance dans ce récit.  Je tiens juste à raconter comment cette « petite » épreuve (inconnue pour moi) m’a fait découvrir à quel point la chance était avec moi… grâce à  l’aide et le soutien des miens...mais pas que !! J’ai aussi bénéficié de nombreux « signes » ou « clins d’œil »  destinés à me rassurer et me faire prendre confiance en la guérison.

    Après quelques jours de repos, je me sens enfin capable de faire quelques pas à l’extérieur. Première sortie en compagnie de mon mari, ma voisine et des deux loulous que nous avons en garde. Quel bien fou cela fait !

    Dans le petit chemin qui mène à la « mare aux grenouilles », j’aperçois soudain une sorte de tuyau sur le bas-côté...je le trouve bien long! Il se met à bouger et je comprends alors qu’il ne s’agit pas d’un tuyau ...je pousse un cri (j’ai la phobie de tout ce qui rampe) ! On constate alors tous ensemble que c’est bien étrange de voir cette immense couleuvre ici. Jamais durant nos balades, nous n’en avions vue jusqu’à présent ...et en plus, il ne fait même pas chaud !! On l’observe tandis que, tranquillement elle se faufile à travers les arbres, les contourne et entre lentement dans le creux formé dans une souche.

    Plumes...

    Toujours sous le coup de l’émotion, je sens soudain quelque chose qui vient heurter mon bras gauche...Une immense libellule, magnifique, s’est agrippée à la manche de mon chemisier. Elle ne bouge pas.  Quelle beauté ! Jamais je n’avais vu une libellule aussi grande et d’aussi près. Pour mieux l’observer, je la pose sur le tee-shirt de mon mari. Elle reste impassible ! (voir photos)

    Plumes...

    Arrivée à la maison, je me dis que c’est bien étrange ces deux animaux qui viennent me rendre visite à ma première sortie...et tellement rare. Il doit y avoir une symbolique à coup sûr ! Je tape « couleuvre » et « libellule » sur internet et voilà ce que je lis :

    « La couleuvre d'Esculape (le dieu grec de la médecine) est le serpent qui est représenté sur le caducée des pharmaciens. Symbole de guérison et porte-bonheur pendant l'Antiquité, cette espèce a été élevée par les Romains... »

    « Plus généralement, la libellule symbolise la conscience de soi qui vient avec la maturité. C'est donc la sagesse de la transformation qui est son premier et plus important message. Créature du vent, être éphémère, la libellule incarne le changement.

    Lorsque vous les remarquez, cela signifie que vous devez trouver plus de lumière et de joie dans votre vie. Les libellules nous rappellent la vraie valeur et le sens de la vie : le bonheur »

    Je pense aussitôt : Le message est clair !

    Un signe que je n’avais même pas demandé, mais destiné à me rassurer...Je sais alors que la guérison est proche, et que ce malheureux épisode va m’apporter un peu plus de lumière (il y a toujours du positif dans chaque épreuve !) Mais il m’en faut beaucoup pour me rassurer complètement…j’ai encore très mal tout de même !!

    Alors, comme si ce n’était pas suffisant, quelques jours plus tard, après une nouvelle nuit sans sommeil, je me suis dit: «  Je l’ai lu dans les bouquins de Maud Ankaoua, Nono le répète sans cesse : Il suffit de passer commande  à l’Univers, de penser à autre chose ...et l’Univers se charge de réaliser nos souhaits…et bien je demande  à l’Univers une guérison instantanée !! Merci de m’accorder cette faveur ! » Aussitôt, mon regard est attiré sur le bas-côté de la piste cyclable et je découvre ceci : Une magnifique plume blanche dans un bouquet de trèfles …Bien sûr, je regarde la signification sur Internet et je lis ceci :

    « Plumes, grand esprit, symbole de paix

    Les amérindiens les utilisent entre autre comme outils servant à diriger et faire pénétrer chez une personne blessée ou malade, l'énergie de guérison, car elles sont reconnues pour capter et redistribuer les énergies bénéfiques. Les plumes sont le symbole de la paix et de la liberté d'esprit.

    Quelle est la signification d'une plume blanche ?

    Si vous voyez une plume blanche, c'est que votre ange vous protège, il vous écoute et a entendu vos prières. Une petite plume blanche est aussi le signe que l'un de vos proches défunts est toujours là pour veiller sur vous. »

    Le seul commentaire que je me permets de faire, c’est que j’ai réussi à dormir six heures la nuit suivante !! Une nuit complète enfin !!!

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  • Belle journée à tous

    Et bonne fête à tous les amoureux !!!

    Voici pour eux et surtout pour les autres (ceux qui sont seuls !) quelques cœurs trouvés par ci par là...

    Bon mercredi à tout le monde

    Des cœurs ...

     

    Des cœurs

    Voici quelques jolis cœurs

    Pour mettre de bonne humeur

    Celles et ceux qui font « Tintin »

    Le jour de Saint Valentin.

    Puisse ce jour de bonheur

    Faire découvrir l’âme sœur

    A tous ceux pour qui Amour

    Rime encore avec Toujours

    Et que tous les amoureux

    Restent comblés et heureux

    Bien au-delà de demain

    Après la Saint Valentin

    Des cœurs ...Des cœurs ...Des cœurs ...

    Des cœurs ...Des cœurs ...

    Des cœurs ...

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