• Bonjour tout le monde,

    Il fait très chaud, et la fatigue aidant, les mots s'amusent à se déformer, modifier une lettre et changer de place dans une phrase....il suffit d'une lettre pour changer le sens d'un mot...mais si en plus on le change avec un autre...ça donne un drôle de résultat

    C'est ce qui s'est passé dans les phrases suivantes....pouvez-vous m'aider à tout remettre en place...

    Et si vous ne savez pas quoi faire en ce jour de grande chaleur, amusez-vous, vous aussi à modifier une lettre d'un mot...vous verrez, c'est très drôle!!!

    lupin en pleurs

    Lupin en pleurs

     

       Heu non ! Lutin en fleurs...non plus... Lupin en fleurs et lutin en pleurs...Voilà, c’est ça !!! Pas facile : ma langue n’arrête pas de fourcher...

    Je vais quand même essayer de vous raconter quelques anecdotes... Certains  mots se sont amusés à échanger une lettre avec d’autres juste pour rigoler...A vous de les retrouver et de leur redonner leur place exacte.

     

    • Les petits lupins ont mis un château sur leur tête pour entrer dans le beau chapeau entouré de lutins de la Belle au Bois Dormant. Mais avant il leur a fallu traverser un champ de clés pour aller ouvrir la porte avec les blés.

     

    • Son papa lui a demandé de manger ses livres avant d’aller ranger sa part de bateau au chocolat et de jouer avec son gâteau dans le sable. Sur son râteau, il a mis un joli crapaud avec un drapeau au milieu. Il a reçu un coup de dame sur la tête quand son frère a voulu pagayer. Heureusement, une rame était sur le bord de l’eau et elle lui a mis de la crème sur sa bosse.

     

    • « Tu manges comme un petit port » lui a dit sa maman. Si tu continues, on n’ira pas sur le porc de Piriac pour manger une place au « Pôle Nord »  A la glace, tu resteras ici.

     

    • Il a mis le feu dans son coffre à jouets pendant que son papa allumait le jeu dans la cheminée, puis il s’est essuyé les pieds sur son papi avant d’aller dire bonjour à son tapis.

     

    • J’ai pris une branche de grenouille dans le jardin pour aromatiser les cuisses de fenouil.

     

    • Les pions en nage tournent en rond dans leur cage comme des lions sur un échiquier (attention, dans cette phrase deux mots sont bien placés !)

     

    • Bouquet final: Pendant que Marie prend sa couche en plein air dans le jardin, elle entend une douche voler. Pour sécher en plein air, elle se mouche sur l’herbe verte près de la bouche d’un vieil arbre. Surprise par la douche qui louche son bras, elle ouvre la touche : «  Elle est souche, se dit-elle, cette douche ! »

     

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  • Belle journée à toutes et à tous,

    Voici une histoire étonnante et pourtant véridique...

    Face à un tel braquage, comment auriez-vous réagi, vous???

    Bon week-end à tous

    Braquage

    Braquage !

     

    Les grands sages affirment  que « lorsque l’on n’a pas peur, il ne peut rien nous arriver », et je crois bien qu’ils ont raison ! Pourtant, il n’est pas toujours facile de se maîtriser.

    En effet, si par le plus grand des hasards, je me retrouvais face à un lion, ou pire, une vipère, je suis sûre que je prendrai mes jambes à mon cou sans me poser de questions.  Je ne m’imagine pas non plus faire un saut à l’élastique ou marcher sur un câble à 100 mètres de hauteur… juste pour vérifier l’exactitude de ce « dicton », et pourtant, certains le font !!...et il ne leur arrive rien de spécial !

    Sans aller jusque-là, les plus trouillards d’entre nous ont même peur d’une araignée ! Pff, n’importe quoi ! Vous avez déjà vu une araignée ? C’est tout petit !

    Bref...tout ça pour en venir à une histoire extraordinaire que j’ai lue dans la presse alors qu’elle venait de se dérouler à deux pas de chez moi.  Cette anecdote  qui illustre assez bien cette affirmation sur la peur date d’une bonne trentaine d’années, mais je l’ai toujours en tête tellement elle est riche en « enseignement ».

    Plantons d’abord le décor : la poste de la  Contrie à Nantes. Cette poste, je l’ai vue se construire depuis la fenêtre de ma chambre. Nous habitions avec nos parents dans une très grande maison qui dominait une grande partie la ville de Nantes. Au loin, nous distinguions  l’église Sainte Thérèse qui se détachait sur le ciel immense, imposante dans sa magnifique robe de briques rouges au milieu de toutes les maisons et monuments. A l’avant, des espaces verts et des arbres, (très vite remplacés par le quartier des Dervallières), et de l’autre côté du boulevard, un pigeonnier de pierres sur son piédestal accueillait encore de nombreux oiseaux.  Quelle vue superbe ! Je ne me lassais pas de l’admirer !

    Même la vieille bâtisse toute délabrée située de l’autre côté de la rue présentait un certain charme avec les herbes folles qui peuplaient un semblant de jardin.

    Les années passant, les squatters qui avaient élu domicile dans cette vieille masure ont été priés de quitter les lieux pour permettre la construction d’un bureau de poste. Nous n’avions qu’à traverser la rue pour poster notre courrier (on écrivait encore à l’époque !).

    Ce que j’aimais par-dessus tout, c’est que de ma fenêtre, j’apercevais beaucoup de monde défiler pour se rendre dans cette nouvelle poste. L’animation était assurée dans ce quartier que j’affectionnais particulièrement. Je me souviens même d’une année où l’hiver était si rude que le sol luisait sous une épaisse couche de glace. Les trois-quarts des personnes qui se rendaient à la poste n’arrivaient pas à conserver leur équilibre dans cette descente et  se retrouvaient automatiquement sur les fesses... Quelle rigolade !...Mais revenons à nos moutons !

    Ces souvenirs étaient bien présents lorsque quelques années plus tard, je lisais ce fameux article sur le journal. Il y avait longtemps que « notre » maison avait été remplacée, et que, une fois mariée et maman de quatre enfants,  je vivais (comme par hasard) dans une autre jolie maison à moins d’un kilomètre de cet endroit.

     « Braquage à la poste de la Contrie » titrait le journaliste, avant de raconter cette histoire incroyable qui venait de se passer à ma porte !

    Tout semblait calme dans le bureau de poste ce matin-là, lorsque soudain, un individu cagoulé  avait poussé violemment la porte pour s’introduire bruyamment dans les locaux. Il s’était  présenté au guichet avec une arme à la main.  Sans perdre de temps  il ordonnait aux employés de lui « donner rapidement la caisse » en les menaçant de son revolver….Comme dans un film ! A ce moment précis…on ne sait pas ce qui s’est passé dans la tête de l’une des femmes présentes face à lui,  qui, en apercevant l’arme du malfaiteur pointée sur elle s’est mise à éclater de rire…un rire nerveux certainement, mais un rire si contagieux qu’il a entrainé tout son entourage dans un fou rire gigantesque.

    Du coup, le semblant de panique qui avait dû durer quelques instants changeait de camp. Surpris,  pour ne pas dire ébahi…et probablement vexé, blessé dans son amour propre, l’homme armé a été complètement déstabilisé. Il a aussitôt pris ses cliques et ses claques pour se sauver aussi vite qu’il était arrivé … devant une dizaine de personnes de plus en plus hilares !

    Sans commentaires !!!

     

     

     

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  • Salut les p'tits loups !

    Il fait chaud hein??? Alors voici une petite histoire rafraichissante avec un peu de pluie...et notre ami l'escargot gris (tiens ! ça va faire plaisir à Jimmy je pense....je crois qu'il aime bien les escargots)

    Et demain, la page 5 de notre cahier de vacances avec une histoire-jeu et des habitations à découvrir...

    Belle journée et

    Bizatousssssssssssssss

    Jour de pluie

    Jour de pluie...

        Il pleut...

    Tout le monde rentre dans sa maison pour se mettre à l’abri...tout le monde sauf Gri-gri l’escargot gris, qui lui, sort de la sienne, une magnifique coquille nacrée qu’il porte sur son dos. Il glisse lentement vers le potager et s’attaque à une belle salade verte. Elle est si tendre et si croquante qu’il la grignote goulument sans s’apercevoir que quelqu’un s’approche. C’est le jardinier qui, comme par hasard choisit la même salade pour son déjeuner.

    Voilà notre petit escargot qui s’envole dans les airs caché dans les feuilles frisées.

    • Whaouh ! c’est haut !

     Il s’accroche tant bien que mal, mais il a un peu le vertige. Il est ensuite bousculé, secoué, brusqué comme il ne l’a jamais été ! C’est Gustave, notre jardinier qui jette les feuilles de salade dans l’évier rempli d’eau froide. Il les remue pour ôter toutes les petites salissures qu’elles contiennent. Il tombe dans le fond du bac et se cogne au risque de briser sa belle maison :

    • Aie, aie, aie...ouille !

    Heureusement, Gustave ne l’a pas vu et tire la chainette pour vider l’eau.  Il se retrouve alors seul dans un tourbillon qui l’entraine dans un long tuyau sombre. Il a peur. Il a froid. Il y a bien longtemps qu’il s’est réfugié tout au fond de sa coquille et qu’il tremble comme une feuille justement.

    Il n’est pourtant pas au bout de ses surprises, ni de ses émotions ! Il est ballotté à une vitesse vertigineuse dans cette cascade qui n’en finit pas. Puis, le calme revient, mais une odeur insoutenable lui chatouille les narines. Il nage malgré lui dans une nappe d’eau crasseuse et malodorante...Il ne le sait pas, mais il voyage dans les égouts qui récoltent les eaux usées du village.

    Il fait ensuite un très très long voyage, toujours enfermé au fond de sa maisonnette. Soudain, il est éjecté...dans la mer ! Il sent alors un parfum où se mêlent le sel, l’iode et le goémon... et se décide à sortir sa tête. Il se pose tranquillement sur un rocher

    • Ouf ! enfin tranquille !

    C’est alors qu’il aperçoit, tout près de lui, un petit animal qui lui ressemble étrangement.

    • Qui es-tu ? lui demande-t-il
    • Je suis Bauno, le petit bigorneau...Et toi, que fais-tu là ?
    • Oh c’est une longue histoire.

    Et voilà notre Gri-gri qui n’en finit pas de raconter son épopée à son nouvel ami. Ils se jettent ensuite sur une algue savoureuse qu’ils dégustent de bon cœur pour apaiser leur fringale. Sur leur rocher, ils s’amusent à regarder des crevettes et des minuscules poissons qui jouent à défier des anémones aux longs bras multicolores, prêtes à les attraper pour les croquer. Ils suivent du regard les petits crabes qui jouent à cache-cache sous les galets et dans les cavités étroites de la roche, et tentent une petite escalade pour atteindre le sommet du rocher qui surplombe la mer afin de prendre un peu l’air.

    • Nous n’aurons plus qu’à attendre la marée basse si tu veux reprendre le chemin de la terre ferme, lui dit Bauno..Oups ! tu ne seras pas arrivé sur le sable avant la marée haute...je crois qu’il est préférable que tu attendes une vague...elle te conduira directement sur le sable.

    Et c’est ce que fait notre petit escargot à la coquille nacrée. Il ne veut pas attendre que la mer se retire et se laisse emporter par un gros rouleau qui l’enveloppe et le déroule sur le sable mouillé. Il repart alors tranquillement, s’éloigne de la plage et dans quelques jours, il retrouvera un magnifique jardin potager en haut de la falaise...Cette fois, il choisira un énorme chou aux larges feuilles vert foncé pour s’y enfouir et dormir un long, long moment

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  • MDR

    Bonjour tout le monde,

    Toujours véridiques, voici quelques anecdotes "drôles" histoires de commencer la journée dans la bonne humeur...Un peu comme cette histoire d'orchidée en plastique...

    Vous vous souvenez sans doute vous aussi d'anecdotes qui ont déridé vos zygomatiques...alors n'hésitez pas à nous en faire part (en commentaires  par exemple)

    En attendant, en voici quelques unes

    Belle journée à tous

    MDR

    Oups !!!

             Inattention, distraction, étourderie, négligence…On a tous connu cela un jour ou l’autre. Qui n’a jamais recherché ses lunettes dans tous les coins de la maison pour s’apercevoir qu’elles sont sur le bout de son nez ? Qui n’a jamais pris le tram dans le sens opposé à sa destination ?...et vous est-il déjà arrivé de sortir de chez vous en pantoufles …ou en pyjama ?

    Non, non, cela n’arrive pas qu’en rêve ! Et je suis à peu près sûre qu’il n’y a pas que moi qui l’ai fait…

    Cela peut être agaçant, drôle…ou pas du tout. Je ne relaterai ici que certains « Oups » qui ont eu le mérite de me faire beaucoup rire…parfois longtemps après.

      Commençons par quelques « étourderies » qui pourraient être fort « gênantes », voire « dangereuses »,  et là, je pense aux bricoleurs du dimanche et ceux qui se lancent dans quelques réparations qu’ils maîtrisent…mais qu’ils effectuent à la hâte.

    Alors attention ! On ne rigole pas avec l’électricité comme les deux premiers exemples (qui se terminent heureusement bien !) ...

    1 – la petite chaufferette

    Mon arrière-grand-mère, une maîtresse-femme, ne faisait confiance qu’à mon père pour toutes les réparations de la maison. Un jour, il vient lui rendre visite. Elle profite donc de l’occasion pour l’interpeler :

    • Tu veux bien me réparer ma petite chaufferette ? Lui demande-t-elle. Elle ne fonctionne plus, et il commence à faire froid.

    Mon père regarde l’appareil, mais ne voit rien d’alarmant. Elle semble en parfait état.

    • Donne-moi le fil électrique pour que je la branche. Je verrai mieux le problème.
    • Non ! Tu n’as pas besoin de la brancher, je te dis qu’il y a quelque chose à l’intérieur qui doit être cassé.

    Mon père insiste et elle lui apporte enfin de quoi brancher sa chaufferette. Il comprend vite d’où vient la panne. Le fil électrique avait dû casser et mon arrière-grand-mère n’avait rien trouvé de mieux que de prendre les deux bouts et de faire un nœud pour les raccorder !!!!

    2- Lampe de chevet

    Mon mari veut allonger le fil de la lampe de chevet de mon fils (toujours trop courts ces fils !!)...mais non, il ne fait pas un nœud dans la rallonge !! Il prend juste un fil plus long, et pour connaitre la longueur nécessaire pour aller de la prise jusqu’à la tablette, il branche le nouveau fil électrique et l’amène jusqu’à la lampe. Là, il prend son opinel et coupe à bonne distance !!!! Oups !!! Heureusement  que le manche est en bois...par contre, la lame explose !!

    3- départ immédiat

    Sur l’ile de la Réunion, ma nièce est sur le point d’accoucher. En Métropole, mon frère prend un billet d’avion pour être présent lorsque le bébé pointera le bout de son nez. A l’aéroport, toutes les paperasses prennent un temps fou. Il faut enregistrer les bagages, attendre,  passer les contrôles, attendre, aller dans la salle d’embarquement, attendre encore et enfin, passer devant une hôtesse de l’air qui regarde son billet et lui indique le siège qui lui est réservé. Ouf ! Tout va bien ! L’avion s’apprête à décoller :

    • Toute l’équipe vous souhaite la bienvenue sur ce vol en direction de Saint-Domingue...annonce le pilote tandis que l’avion avance tranquillement sur la piste...
    • Mais, je ne vais pas à Saint-Domingue ! s’écrie mon frère en direction de l’hôtesse qui vérifie les ceintures...

    Branle-bas de combat ! On arrête l’avion pour débarquer mon frère qui a fait toutes ses démarches sans que personne ne s’aperçoive de cette erreur ! Le pire, c’est que le siège portant son numéro était le seul vacant !

    Il est arrivé à la Réunion en temps et en heure pour accueillir son petit-fils.

    4- Ah ! Ces sacrés lunettes !

    Jamais où il faudrait qu’elles soient.

    • Mes lunettes ont disparu ! Annonce mon jeune frère en arrivant à la maison
    • Comment est-ce possible ?
    • Avant le cours de sport, je les ai posées sur une voiture...et quand je suis revenu, la voiture était partie !!!

    5- gel coiffant

    • Tu as changé mon gel pour les cheveux ? Demande mon père à ma mère. Il est infect, il colle et je n’arrive pas à me coiffer. Qu’est-ce- que c’est que cette m... ?

    Ma mère éclate de rire, suivie de près par ma sœur et moi lorsque l’on s’aperçoit que mon père a pris la crème dépilatoire qui était dans l’armoire de toilette...

    Allez, c’est tout pour aujourd’hui !

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  • Bonjour les petits loulous,

    Il s'en passe des choses sur les plages lorsque les vacanciers rentrent chez eux, dans leur mobil-home ou dans leur caravane...J'ai assisté l'autre jour à un drôle de spectacle...Allez, je vous raconte....

    Belle journée ensoleillée (eh oui, il va faire très très chaud) et

    Bizatousssssssssssssss

    Les tongs oubliées

    Les tongs oubliées

     

          A l’heure où le soleil, fatigué de sa journée, décide de se cacher derrière l’océan, les baigneurs rentrent chez eux, heureux d’ avoir profité de ses rayons généreux et de la fraicheur de l’eau. Plus personne à l’horizon. C’est dommage, parce que c’est un moment exceptionnel ! Celui ou le ciel s’enflamme pour se refléter dans une mer argentée, pailletée d’étoiles scintillantes d’une incroyable beauté. Le seul instant de la journée où le roulis des vagues se brisant sur les rochers remplace les rires et les cris joyeux des enfants, une musique reposante dans le calme et la fraîcheur enfin retrouvés...Bref, une heure magique que seuls les habitants des fonds marins peuvent apprécier.

        C’est cette heure-là que je choisis la plupart du temps pour venir me ressourcer tout en haut de la falaise, respirer l’air chargé du parfum iodé des algues, écouter le frôlement des vagues sur la grève, ou simplement regarder la plage désertée.

    Ce soir, une légère brise ébouriffe mes cheveux et m’effleure le visage tandis que mon regard fixe des tongs oubliées sur le sable, seul vestige de l’affluence de l’après-midi...Deux tongs qui semblent s’ennuyer, seules au beau milieu de la plage ! Mon regard ne les lâche pas « d’une semelle » lorsque soudain, je les vois se soulever et s’éloigner vers la mer...toutes seules !

    Non ! Pas toutes seules ! Dessous, deux petits crabes s’amusent :

    • Tu es sûr que les mouettes ne nous ont pas vus ? demande le premier
    • Mais oui, nous sommes bien cachés !
    • On l’a échappé belle ! Ouf !

    Elles flottent à présent à la surface de l’eau...toutes seules !

    Non ! Pas toutes seules ! Dessus, les deux jeunes mouettes surfent sur ces deux planches providentielles :

    • Waouh ! Géniales ces planches ! depuis le temps que je rêvais de faire un peu de sport ! s’exclame la première
    • Moi aussi ! répond sa copine qui, prise d’un fou-rire incontrôlable, perd l’équilibre avant de plonger tête la première dans l’eau.

    Les deux tongs se retrouvent une nouvelle fois seules au milieu de l’océan…

    Non ! Pas toutes seules ! Deux crevettes viennent de les repérer et se découvrent un nouveau jeu : Boing...boing...boing....elles sautent de l’une à l’autre avec de petits rebonds légers…de plus en plus haut :

    • Super ces deux trampolines ! dit l’une
    • Oui, enfin un peu de liberté, loin des poissons....oh ! mais pas loin des mouettes...les voilà qui foncent sur nous ...sauve qui peut !

    Les deux crevettes sautent à l’eau juste à temps...au même instant, une vague, plus haute et plus longue que les autres, emporte avec elle les deux sandales qui reprennent leur place sur le sable...

    Toutes seules …

     

     

     

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